MESSAGES : 2054 BARGE DEPUIS : 07/11/2019 ROYAUME : Elvendyr - Topaz Kingdom - Au Manoir Cristal, qui lui appartient totalement désormais.
Sujet: [Silena & Kingsteen] Fiancés ? La blague Sam 28 Mar 2020 - 7:36
Fiancés ? La blague
Août 1857
14 ans. Un bel âge. Mais pas encore assez beau pour Kinsgteen. Parce que la porte du bureau de son paternel était encore fermée. Parce qu'il n'avait pas le droit de partir avec lui lors de ces supers réunions en haut des Montagnes de Wisteria. La seule chose qu'il avait le droit de faire, c'était de mettre un casque sur sa tête et de descendre dans les mines, pour observer le travail. Inspecter, écouter, c'est tout ce qu'Aeglos l'autorisait à faire. Bientôt ça changerait, il le savait. Mais il fallait encore attendre ce maudit Harvest. Une cérémonie qui commençait à se faire désirer pour notre futur roi de l'empire minier de Topaz, mais il ne le montrait pas. Parce qu'il avait appris à ne jamais montrer ce qu'il pouvait ressentir. C'était comme ça qu'il avait été éduqué.
Ce matin, quand son père lui annonça qu'il pourrait venir avec lui à un rendez-vous d'affaires à Obsidian, il eut du mal à contenir sa joie. Sautillant un peu partout, c'est quand son père hurla son prénom qu'il se calma et réajusta sa cravate en lâchant un "pardon" tout en baissant les yeux. Il n'aimait pas se faire ainsi hurler dessus. Et il ne comprenait pas pourquoi son père lui interdisait toujours de se lâcher un peu. Après tout il en avait bien le droit non ? A part dans sa chambre où il pouvait être lui-même, face aux autres, même ses parents, il devait toujours se tenir tel un petit prince et... c'était fatiguant, il ne le cachait pas.
Le soir venu, vêtu d'un magnifique costume qui lui donnait un air de petit adulte, l'adolescent attrapa le bras de son paternel et ses pieds quittèrent le sol. Quelques secondes plus tard il retrouva le contact de la terre sous ses chaussures. C'était vraiment peu agréable ces voyages d'ange, mais il trouvait ça tout de même assez amusant. C'était la classe d'avoir un ange comme paternel non ? Se présentant devant un petit restaurant, il n'eut même pas besoin de donner son nom que les portes s'ouvrirent en grand pour lui. Décidément, Aeglos était connu bien au delà des terres de Topaz et... cela arracha un petit sourire de fierté à Kingsteen. C'était la classe d'avoir un père comme lui... Pénétrant dans le restaurant, les hommes d'affaires semblaient s’agglutiner ici. Pourquoi son père l'avait amené ici alors qu'il lui avait bien fait comprendre qu'il ne pourrait pas mettre le nez dans ses affaires avant son Harvest ? Bonne question.
Les autres enfants sont là-bas. Va donc les saluer. Et ne me fais pas honte.
Teeny répondit d'un signe de tête et partit en direction d'un petit groupe de jeunes, un peu plus loin. Bon, son père ne le laissait pas le suivre tel un fidèle toutou présent dans son ombre, mais il lui donnait au moins quartier libre. Malheureusement, parler à des gens que vous ne connaissait pas, Kingsteen ne l'avait jamais fait. Alors rapidement ses pas dévièrent et il s'approcha du petit comptoir de ce restaurant. Son but ? Se rafraîchir. Et peut-être trouver le courage d'aller parler à ces jeunes qui, de toutes évidences, semblent se connaître au moins un peu. Au, de supers autres adolescents, certainement éduqués comme lui au vu de leur tenue et de la posture qu'ils adoptaient. Mais... oui, la timidité de Kingsteen à cette époque pouvait se montrer très handicapante. S'emparant de la carte des boissons, il les observa mais... que prendre ? Il n'était pas de ce royaume, il ne connaissait absolument pas ces noms étranges ni les goûts que ça pourrait bien avoir...
Sujet: Re: [Silena & Kingsteen] Fiancés ? La blague Ven 18 Sep 2020 - 9:59
Ils sont l'élite, héritiers d'un faste millénaire, d'un sang cobalt qui leur octroie le privilège de l'abondance, de la grandeur. Silena sait que ses parents, à l'occasion de cette réunion, ont loué l'entièreté du restaurant le plus onéreux d'Obsidian ; que leur fortune est dispensée avec une ostentation étudiée pour engendrer envie et déférence. Née dans ce monde où le manque est une fiction et l'opulence une banalité, elle connaît tous les codes, toutes les règles. Ce qu'il faut dire, et ne pas dire. Ce qu'il faut faire, et ne pas faire. Être gracieuse, élégante, courtoise - ménager ses hôtes en s'en faisant respecter, si tant est que la horde de gamins de son âge auprès de laquelle elle gravite puisse être respectée. Dans ses sourires, la sincérité se perd à mi-chemin, bernée par une maussaderie qui atteint avec flegme les tréfonds de son regard émoussé. Un regard qui s'éveille à nouveau lorsqu'elle repère un jeune qui n'est, d'évidence, pas d'ici. Coupant court la conversation dont elle n'a pas écouté un traître mot, Silena se dégage d'une excuse où le ton ne souffre aucune espèce d'indulgence et se dirige droit vers le bar du restaurant.
Lui, est différent. Elle peut le lire dans la nervosité qu'il transpire, l'attachement obsédé qu'il semble porter au menu du bar. Puisqu'il est là, elle en déduit qu'il est membre de cette caste élitiste qu'est la leur, pourtant, il n'adopte pas leur arrogance innée, cet orgueil tapi dans la suffisance d'un sourire, d'un regard. « Il prendra la même chose que moi » assure t-elle en lui ôtant ledit menu des mains, le gratifiant d'un sourire malicieux. Elle ne s’embarrasse pas de son avis, petite princesse percluse d'ennui et d'impudence. Au début, l'attention est un délice qu'on savoure avec appétence, pensant qu'on ne s'en rassasiera jamais ; puis elle périclite, devient fade. Ça n'amuse plus. Ils sont les mêmes les sourires, les éloges, les sympathies - tous ont le goût d'un dû usité, conférant l'exquis droit de laper un peu de ce lustre nitescent qui nimbent les enfants rois. Mais lui, lui, il détonne de la ribambelle d'enfants qu'elle doit entretenir, divertir. Dénué de leur fausseté consacrée, oxymore à ces titanesques égos qui promettent d'enchaîner le monde à leurs illustres patronymes. « ne t'en fais pas, c'est sans alcool » signifie t-elle à l'instant où le barman lui tend un verre. Elle l'interroge de ses iris pétillants de curiosité, demandant silencieusement : qui es-tu ? Et, finalement, qu'importe ! Elle le saurait avant la fin de la journée. « Ce n'est certainement pas ce que l'on attend de toi - rester dans ton coin, je veux dire. Généralement, ce genre d'évènement, c'est plutôt l'occasion pour que nous, les riches de demain, nous puissions nouer des alliances. » Presque cynique, la brunette se fend d'un soupir ; ces soirées sont devenues un fléau pour sa sanité, expurgeant l'une après l'autre tout le plaisir qu'elle y prenait auparavant. Conspiratrice, elle se penche vers le jeune inconnu pour lui susurrer à l'oreille. « enfin, crois-moi, tu ne rates pas grand-chose. » Sans elle, qui sait quelle odieuse compagnie l'aurait torturé des heures durant ? Non, vraiment, sa propre générosité n'en finissait pas de l'étonner. Quoiqu'il y ait, dans ses desseins, toujours l'éclat d'un égoïsme inconscient. Au moins promettait-il d'être un interlocuteur divertissant. « lesquels sont les tiens ? » questionne t-elle finalement, tournée vers l'assemblée d'adultes positionnés plus loin, qu'elle désigne d'un hochement de tête curieux
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Kingsteen
MESSAGES : 2054 BARGE DEPUIS : 07/11/2019 ROYAUME : Elvendyr - Topaz Kingdom - Au Manoir Cristal, qui lui appartient totalement désormais.
Plongé dans la lecture de ce maudit menu pour tenter de trouver quelque chose qui pourrait lui convenir, Kingsteen n'a pas fait attention aux pas qui s'étaient approchés de lui. Si bien que lorsque la voix résonne à ses côtés, un sursaut le prend. Ce n'est pas bien de se faire ainsi surprendre. Aeglos lui ferait surement la morale du type "il faut toujours être sur ses gardes". Comme si un malheur pourrait leur tomber dessus à n'importe quel moment. Le menu lui est arraché des mains mais King ne proteste pas. Le petit prince n'a pas envie de se faire remarquer de toute façon. Déjà qu'elle l'a remarqué lui... Quel est son nom ? Il ne sait pas. Et pour le moment il ne lui demande pas. Se contentant de la détailler pour tenter de percer ses secrets. Mais lesquels ? Aucune idée. En tout cas au vue de sa tenue et de son sourire si parfait, cette jeune femme fait parti de ces enfants de riche. Tout comme lui. Ils ont au moins un point commun.
Silena : (...)
Teeny observe le verre qu'on lui tend et finit par s'en emparer. Doucement il l'approche de ses lèvres, sentant le regard inquisiteur de la demoiselle sur lui. En même temps elle a de quoi se poser des questions. Il est mué comme une tombe. Pourtant c'est bien aux hommes de faire le premier pas non ? Du moins c'est ce qu'on lui a toujours dis. On lui a aussi fait comprendre que jamais il ne pourrait épouser quelqu'un qu'il aimerait alors vous savez, l'amour n'est pas un sentiment qu'il est capable de ressentir. Il n'en a même jamais eu de la part de ses parents alors comment pourrait-il le comprendre ? Cette demoiselle a beau être sublime, elle n'est qu'une silhouette parmi tant d'autres. Kingsteen le sait : il doit attendre que son père se décide à lui trouver une fiancée. Et il attendra. Autant de temps qu'il le faut.
Silena : (...)
Pour le coup elle a raison. Il devrait aller faire connaissance avec les autres. Mais il n'en a pas envie. De peur d'éprouver de la jalousie face à ces mini-hommes d'affaires qui auraient plus de pouvoir qu'il n'en a actuellement. La jeune demoiselle se penche alors vers lui, provoquant un léger malaise chez King qui se traduit par ses doigts se resserrant sur le verre qu'il tient entre les mains. Il n'a jamais été aussi proche d'un humain. Et ça ne lui plaît pas en réalité. Il serre des mains, fait des sourires, croise des gens, mais jamais on ne s'est permis de venir lui murmure des mots à l'oreille. A part son père, forcément, mais c'est rare. Et c'est souvent pour lui sortir une remarque désobligeante.
Silena : (...)
Posant son verre sur le comptoir, le petit prince tourne la tête mais ne pointe pas du doigt. Ce n'est pas poli, il le sait. Alors il compte. Silencieusement. Puis il finit par enfin ouvrir la bouche et parler à cette interlocutrice qui est venu le trouver.
Le quatrième en partant de la droite. Aeglos de Topaz. Et toi, où sont les tiens ?
Cette fois il tourne la tête vers la jeune fille et lui offre un petit sourire amicale. Les parents. Un super moyen pour commencer une conversation. Après une boisson. Et puis il faut avouer que ce n'est pas dégeu ce truc qu'elle lui a proposé. D'ailleurs il est peut-être temps de mettre un nom sur ce visage n'est-ce pas ?
Au fait, moi c'est Kingsteen. Et merci pour le verre. Le goût est fort agréable.
Sujet: Re: [Silena & Kingsteen] Fiancés ? La blague Jeu 11 Mar 2021 - 12:25
Face au verre, elle le voit hésiter — en prendrait presque ombrage, si son attitude n'était pas presque maternelle. C'est que les êtres discrets sont rares, par ici ; encore plus lorsqu'ils sont doués d'une pudeur décelable sans trop d'observation. Car comment rater ce caractère taiseux, qu'il affirme probablement plus difficilement sous son regard perçant lui obstinant son entière attention ? Vautour sans scrupule traçant ses cercles lascifs au delà de sa proie, Silena décèle ses faiblesses une à une, remarquant, dans la proximité qu'elle dessine avec indolence, la légère crispation de sa carcasse. Probablement qu'il n'est jamais tombé amoureux, prédit-elle en lui consentant sa distance salvatrice. Ou que la sociabilité lui soit peu usitée, en des cas comme celui de la petite brune, toute de feu et de fougue.
Enfin, le blondinet consent à lui laisser entendre les douces sonorités de sa voix, lui désignant avec une courtoisie prudente le paternel.
Aeglos de Topaz.
Le nom ne lui est pas inconnu. Sûrement parce qu'elle s'était fait un devoir d'apprendre les grands noms de chacun des continents. Comprendre quels étaient les leviers du pouvoir et, surtout, qui étaient leurs détenteurs. Une leçon apprise de son père, lorsqu'il lui adjurait de se tenir convenablement pour ne pas froisser ses congénères fortunés. Et Aeglos, à en croire son paternel, était un vrai requin. De quoi la laisser pantoise face à son fils, tout en humilité et réserve, sans qu'une onde d’agressivité ne trépasse la douceur inhérente de son charmant minois. Mais sans doute a t-il ses mystères, lui aussi. Qu'elle ne peut s'empêcher de vouloir percer. « mon père échange justement avec le tien » souffle t-elle avisant les deux hommes d'affaires, avant que son regard ne dévie vers un groupe de femmes papillonnantes. « et ma mère doit probablement faire semblant de s'intéresser à ce que racontent ses amies. On socialise difficilement sans un peu d'hypocrisie » souffle t-elle, malicieuse. Elle est peut-être jeune, mais elle a déjà compris comment fonctionnait leur société — ses parents s'en étaient assurés. Et peut-être que le fils d'Aeglos la trouve déjà trop ouverte ; trop franche dans ses critiques assassinant sans mesure la tempérance imposée par l'éducation qui est leur. La brunette, pourtant, s'en contrefout avec l'insolence de son rang, comme si tout lui était désormais permis, même de faillir à ses manières. « c'est peut-être pour ça que tu restes dans ton coin ? trop courtois pour être hypocrite. » elle le taquine d'un rire cristallin, tamisant derrière l'insouciance ses œillades toujours scrutatrices. Et, à sa grande surprise, elle sent le petit prince s'ouvrir à la conversation. Pas trop tôt. Kingsteen, donc. Le nom lui plaît bien. Il est comme lui, différent. Lorsqu'il la remercie pour le verre, la gamine le prend avec une fierté toute naturelle qui s'étend jusqu'à ses babines victorieuses. « Silena. » se présente t-elle à son tour, avant de plaisanter avec son aplomb familier ; « Et il se trouve en effet que j'ai très bon goût, mais ravie que tu l'ai constaté de toi-même ». Puis, malgré la curiosité saillante et le risque très probable que la réponse à la question qu'elle meure d'envie de lui poser la mette dans une situation embarrassante, la riche héritière lance un ; « ta mère n'est pas venue avec vous ? mon père aurait passé un sale quart d'heure s'il s'était avisé de laisser la mienne en dehors d'un rendez-vous d'affaires » audacieux. Qu'elle est avide de savoir quel genre de créature est sa mère, rien que pour mieux le cerner, lui !
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Kingsteen
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Sujet: Re: [Silena & Kingsteen] Fiancés ? La blague Lun 22 Mar 2021 - 11:55
Fiancés ? La blague
Août 1857
Silena : (...)
Kingsteen observa alors son paternel, détaillant plus particulièrement l'homme avec lequel il était entrain de discuter. Il l'avait déjà croisé à quelques reprises, mais sans plus. Il ne lui avait pas adressé la parole. Parce que ce n'était pas à lui de s'adresser à des hommes de ce genre. Il n'était qu'un gamin comme aimait le souligner son père. Certes il était dans son ombre, pour apprendre, mais il n'avait pas le droit à la parole. Même une lampe aurait le même effet que Kingsteen dans une pièce.
Silena : (...)
Son regard se tourna alors sur le groupe de femmes. Il ne fut pas difficile de reconnaître la mère de son interlocutrice. La sienne ? Absente. Forcément. Avec les jumeaux, c'était impossible de se présenter dans une soirée de ce type. Surtout avec Kaïlyss qui avait le don de se curer le nez en public. Imaginez un peu l'image de la famille... L'hypocrisie... Dans ce monde de petits bourgeois il en fallait. Faire semblant de s'intéresser à quelqu'un, lui donner raison pour obtenir en échange des faveurs qu'on espère secrètement. Oui, ils sont tous affreux dans ce milieu. Enfin King en a encore des choses à découvrir sur le monde des affaires. Notamment sur son père. Il est encore jeune pour comprendre tout ce qui se trame dans l'ombre.
Silena : (...)
Un petit sourire étira les lèvres de Teeny. Cette fille était sans filtre. Et c'était... plaisant ? Qu'on ne le prenne pas pour un abruti et qu'on accepte de lui parler librement ? Peut-être, il ne savait pas. En tout cas son comportement l'amusait beaucoup, c'était clair. Et elle avait raison : il n'était pas du genre à dire ce qu'il pensait. Du moins ça dépendait avec qui. Jamais il ne se permettrait une remarque pour son père. Sa mère par contre... et sa manière d'éduquer les jumeaux, ça il pouvait se le permettre. Tout comme reprendre les serviteurs. Dans son cocon il était un petit prince. Ou seul le roi au dessus de lui n'avait pas la chance de recevoir ses répliques moralisatrices, puisque c'était lui qui se les prenait.
Silena : (...) (...) (...)
Verre à la bouche, Kingsteen finit par le reposer. Avalant son contenu et se délectant de ce merveilleux goût qu'il ne connaissait pas, il secoue négativement la tête et essuie de son pouce le bord de ses lèvres mouillées par ce délicat brevage.
Non. C'était elle qui s'occupait de l'entreprise avant ma naissance mais depuis... elle a laissé la place à mon père. Et puis depuis la naissance de mon petit frère et de ma petite soeur, elle préfère s'occuper d'eux. De vrais terreurs. J'en prendrais bien un pour taper sur l'autre.
Les enfants... ils peuvent être intéressants si comme Teeny ils avaient été sages et ne mettaient pas le bazar partout dans la maison. Mais non, ils étaient insupportables. Et s'ils faisaient attention à ne pas contrarier leur père, King était lui prie pour cible. Ce qui lui déplaisait clairement... A moins que ça ne soit le fait qu'il jouisse de moins de liberté qu'eux ?
Tu es fille unique ?
Quitte à échanger des informations sur sa famille, autant qu'il en demande lui aussi sur cette Silena non ? Quel prénom d'ailleurs... il était fort intéressant. Différent. Mais avez-vous déjà vu un prénom non original à Elvendyr ?