MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 5:22
Phoebe Parker
Maybe I'm in Hell. That's okay. I'm not scared of Hell. It's just Heaven for bad people.
Lors de ce doux 18 décembre, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être Seattle. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 28 automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus moyens. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir la chanteuse, bien sûr, mais également l'herboriste que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis célibataire et que l’étiquette de hétérosexuelle se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah voilà, mon don de cryokinésie, si vous me faites chier je vous congèle sur place. Avec tout ça, j’appartiens à la classe des something blue et qu’avec tout ça je me vois être totalement dans le flou. Sérieusement, Elvendyr ? C'est un conte pour enfants, non ? Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Lea Michele. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit !
Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff.
Certains vous diront que je suis froide ou amère. D'autres, paradoxale ou complexe. Beaucoup vous diront psychopathe, eux, ils ont bien apprit leur leçon. Tous auront raison. Je m'appelle Phoebe Parker et je peux rapidement devenir votre pire cauchemar. ... D'accord, peut-être pas le pire. Disons au moins dans le top 5. S'il est une chose qu'il vous faudra comprendre d'emblée, c'est que je n'ai peur de rien car je n'ai rien à perdre. Hormis peut-être ma vie, bien que je ne lui accorde que peu d'importance. Ce qui fait de moi quelqu'un qui se mesurera à tout, y comprit au danger. En particulier au danger. C'est mon terrain de jeu préféré. Je me suis conditionnée à enfouir mes émotions, à ne pas les laisser transparaître. Vous ne verrez presque jamais une émotion sur mon visage qui soit autre que de la confiance ou de la détermination. Et si, d'aventure, il vous arrivait de voir transparaître une ombre de peur chez moi, il est peu probable que vous gardiez vos yeux suffisamment longtemps pour être en mesure de confirmer ou réfuter votre théorie. Vous pensez que j'exagère ? Peut-être... peut-être pas. Après tout, « quand tout le monde sait que t'es un monstre, tu perds pas ton temps à commettre des monstruosités. » ( Leigh Bardugo ) Mais qui sait ? Tentez Lucifer si ça vous chante. Je vous aurais prévenu... De la même manière, j'ai appris à rester seule, à combattre ces sentiments de vide, de solitude, de besoin des autres. Tout au long de notre vie, les gens vont et viennent. Très peu restent, beaucoup s'éloignent, et certains ne sont de passage que pour vous pourrir l'existence, qu'ils soient faux-amis ou ennemis confirmés. Dans la finalité on est toujours seuls, autant s'y habituer dès le départ. La vérité, c'est que je ne suis pas aussi sans-coeur que j'aime à le faire croire. Je chante avec mes émotions, j'agis avec mes émotions, même mon pouvoir est dirigé par mes émotions. Un coup de colère qui me prend au tripes, et vous pourrez voir des pics de glace géants se former autour de moi. Ma part d'ombre aussi n'est régie que par mes émotions. Psychopathe est peut-être un grand mot, bien qu'il me plaise tout particulièrement. Disons que je ne m'amuse pas à traquer des innocents jusque chez eux pour m'y introduire sournoisement, les traîner dans leur cave et les torturer jusqu'à ce que mort s'en suive. Les raclures de macadam en revanche... bon, tenez, par exemple un jour, j'ai coupé le pénis d'un mec avec un sécateur parce qu'il s'était introduit chez moi. Mais il l'avait cherché. Et il m'avait énervée ! ( et au cas où vous vous poseriez la question, oui je garde un sécateur dans ma chambre, alors que j'habitais à l'époque en appartement au cinquième étage et que je n'avais pas de jardin. Mais vous l'avez comprit, chez moi, il a une autre utilité... ) Il y a encore beaucoup de chose que vous ignorez de moi. Saviez-vous par exemple que je suis très douée au lancé de couteau, que j'ai un taser qui s'appelle Veronica ( petit clin d'oeil à la série Veronica Mars ), que je suis accro à la caféine, que je sais me battre, ou encore qu'en ma qualité d'herboriste il serait plus prudent de votre part de ne pas boire les breuvages que je pourrais vous servir ? Mais gardons un peu de mystère pour notre prochaine rencontre, voulez-vous...
Bienvenue à RevealDown. Nombre d'habitants : 3245. Niveau d'activité : pas reluisant. Vous voyez Stars Hollow, dans Gilmore Girls ? Et bien on en est très loin. Nombre de Starbucks : zéro. Demandez leur du lait de coco dans votre frappuccino, et on vous regardera comme si vous veniez de Raxacoricofallapatorius. Qu'est-ce que je fiche ici ? C'est une longue histoire. Pourquoi j'y reste ? C'est chez moi.
The snow glows white on the mountain tonight, not a footprint to be seen. A kingdom of isolation, and it looks like I'm the queen...
Quand j'étais enfant, ma mère me racontait une histoire qui constituait le folklore de sa ville natale. L'histoire parlait d'un royaume, créé par deux soeurs : Amara et Shaenna. La première domptait les ténèbres tandis que la seconde apportait la lumière, et c'est parce qu'entre les deux soeurs se composait un équilibre parfait qu'en leur royaume régnait paix et harmonie. Puisqu'un conte de fée n'est rien sans magie, les deux soeurs avaient décidé de faire cadeau de dons à leurs dévoués sujets. Elles combinèrent ainsi leurs pouvoirs afin de créer quatre Maîtres, les Élémentaires Originels : Helix, maître du feu ; Yoris, maître de l'eau ; Kyros, maître de l'air ; et Oriel, maître de la terre. Avec la bénédiction de leurs mères et créatrices, chaque Maître créa son propre royaume, se divisant ainsi la population d'Elvendyr et transmettant à chaque peuple un pouvoir en rapport avec l'élément qui régissait leur nouveau territoire. Et puis un jour, Amara perdit le contrôle. A force de dompter les ténèbres, ce furent les ténèbres qui s'emparèrent d'elle, la retournant contre sa soeur et lui faisant miroiter des rêves de culte, de pouvoir et de domination. Bien décidée à devenir seule maîtresse d'Elvendyr, Amara relâcha l'un de ses plus redoutable démon afin de semer guerre et chaos et de réduire en poussière l'oeuvre qu'elle considérait comme étant davantage celle de Shaenna que la sienne. Le seul royaume qui fût sien était celui des Enfers, le seul sur lequel sa Miss-Parfaite de soeur n'avait aucun contrôle, et elle entendait bien l'étendre aussi loin que possible. Ne trouvant aucune autre solution, les Élémentaires Originels se sacrifièrent au nom de Shaenna afin de sauver Elvendyr de la rage d'Amara et de la destruction de son démon. J'ai toujours eus du mal avec cette fin. Elle semblait incomplète. Et presque un peu trop facile. Malgré tout, j'adorais cette histoire, et j'ai toujours eu une préférence pour le personnage d'Amara. Je n'ai jamais pu m'empêcher de penser qu'elle devait avoir agit pour des raisons bien plus profondes qu'une simple question d'orgueil. L'histoire allait de paire avec une légende qui racontait qu'Elvendyr était relié à notre monde par une rivière, située à RevealDown. Le folklore raconte que quiconque boit l'eau de cette rivière se voit attribuer un pouvoir en rapport avec l'un des quatre éléments. Salem avait des sorcières... RevealDown a une rivière magique.
And the wind is howling like this swirling storm inside... Couldn't keep it in, Heaven knows I've tried...
Mes papiers d'identités indiquent que je suis née à Seattle, le 18 décembre 1991. Ce n'est pas tout à fait vrai. En réalité, ma mère a accouché durant le trajet de RevealDown à Seattle, à Horlick plus précisément. Si le nom ne vous dit rien, c'est parfaitement normal, c'est le genre de petite ville paumée et sans grand intérêt dont l'hôpital le plus proche se trouve... et bien à Seattle justement ! Je n'ai jamais su réellement la raison pour laquelle mes parents avaient quitté RevealDown. La version officielle était que mon père avait été muté là bas pour son travail, mais ma mère n'a jamais été capable de mentir convenablement. C'est donc là bas que j'ai passé les huit premières années de ma vie. A l'âge de cinq ans, je découvrais pour la première fois la comédie musicale Funny Girl avec Barbra Streisand, qui devint mon film préféré de tous les temps. La plupart des petites filles de mon âge regardaient des dessins animés en rêvant à devenir une princesse, moi je suivais la route de briques jaune à la recherche d'Emerald City en aspirant à devenir Barbra. Je me suis découvert un talent pour le chant en essayant de reprendre People, et c'est à grands coups de Don't Rain on my Parade que j'ai réussi à convaincre mes parents de me laisser prendre des cours de chant. Cours que j'ai voulu laisser tomber après la première leçon, parce qu'à part faire des vocalises et commencer à apprendre les rudiments sur solfège ( et vous n'avez pas idée combien c'est barbant et compliqué le solfège, surtout quand on a cinq ans ! ), je n'avais pas chanté. Gloire à Satan, ma mère ne m'a pas laisser renoncer aussi facilement. Barbra ne renonçait jamais, si je voulais chanter et être capable de reprendre ses oeuvres, je devais persévérer. Mon monde de comédies musicales ne me rendait pas très populaire auprès de mes comparses à l'école, mais je crois que j'y étais trop profondément ancrée pour réellement m'en soucier. Et puis, j'avais la chance d'avoir des parents qui m'encourageaient à rester moi-même, quoi qu'il advienne. « C'est ce qui te rend différente qui te rend plus forte », répétait mon père. D'aussi loin que je m'en souvienne, Malyen Banghart avait toujours fait partie de la famille. Ami de longue date de mon père, Mal avait toujours été là. Il venait me voir à chaque spectacle scolaire, dînait avec nous plusieurs soirs par semaine, nous avait accompagné à chaque vacances et se joignait même à nous durant les fêtes de fin d'année. Il était un peu... l'ange gardien de la famille, roc immuable toujours présent. Immuable... c'est un adjectif qui colle bien à Mal. Il n'a même jamais eut l'air de vieillir. J'adorais Mal. Il était un peu cet oncle cool, un peu façon Oncle Jesse dans Full House, mais le côté musicien en moins. Je pouvais tout lui dire, y comprit et surtout ce que je n'osais pas dire à mes parents. L'année de mes huit ans, pour la St Valentin, un garçon du nom de Bobby Cooper m'a donné une carte. Après en avoir parlé à Mal et débattus des pour et des contre, j'ai corrigé toutes les erreurs de Bobby et lui ai rendu sa carte. Un soir, assez tard, Mal débarqua à la maison, l'air préoccupé. Ma mère me fit monter dans ma chambre et m'amadoua avec une cassette de The Mirror Has Two Faces. J'étais jeune et aisément corruptible : j'étais incapable de résister à Streisand. Je ne sais pas ce qui s'est réellement dit du côté des adultes, mais le lendemain, nous déménagions pour Green Bay, dans le Wisconsin.
Don't let them in, don't let them see, be the good girl you always have to be - conceal, don't feel, don't let them know... Well now they know !
Je n'ai jamais aimé le changement. Avec l'âge, on apprend à relativiser, à apprécier certains types de changements, mais à huit ans... J'ai eus du mal à me faire à Green Bay. Je n'avais pas spécialement d'amis à Seattle, rien ni personne qui ne me retienne véritablement, mais c'était chez moi. Notre nouvel appartement était plus petit que l'ancien, mais ma mère s'est assurée de faire en sorte qu'on s'y sente rapidement chez nous. Mal nous a rejoint une semaine plus tard. J'étais tellement habituée à le voir avec nous qu'à l'époque, je n'avais pas trouvé étrange qu'il ait également emménagé dans cette nouvelle ville. A y repenser et avec le recul, il faut reconnaître que quelque chose clochait. On ne plaque pas tout pour suivre ses meilleurs amis en général. A vingt ans, peut-être, à partir du moment où le meilleur ami en question n'a pas de vie de famille et que vous prévoyez d'être colocs. Pas à trente ou trente-cinq ans, quand chacun a son travail, ses obligations et somme toute, une vie bien remplie. Mais la petite fille de huit ans que j'étais, était simplement heureuse de retrouver Tonton Mal. On ne peut pas dire que les années qui suivirent soient d'un grand intérêt. On grandit, on se fait des ennemis, la routine. En 2003 voit le jour la comédie musicale Wicked, qui raconte l'histoire de celle que l'on connait comme étant la méchante sorcière de l'Ouest dans The Wizard of Oz. Cette comédie musicale est devenue favorite ex aequo avec Funny Girl dans mon coeur, avant même que je n'ai la chance d'assister à une représentation. Je me sentais proche d'Elphaba comme je ne m'étais jamais sentie proche d'un personnage auparavant. J'ai appris l'entièreté du soundtrack dès que j'ai pu mettre la main sur le CD, et ai répété Defying Gravity jusqu'à ce que ce soit parfait. Après moult supplications, Mal m'a emmenée pour la toute première fois à New York. Les mots manquent pour décrire la majestuosité de cette ville. On se sent comme transporté dans un autre univers, tout devient possible. Avez-vous déjà vu Broadway Avenue ? Oubliez Harry Potter et vos rêves de sorcellerie, c'est là bas que se trouve la véritable magie. Avez-vous déjà mis les pieds dans un théâtre ? Ce sentiment d'entrer en Terre Sainte, de faire partie de quelque chose de spécial. Les murs regorgent d'histoires, les fauteuils débordent des émotions de tous les spectateurs ayant été ici avant nous, l'atmosphère elle-même vous force au respect. La scène vous appelle, aussi intimidante que tentatrice, vous promettant une nuit inoubliable. Et bien, entrer dans un théâtre à Broadway, c'est se confronter à ces mêmes sentiments, mais de manière plus puissante encore. Ça vous prend au tripes, comme si le théâtre lui-même jaugeait si vous êtes digne ou non de fouler ses couloirs. Tout ; les couleurs, les odeurs, les agencements, la décoration, tout semble être si unique et précieux et... spécial. Je ne me sens jamais autant chez moi que dans un théâtre. Voir la performance d'Idina Menzel et Kristin Chenoweth n'a fait que confirmer ce que je savais déjà : je voulais monter sur une scène de Broadway, camper un rôle pendant quelques années, faire d'un de ces théâtres mon second chez-moi, avoir une loge, et devenir une partie intégrante de l'histoire inhérente de ce théâtre. Je reviendrais à New York. Je vivrais à New York. Et Broadway serait ma maison.
Let it go, let it go, can't hold it back anymore... Let it go, let it go, turn away and slam the door ! I don't care what they're going to say. Let the storm rage on... The cold never bothered me anyway.
Je crois sincèrement, profondément, que rien n'arrive par hasard. La Vie est une belle garce, pourtant elle s'arrange toujours pour nous diriger là où nous devons aller. J'y crois. Et je me suis forcée à y croire quand je n'y croyais plus. Je pense aussi que la Vie ne nous confronte qu'à des choses qu'elle nous sait suffisamment fort pour surmonter. Deux chemins s'offrent alors à nous, il ne tient qu'à nous d'en emprunter le bon. Il est facile de s'apitoyer sur son sort, de pleurer en se demandant « Pourquoi moi ? », mais en prenant la vie un problème à la fois, et en laissant le temps au temps, on finit par comprendre que l'on devait en passer par là pour grandir. Parfois, il faut que l'orage éclate. J'ai perdu mes parents exactement cinq jours après mon treizième anniversaire, soit deux jours avant Noël. Nous revenions du marché de Noël quand la voiture a... tout bonnement explosé. La batterie, à ce qu'il paraît. J'ai été éjectée de la voiture tandis qu'elle devenait le bûcher personnel de mes parents. Et puis il y a eut les cris de ma mère tandis qu'elle agonisait. Les bruits autour de nous, l'affolement, un sifflement strident dans mes oreilles... et le trou noir. Je me suis réveillée à l'hôpital, perfusée, bandée de tout côté, et les douleurs en conséquences qui se ranimaient en même temps que moi. Douleur. Peur. Questionnement. Puis revinrent les souvenirs. Peur. Panique. Étouffement. En parfaite harmonie avec le rythme de mon coeur, le moniteur s'emballait à mesure que les dernières images de l'accident se déroulaient dans mon esprit. Douleur. Panique. Étouffement. Assez pour alarmer les infirmières. Aucune ne consentit à répondre à mes questions. On m'injecta un somnifère, et ce fut à nouveau le trou noir. A mon second réveil, je n'attendis l'arrivée de personne pour débrancher les perfusions de mes bras et bien que chaque pas me rapprochait un peu plus d'un nouvel écroulement à cause de la douleur, je me traînais tant bien que mal dans les couloirs de l'hôpital sans réellement savoir où j'allais. Je voulais voir mes parents, je voulais qu'on me dise qu'ils aillent bien. Je voulais être près d'eux, j'en avais besoin. Je ne passai évidemment pas inaperçue bien longtemps et un médecin voulu me ramener de force dans ma chambre. Les yeux larmoyants, aussi bien sous le coup de la douleur que de la panique, je l'implorai de me laisser voir mes parents, jurant qu'à moins qu'il ne m'abatte à coup de somnifères, je ne cesserais de me lever. Il accepta de mauvaise grâce, à condition que j'accepte qu'il me remette mes perfusions et que je sois assise dans un fauteuil roulant. Tout le long du trajet, il me demanda si j'étais sûre de moi, et bien qu'il n'osa jamais me dire franchement la situation, il me laissa clairement entendre que je pourrais bien regretter amèrement mon entêtement. Arrivés devant la porte de la chambre de ma mère, il me laissa une dernière chance. Ce que j'allais voir serait très difficile à supporter, traumatique même. Elle avait été brûlée au quatrième degré et tenait à peine en vie... et était méconnaissable. Je n'en suis pas fière, mais à la seconde où j'entrais dans la chambre j'eus un haut-le-coeur atroce. Le simple fait de la regarder faisait souffrir tant son corps entier semblait hurler, et l'odeur de chair calcinée aurait fait frôler le malaise à un n'importe qui. Mon premier réflexe fut de sortir. Fuir. Oublier. Cette femme ne ressemblait pas à ma mère, et je n'étais ni physiquement ni mentalement capable de supporter ce spectacle. Mais qu'aurais-je pu faire d'autre ? Je me sentais déjà désemparée au possible, mais qu'advenait-il d'elle ? Elle qui devait se sentir plus seule que jamais, elle qui souffrait visiblement le martyr, elle qui était si vulnérable que même un courant d'air aurait fait hurler de douleur ? Elle que rien, pas même la morphine, ne pouvait soulager ? Lorsque ma mère comprit que j'étais là, elle murmura quelques paroles inaudibles. Un effort qui lui coûtait beaucoup. Et moi, pauvre larve, je n'avais été capable que de pleurer toutes les larmes de mon corps, car au fond de moi je savais déjà quelle inévitable fin prendrait cette visite. Elle tendit la main à la recherche de la mienne, un effort dont seule une mère est capable, envers et contre tout. Je ne vous décrirais pas la sensation que produisit sa main dans la mienne. J'en suis incapable et je ne le veux tout bonnement pas. Je ne veux même pas penser à la douleur que ce contact lui infligea. Elle serra ma main autant que son énergie le lui permettait, et elle chuchota à nouveau quelque chose d'incompréhensible. Il y eut un dernier « je t'aime ». Une dernière pression contre mes doigts. Un dernier souffle.
It's funny how some distance makes eveything seem small, and the fears that once controlled me can't get to me at all !
Les mois qui ont suivit ont été ma descente aux Enfers. Comme une longue noyade. Je m'enfonçais entre la tristesse, la colère, la douleur, la solitude, tant de sensations dont je n'arrivais pas à - dont je ne voulais pas - m'échapper. Mais Malyen était là. Il était... toujours là. Et avec lui, il n'était pas question que je m'effondre. A ses yeux, hors de question que je me laisse sombrer. Pour m'aider à canaliser et à extérioriser mes sentiments, Mal m'a apprit l'art du lancé de couteaux, me faisant par là-même découvrir une toute nouvelle facette de lui dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence. Lancer des couteaux s'est avéré particulièrement cathartique, à partir du moment où j'ai commencé à intégrer les bases. A cela, Mal ajouta quelques rudiments de combat. Je crois que l'idée était de me permettre de me défouler, et mes poings à l'âge de treize ans faisaient bien moins de dégâts qu'un couteau mal lancé à n'importe quel âge aurait pu en faire. La seule famille biologique qu'il me restait était ma grand-mère paternelle, Elween O'Malley. Elle habitait RevealDown, mais déménagea à Green Bay, pour ne pas « anéantir mes repères ». En dépit de mes vaines tentatives de la convaincre que changer de ville serait probablement une bonne chose pour moi, elle resta intransigeante sur la question. Pourquoi O'Malley et non Parker, si elle était ma grand-mère paternelle ? Simplement parce que Parker était son nom de jeune fille, et que c'est ce nom que mon père a décidé de prendre. Je ne sais pas trop ce qui s'est passé entre lui et mon grand-père, je n'ai même jamais connu ce dernier. Visiblement, la rancoeur était suffisante pour qu'il refuse de garder son nom. Mal resta avec nous pendant deux mois après la mort de mes parents. Puis un matin, il avait tout bonnement disparu. Aucune lettre, aucune trace. Aucune explication. Il s'était tout simplement envolé. J'avais tout perdu. Mais j'étais plus forte. Mal s'en était assuré. Je l'ai haïs pour être parti de la sorte, haïs pour m'avoir laissée tomber. Il m'a trahie. Et aujourd'hui encore, je ne lui ais pas pardonné, et il aurait grandement intérêt à faire attention s'il se représentait un jour devant moi. Mais il faut admettre que je ne me suis pas effondrée grâce à lui. La musique aussi m'a sauvée. J'ai cru que je serais incapable de chanter à nouveau, je n'en trouvais plus la force, ni l'envie. Il m'a fallu six mois, peut-être plus, avant d'être capable de sortir une véritable note de mes cordes vocales. Il y a quelque chose de cicatrisant dans le fait d'utiliser sa douleur et ses propres expériences dans la musique. Elween était une femme pleine de principes. Elle était un peu comme Emily Gilmore : les choses devaient être faites à sa manière et selon ses exigences. Elle avait ce port altier et ces manières hautaines des grandes dames de bonne éducation. Pourtant, elle cachait bien des secrets elle aussi. J'ai continué à m'entraîner au lancé de couteaux. Je suis devenue aussi acérée qu'eux, n'hésitant plus à dire ce que je pensais aux gens sans me soucier de ce qu'ils penseraient de moi. Je suis devenue plus dure, plus froide... plus dangereuse. Je me souviens par exemple avoir un jour lancé un couteau droit sur une élève particulièrement abjecte. Vous savez, le genre populaire, petite pétasse s'entraînant à devenir future prostipute de bas quartier, qui vouent leur vie scolaire à rabaisser et maltraiter quiconque ne rentre pas dans leur moule prédéfini. Elle m'avait prise pour cible, j'en avais fais une cible à mon tour. Le couteau est parti se ficher juste au dessus de son crâne, et son hurlement de terreur était pure délectation à entendre. Cela a entraîné pas mal de problèmes et m'a valu, entre autre, une exclusion temporaire d'environ deux semaines, mais à mon retour, bien qu'elle fasse encore la maligne, je pouvais voir la terreur dans son regard.
It's time to see what I can do, to test the limits and break through ! No right, no wrong, no rules for me... I'm free !
Lorsqu'enfin est venu le temps pour moi d'aller à l'université, je suis partie à New York, à la Tisch School of the Arts. Grâce à une bourse, j'ai pu emménager là-bas dans un appartement certes petit, mais qui n'en restait pas moins le mien. Ma grand-mère finançait déjà mes cours, je pris donc un job de serveuse en parallèle afin de subvenir au reste de mes besoins. Vous vous en douterez, j'ai eus assez de mal à conserver un job. Les règles étaient simples : une main aux fesses, un poignet cassé. Une réflexion salace, une commotion cérébrale. Un déshabillage du regard, une boisson brûlante dans la gueule. Et puis il y avait aussi les mecs bourrés, qui s'apitoient sur leur misérable existence, veulent vous raconter leur vie et se faire plaindre, qui finissaient la tête sous un jet d'eau glaciale. Au final, plus un seul bar de New York n'a voulu m'embaucher. En même temps, s'ils avaient précisé dans leur annonce que leurs serveuses se devaient d'être les jouets sexuels ET les psychologues de ses messieurs... je n'aurais pas postulé à la base. Je ne suis restée que deux ans à l'université. J'ai toujours été exigeante envers moi-même, le chant ayant toujours été le seul moyen à travers lequel je n'ai aucune réticence à communiquer mes émotions. Je ne suis donc pas contre l'exigence des professeurs. Mais je suis contre l'exigence qui demande une apparence particulière, qui vous fait renier l'essence même de ce qui fait de vous un bon artiste, ou qui fait du chant non plus un art mais une compétition à mort. Cela me fait physiquement mal de le dire, mais je n'étais pas la plus douée à la TSA. Je faisais partie des meilleurs, et c'était motivant. Mais la perfection vient de l'imperfection. Barbra Streisand a une technique parfaite, mais ce sont les petites imperfections qui font d'elle une grande chanteuse. Toute personne sachant jouer de ses cordes vocales peut apprendre et répéter les techniques. Mais ça ne sera jamais suffisant, et ce n'était pas ce à quoi je voulais être réduite. J'ai passé les deux années suivantes à auditionner à Broadway. J'ai essuyé énormément de refus, ai été castée pour quelques rôles minimes qui ne m'apportaient rien et que j'ai lâché plus ou moins vite. Je crois qu'on est déjà tous passés par là, au moment d'entrer dans le monde du travail. Ce moment où l'on cherche un job, où l'on est motivé, mais que notre manque d'expérience et dans mon cas de diplôme également nous ferment toutes les portes et que la descente aux Enfers commence lentement. Mais croyez moi, c'est mille fois pire lorsque c'est votre rêve qui semble se refermer devant vous. J'ai fini par décidé de partir. Quitter New York, retourner à Green Bay, ou ailleurs, là où être la meilleure n'était pas le plus challenging au monde, prendre du recul. Ouais... Pour la première et seule fois de ma vie, j'avais faillis abandonner et fuir. Et si vous me connaissez un tant soit peu depuis le temps que vous lisez ( ou subissez ) ces paragraphes, vous savez que je ne suis pas du genre à fuir tout court. Peut-être que ce qui avait changé à ce moment là, c'était de voir mon rêve se faire piétiner un peu plus chaque jour et de voir toutes mes tentatives les plus audacieuses possibles effacées d'un revers de main. Ce n'était pas vraiment un cas où je pouvais choper le directeur, lui casser la jambe, lui retourner trois doigts et lui briser pratiquement le cou tant j'aurais forcé sur la contorsion de sa tête vers sa colonne vertébrale pour le forcer à m'embaucher... Mais j'ai toujours été théâtrale dans l'âme, aussi il m'était impossible de quitter New York sans faire mes adieux à l'édifice qui avait bercé mon enfance et ma vie. Je m'étais donc introduite le plus illégalement du monde dans le bâtiment, j'étais montée sur scène et j'avais visualisé une salle pleine devant moi. J'avais imaginé un coin spécial où se seraient retrouvé tous ceux qui m'avaient fermé la porte sous prétexte de mon physique quand je savais au plus profond de moi que ma voix était suffisante pour convaincre n'importe quel public. J'imaginais la tête qu'ils feraient en me voyant là, sous leur yeux, réussissant là où tous m'avaient assuré que peu importe mon talent, les gens ne voulaient pas voir quelqu'un comme moi. J'imaginais aussi mes parents, présence entourant mon coeur et me donnant la force de dépasser mes limites. Et de tout mon coeur, j'avais chanté Wind Beneath My Wings, originalement interprété par Bette Midler pour le film Beaches. Et là, un miracle. Je n'ai jamais été très croyante, mais cela ressemblait pourtant bien à un coup de pouce du Ciel. A la fin de ma performance, une voix dans l'ombre m'interpella et me demanda qui j'étais, ce que je faisais là, comment je m'appelais. A l'issue de mes réponses, alors que j'étais convaincue que ma soirée allait très mal se terminer, l'homme termina sur ces mots : « Tu es embauchée, fillette. » Je ne saurais vous dire avec exactitude comment je voyais mon avenir. Broadway était mon rêve, et je n'étais pas prête de l'abandonner. Notre directeur était quelqu'un d'attentif et de respectueux envers nos opinions. Il nous écoutait, nous donnait nos chances, prenait des risques avec nous. Je crois sincèrement que c'est la meilleure équipe avec laquelle j'aurais pu travailler. Et après ce show, j'en aurais sans doute accepter un, peut-être deux autres. Et peut-être aurais-je développé, pendant ce temps là, de nouveaux rêves à réaliser. Peut-être jouer dans une série par exemple. Enregistrer un album, avec des chansons qui n'appartiendraient qu'à moi. Je ne sais pas. Et je ne dis pas que je ne saurais jamais, mais il est clair que l'on ne m'en a pas donné l'occasion. J'ai passé trois ans sur Broadway. Trois ans... c'est plutôt court pour un rêve, non ? Trois ans dans le même show, à jouer mon personnage deux fois par jours, cinq jours sur sept et une fois par jour le reste du temps. Oui, c'est comme ça Broadway. Aussi longtemps que le show dure, aussi longtemps que notre public nous permet de continuer, on continue jusqu'à un changement de cast ou que le show ne fasse plus suffisamment d'audience. Mais un élément perturbateur est venu tout changer.
Let it go, let it go, I'm one with the wind and sky. Let it go, let it go ! You'll never see me cry ! Here I stand, and here I'll stay, let the storm rage on...
Ce qui a changé, c'est le mot que l'on avait déposé chez moi ( non pas devant ma porte, sur mon paillasson ou dans ma boîte aux lettres, mais bel et bien chez moi ), accompagné d'un bouquet d'hibiscus.
Ce n'était pas un accident. Les réponses que tu cherches sont à RevealDown. - Un ami
La mort de mes parents n'était donc pas un accident, et quelqu'un semblait en savoir plus que moi sur ma propre vie. Vous savez, lorsque je me suis réveillée à l'hôpital à l'époque, les docteurs ont dit que j'avais de la chance d'être encore en vie. Pendant deux minutes, j'étais cliniquement morte. J'avais trouvé la situation ironique, compte tenu du fait que j'aurais voulu mourir avec eux, mourir à leur place. C'est d'autant plus ironique maintenant qu'il semblerait, à en croire ce message, que je n'aurais pas dû survivre moi non plus. D'aucuns disent que dans le langage des fleurs, les hibiscus lancent une invitation qui ne saurait être refusée. Quelques jours plus tard, je déménageais pour RevealDown, avec la ferme intention de trouver les fameuses réponses promises par ce mystérieux expéditeur. La veille de mon départ pour RevealDown, accompagné d'un nouveau bouquet d'hibiscus se trouvait une adresse et un jeu de clefs.
Cette demeure fait partie de ton héritage, elle te revient de droit. PS : ne fait confiance à personne.
Au verso était inscrit :
Il n'y aura pas de retour arrière possible. Sois sûre de ton choix.
My power flurries through the air into the ground... My soul is spiraling in frozen fractals all around ! And one thought crystallizes like an icy blast... I'm never going back. The past is in the past !
Le manoir O'Malley. Le manoir de ma grand-mère. Quelqu'un s'était procuré un double des clefs, en avait peut-être même gardé un jeu pour lui-même. L'idée m'a effleuré l'esprit, un fol instant, qu'il s'agissait peut-être de Mal, mais il aurait laissé un véritable indice sur son identité, s'il n'avait pas signé de son nom. Peut-être était-ce un réel allié, peut-être était-ce un piège. Cependant il me semble vous l'avoir déjà dit, le danger est mon terrain de jeu préféré... et j'ai bien appris les leçons de Doctor Who : « Quickest way to find out anybody's plans : get yourself captured. » Mon arrivée à RevealDown ne passa pas inaperçu, mon emménagement au manoir ne fit qu'attirer davantage de regards et de questions sur ma personne. Qui j'étais, d'où je venais, pourquoi avoir troqué New York contre la Floride, pourquoi RevealDown en particulier, étais-je parente avec la famille ayant possédé la demeure et, évidemment, pourquoi un manoir. Je n'ai jamais aimé que l'on fourre son nez dans mes affaires, encore moins que l'on m'espionne. Croyez moi, vous pouvez passer un très mauvais quart d'heure à jouer à ce petit jeu avec moi. J'ai répondu à quelques questions, ai prétendu n'avoir jamais entendu le nom de O'Malley auparavant, ai inventé une histoire de toute pièce sur le pourquoi avoir quitté New York et ai finis par rembarrer les gens à mesure que leurs questions se faisaient trop insistantes, ou avant de m'énerver pour de bon et de leur extraire les cordes vocales. Je n'ai jamais cherché à me faire apprécier de quiconque, encore moins des voisins ; et ce quelle que soit la ville. Au cas où vous vous poseriez la question, Elween est toujours en vie. Elle s'était habituée à la ville de Green Bay et ne voyait pas d'inconvénient à ce que je vive au manoir. Elle non plus ne sait pas réellement pourquoi j'ai quitté New York, et c'est probablement mieux ainsi. Trouver du travail en tant que chanteuse à RevealDown relève de l'impossible, et les revenus du manoirs ont rapidement commencés à se faire sentir, me conduisant à l'inévitable recherche de travail parallèle. Il y a une petite herboristerie à Clearwater, le Bitter Aloes, tenu par une vieille dame du nom de Kirsten Coldwater. En très peu de temps, je suis devenue sa meilleure cliente, car ce magasin est un peu comme un petit coin de paradis. On y trouve des plantes, mais aussi toute sorte de remèdes pour ceux qui, comme moi, n'aiment pas se soigner à coup de médicaments. A force de discussions, Mme Coldwater a fini par accepter que je travaille avec elle comme apprentie. Ce soir là, un nouveau bouquet d'hibiscus m'attendait, accompagné des vieux carnets d'une certaine Aléa Carstairs qui furent, je dois l'admettre, particulièrement utiles. Y étaient rédigés des recettes, les propriétés de certaines plantes, des astuces. Une ancienne parente ? Un indice sur ce mystérieux « ami » ? Je n'en sais pas davantage que vous.
Let it go, let it go, and I'll rise like the break of dawn. Let it go, let it go ! That perfect girl is gone. Here I stand in the light of day. Let the storm rage on !
Mon histoire aurait pu s'arrêter là. Des mystères à résoudre, un vieux manoir dont il me faut encore découvrir les secrets, des voisins à balancer par les fenêtres et un intrus aux hibiscus à prendre sur le fait. Mais la Vie avait encore quelques tours dans son sac... enfin, au moins un. C'était il y a environ un an, un soir comme un autre, vous savez, la routine. On rentre chez soi, il est tard, on croise une bande de mecs louches qui vous sous-estime, décident de vous suivre et de vous interpeller. Jusque là, rien d'anormal. RevealDown a son lot de jeunes branleurs, de poivrots de tout âge, de violeurs, de déchets humains. Non, la petite particularité de ce soir là, c'est que lorsque j'ai commencé à étrangler le premier type qui s'était approché d'un peu trop près, il a commencé à... congeler. Vous n'imaginez même pas combien de fois cette capacité m'a été utile depuis que je me la suis découverte... Mais à l'époque, j'ai paniqué. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je n'étais même pas certaine de ne pas halluciner. D'autant que je me revois encore, plus tard dans la soirée, au manoir, essayer de réitérer l'expérience sans succès et me demander ce qui s'était passé dehors. Évidemment, en bonne sériephile que je suis, j'avais déjà vu des épisodes semblables. Charmed, Flash, Supergirl et j'en passe, tous nous montrent ce genre de scène. On découvre son pouvoir grâce à une émotion forte, on ne les contrôle qu'à cause de nos émotions, sauf que ça n'est pas supposé se produire dans la vraie vie dans la mesure où les pouvoirs magiques, c'est comme Poudlard, le Prince Charmant ou les happy ending : ÇA N'EXISTE PAS !!! ...Ou peut-être que si. La seconde fois où mes pouvoirs se sont manifestés, c'était au Bitter Aloès. Une vieille dame me prenait la tête, n'étant jamais satisfaite des conseils que je lui adressais. Vous savez, le genre de client « oui mais non », qui vous demande conseil pour ensuite vous expliquer que vous avez tort, pour finir par vous faire un laïus sur les miracles du pharmaceutique, critiquer ceux qui se soignent aux plantes, et essayer de vous faire aller dans leur sens. Mes yeux, couleur chocolat, sont devenus bleus, et tout mon corps s'est mit à émettre un froid glacial, polaire. La vieille chouette a prit peur et est partie pour ne plus jamais remettre les pieds dans la boutique. Bon débarras ! Au fil du temps, j'ai appris à contrôler plus ou moins mes pouvoirs. Une émotion forte déclenche encore parfois un phénomène glacial, mais je sais utiliser mes pouvoirs sur demande. J'en apprends encore beaucoup sur eux, chaque jour. Moi qui ai toujours aimé le froid, je suis servie ! Hormis congeler les indésirables et faire jaillir des pics de glace géant autour de moi, je peux générer de la glace à volonté. D'un seul geste de la main, je peux faire jaillir de la glace et vous laisser bloqué contre un mur par exemple. Ça s'avère particulièrement utile contre les araignées. Un jet de glace et les voilà bloquées, congelées... et mortes, j'espère. Moi qui en suit phobique, c'est quand même plus pratique de les congeler ! ... J'aurais aimé avoir ce pouvoir quand j'ai acquis le manoir, je suis parfaitement incapable de tuer mes propres araignées ! Plutôt foutre le feu à la baraque et déménager ! Quoi d'autre... je peux générer des armes faites de glace. Je dois encore me perfectionner, mais c'est déjà pas mal ! Ou, de la même manière que je peux faire jaillir de la glace si j'ai besoin de bloquer un adversaire contre une parois quelconque, je peux y aller plus franco et lui lancer un pic de glace. Quand on a pas de couteau sous la main, et qu'on n'a pas encore maîtrisé l'art de les créer de toute pièce à partir de la glace, ça s'avère très pratique, et ça fait les mêmes dégâts ! Je ne vais pas vous énumérer chaque petite faculté que je me suis découverte depuis un an. Certaines sont insignifiantes, d'autres restent à approfondir, le tout vous restera à découvrir si vous avez le courage - ou la folie - de vous confronter à moi...
The cold never bothered me anyway...
AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND
Pseudo : Je crois que le nom/pseudo de Phoebe, sous toutes ses déclinaisons, m'a toujours suivie ! Donc Phoebe, Phoeby, Pho, Phoeb's... Sinon vous pouvez m'appeler Auriane xD Où as-tu donc connu le forum ? Une certaine Disturbed, que vous connaissez sous le nom de Derek Morrow Qui m'a manqué tout plein ! Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? La première chose que je veux vous dire, c'est que ça fait bien 2 ans si ce n'est plus que je n'ai pas écris une seule ligne de RP ! Non seulement je suis rouillée, mais quand je relis mes anciens RP, je n'arrive pas à croire que j'en suis l'autrice, certaine que je serai incapable d'écrire ainsi aujourd'hui. Et honnêtement ça me fait peur, parce que j'adorais écrire. Sinon, à part ça j'ai 23 ans, en recherche de taff ( mais personne ne veut m'embaucher, youpiiiiiiiiii ! ) et je crois que c'est à peu près tout xD Ah si ! J'ADOOOOORE Lea Michele. Autant que vous le sachiez tout de suite. C'est ma déesse, ma muse, ma raison d'être, mon role model. J'adore Glee aussi, et Gilmore Girls. Et Full(er) House. Et Doctor Who. Vous avez repéré les citations Doctor Who ? Héhé. Broadway et les comédies musicales me sont aussi vitales que respirer ( d'ailleurs un jour j'irai à New York et j'irai voir un show à Broadway. On y croit !!! ). Côté lecture, je suis amoureuse de la plume de Leigh Bardugo, et il y a une petite part de mon âme qui est dévouée au GrishaVerse ( y a-t-il des Fabrikator Alkemi dans la salle ? ) et qui vit à Ketterdam. Voilà, je crois qu'on a fait le tour. En fait non, on est très loin du compte, mais je crois que vous avez déjà une bonne petite vue d'ensemble xD En résumé : je suis folle ! Le forum, tu en penses quoi ? Je l'adore ! Par contre les flocons de neige, j'avoue qu'ils sont un peu... un peu. xD Mais sinon pour le reste, vous avez trop géré ! Ça pue la classe et ça fait un bien fou de retrouver un forum digne de ce nom ! As-tu des demandes spéciales ? Oui ! ... Non. Je sais pas ! Pour le moment, je ne sais pas encore vraiment où je vais avec ma Phoeb's, alors c'est chaud patate. Je sais pas si elle est une élémentaire d'Eau, ou de Feu, ou si c'est un putain de Démon pas comme les autres, ou un Ange qui aime particulièrement botter le cul des gens. Je suis sûre que vous pouvez lire entre les lignes les rouages de mon esprit tourner à 100 à l'heure ( et un peu dans le vide, faut bien l'avouer... )
Dernière édition par Phoebe Parker le Dim 2 Fév 2020 - 15:02, édité 36 fois
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Derek Morrow
MESSAGES : 4058 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : Empire State of Mind.
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 8:05
VIENS ICI TOUT CREUX TE NICHER ENTRE MES PALUCHES, PHOB'S ADORÉE !! RAH QUE JE SUIS HEUREUSE, DE TE VOIR ICI ET AVEC LA BELLE LEA QUI PLUS EST ! Ton amour inconditionnel pour cette célébrité, je l'avoue, ça m'a manqué de le lire via la petite bio perso de tes fichettes (OMG ! enfin quelqu'un qui regarde the good doctor !!! On va avoir plein de choses à se dire, à ce sujet !! ) Et t'en fais pas, tu n'es pas seule dans ce bateau. Nous sommes plusieurs, à ne pas avoir touchées à quelques lignes de RPs de puis un petit moment alors sache que le dépaysement sera compris Une élémentaire de l'eau, ou un ange botteuse de miche, j'avoue, Phoebe, je la vois que trooopppp bien
Bonne chance et belle rédaction de fichette, ma belle ! Si tu as besoin de quoique ce soit, surtout, hésite pas Qu'il me tarde de RP de nouveau avec toi
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 8:16
MA DISTURBED D'AMOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR ! VOUIIII CÂLIN ET NE ME LÂCHE PLUS JAMAIS ME LAISSE PLUS REPARTIR Mouahahah, mon amour pour Lea est la seule chose qui ne changera jamais ! Même à 90 balais, j'écouterai Lea et regarderai Glee en rêvant d'avoir un quelconque talent pour le chant xD ( par contre je crois que tu as lu trop vite xD Désolée... c'est pas Good Doctor, moi c'est Doctor Who ! Tu sais, avec le Tardis, les régénérations, les voyages dans le temps... Sorryyyyyyyyy )
Bon, c'est cool si on me comprend alors xDDD Mais j'avoue que ça me fait chier quand même de plus être au niveau. Ma fiche risque de ne pas être fifou et ça m'éneeeeerve xD Et puis sérieux, j'en suis quand même à un stade où je sais pas quoi faire de Phoeb's. Moi ! Qui ait calé le perso de Phoeb's dans TOUS les univers possibles ! Je savais directement où la mettre, j'avais même pas besoin d'y réfléchir. J'ai changé. J'aime pas ça. Je veux retourner à l'ancienne version de moi. C'est comme avec Windows 10, je veux revenir à Windows 7 ! >< Mais JUSTEMENT ( héhé ) je t'ai envoyé un MP !!! Vais avoir besoin de ton aide et de tes conseils !!! Et évidemment, une fois que j'aurai réussi à en faire quelque chose et que je serai validée ( on va y croire quand même xD ) IL NOUS FAUT UN RP !!!
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Invité
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 8:56
Bienvenuuuuuuuue parmi nous jolie demoiselle
Bonne chance pour ta fiche
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 9:01
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 11:09
OMG Léa <3 !!!!! Tellement un super choix d’avatar qu’on ne voit que trop peuuuu ! Et j’adore tes goûts (a) wow ! Puis une amie de Derek c’est certain que tu dois être géniale !! Hésite surtout pas pour les questions, mais tu sembles avoir déjà les bons contacts haha ! Et on a tous eu nos périodes d’arrêt de rp
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Invité
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 12:06
Coucou. Je te souhaite la bienvenue
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Phoebe Parker
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Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 13:50
Hunter : Jensen Ackles Excellent choix aussi, il va nous falloir un lien cher ami ! En tout cas merci beaucoup, ça me touche Et je confirme, j'ai les bons contacts o/ Notre pauvre Derek se prend mille et une idées/questions, et le pire c'est qu'il me supporte !
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 15:00
OMG !!!!! TOI ICI !!!! AVEC LA SEULE ET L'UNIQUE, PHOEBE THE BADASS !!!! trop contente de te retrouver ici avec ce perso qui envoie tjrs du lourd, j'suis joie qu'on t'ai ramenée dans le coin, et hâte de voir comment tu vas adapter la belle à cet univers (même si elle va kick some ass anyway)(on la connaît la phopho )
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Phoebe Parker
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Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 15:14
SILENAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! Hiiiiiii je suis trop contente que tu sois là !!!! Je vais te dire... j'ai hâte de voir comment je vais l'adapter à l'univers aussi ! /SBAFF Nah, en vrai j'ai des idées, j'y travaille avec Derek ! Et ensuite... faut que j'arrive à écrire. Et sachant que j'ai pas réussi à caler 3 mots qui allaient ensemble sans que ça ait l'air forcé depuis des plombes... bah on va croiser les doigts et serrer les fesses hein ! xD Mais compte sur Pho pour dézinguer tout le monde
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Lun 13 Jan 2020 - 19:33
Ooooh, mais oui, c'est certain que je vais vouloir d'un lien Surtout si tu en as un avec mon jumeau
Puis, je dois dire que j'adore le gif du profil - son album de noel est juste GÉNIALE et dans son clip, avec la robe rouge WOW ! Un coup de coeur pour Christimas in New York ! Qui est d'ailleurs une ville tellement magnifique, c'était également mon rêve et d'y avoir été, ça été au delà de mes espérances ! J'ai pas eu l'occasion de voir une pièce à Broadway, mais c'est certain que je vais y retourner et je ne passerais pas à côté de cette occasion Et puiiiiis, DOCTOOOOOR WHOOOO !!!
Bon, je t'ai fait un semi-second message de bienvenue, mais pour ma défense, j'étais sur mon cell au travail alors
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Phoebe Parker
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Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 2:07
Ton jumeau ? Dis m'en plus ! o/ ( d'ailleurs si ça peut t'aider, je vais être pour le moment une élémentaire d'eau, et parce que j'adore Frozen de tout mon coeur et que the cold never bothered me, anyway... cryokinésie ! ...N'empêche c'est dur de choisir en vrai, y'a trop de pouvoir cool xD )
OH. MY. LANTA. Donc en fait, t'es officiellement un Leanatic 100% ? ET un Whovian ? Okay. Il ne m'en faut pas plus, je t'aime ! Et je suis parfaitement d'accord avec toi concernant Christmas in the City, mais en toute objectivité ( ou pas xD ), tout ce que fait Lea est parfait alors... Moi mon coup de coeur a été pour Do You Want To Build A Snowman ?, mais clairement, Christmas In New York est sublime ! Je veux vivre un Noël à New York Quant à toi, va falloir y retourner pour voir une pièce ! o/ ( toutes les excuses sont bonnes pour aller à New York (a) )
QUESTION !!! C'est qui ton Docteur préféré ? Moi c'était Twelve ( Capaldi ) avec Clara ! Ça a été un coup de coeur auquel je ne me serais jamais attendue ! Oh, et tu as vu Same Time, Next Christmas avec Lea ? **
Rhooo genre il faut une excuse pour fanboyer/fangirler ! /SBAFF
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 11:11
En fait, Derek c’est le jumeau non identique de Hunter
Ouais totalement dévoué à Léa <3 sûrement une des plus belles voix que j’ai entendu ! Et doctor who l’une de mes séries préférés. Je dirais Smith ! Et Amy <3 ! Mais je les aime touuuuuuuus !! (D’ailleurs j’ai rencontré la majorité du casting en vrai jusqu’à maintenant ouahhhhh!!) et j’adore aussi Jodie pour vrai même si je n’etais pas trop partant pour un doctor femme Haha ouais c’est clair que j’y retourne c’est ma ville et next Time j’y vais en liberté et pas organisé donc
Sinon super le choix de pouvoir mais j’avoue que c’est difficile de faire un choiiiiix !
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Phoebe Parker
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Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 11:22
Ohhhh d'accord ! Effectivement, je comptais avoir un lien avec Derek, donc c'est tout bien ! Je sais pas pourquoi, j'ai l'impression que ça va finir en trio d'enfer... reste à voir s'ils seront un enfer les uns pour les autres ou un enfer pour le reste du monde xDDD
Awww la chance ! Moi j'ai vu Lea en concert avec Darren, on se complète ! o/ J'avais du mal avec l'idée d'une Doctor femme moi aussi, mais j'avoue que Jodie est bien dans le rôle. Malgré tout, depuis la saison 10, je trouve que c'est plus comme avant... La saison 9 a été magistrale, je comptais beaucoup sur la 10 vu que c'était la dernière de Calpadi ET de Steven Moffat, mais c'était déjà plus ça. Il y a quelque chose qui manque je trouve. Et malgré tout, je suis toujours comme une gamine à chaque nouvel épisode qui sort xD
Merciii pour le pouvoir ! Je vais congeler tous ceux qui m'énervent et le entreposer dans ma cave o/ #psychopathe
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Kingsteen
MESSAGES : 2054 BARGE DEPUIS : 07/11/2019 ROYAUME : Elvendyr - Topaz Kingdom - Au Manoir Cristal, qui lui appartient totalement désormais.
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 14:59
Bienvenue parmi nous !
J'adore ton choix d'avatar *-* On ne la voit pas assez souvent sur les forums !
Hâte de découvrir ton personnages !
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 15:25
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 16:09
OMG en spectacle les deux c’est le rêve aussi :0! Et je t’avoue pour DW que c’est pareil pour moi la s9 est l’une de mes préférés et après on dirait que les intrigues sont trop différentes de l’univers de DW qu’on connaît et c’est ce qui me déçoit ! J’aime autant ça.. la s11 est bonne, mais il manque trop la touche de l’univers (veut des anges des daleks et tout moi )
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 17:05
C'était pour la LM/DC Tour ! Ils venaient à Londres, et je me suis dis que je ne pouvais pas les louper, alors je me suis ruinée mais ça en valait grave la peine !
Ouiiii voilà, c'est trop différent ! Et puis même, soit c'est trop prévisible, soit ça se règle trop facilement, c'est presque bâclé au bout d'un moment. A la limite, j'aurais préféré qu'ils s'arrêtent sur la saison 9, plutôt que de continuer en ayant plus rien à dire. Pour la saison 11... j'ai bien aimé le 3e épisode, celui de dimanche dernier. Mais c'est pas encore ça malgré tout. C'est comme la nouvelle version du Master ! J'y accroche tellement pas ! Missy, elle était inégalable. Et franchement, j'espère que c'est pas une régénération de Missy mais plutôt la régénération d'une ancienne version du Master, sinon on a fait un putain de rollback qui colle pas du tout ! Les anges, les daleks, les cybermen... ouais. Faut juste pas que ça devienne l'intrigue principale, sinon ça fait vraiment TROP réchauffé. Par contre, je voudrais trop revoir River Song ! Voir comment elle réagirait face à un Doctor femme !
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Derek Morrow
MESSAGES : 4058 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : Empire State of Mind.
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 19:02
Je vois que tu t'intègres déjà admirablement bien, ma poulette psychotique adorée ! Ça fait trop plaisiiiiiiiirrrrrrr à voir Je peux aller trépasser en paix maintenant !
Et puis bourdel ! La frénésie de te retrouver enfin, j'ai complètement biglé de l'oeil et j'ai interféré des mots de deux docteurs différents Ce que tu ne me fais pas faire
*prends des menottes et nous attaches les poignets* JAMAIS ! JAMAIS ON SE LÂCHERA !
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mar 14 Jan 2020 - 19:11
Ouais, c'est sur que les épisodes sont inégales après la saison 9, j'ai pas trop aimé la saison 10 je dirais et la saison était bonne, sauf que je ne sais pas - on ne se croyait pas tant dans l'univers de DW - pas obligé que ce soit que Dalek, Anges etc. Mais plus centré sur des espèces d'aliens dans le style qu'on voit depuis le commencement. Là, c'était différent, j'ai pas encore vu l'épisode 3 cependant encore, mais je vais tenter de la trouver ce soir J'ai quand même aimé le début de la s12 pour le moment à voir, mais c'est certain que personne ne peut égaler Missy qui est juste OMFG géniale et je plussoiiiiie pour River
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Mer 15 Jan 2020 - 3:27
Derek : J'avoue que pour le moment, ça commence plutôt bien côté intégration ! :3 On se sent vraiment comme à la maison, c'est génial Par contre, si tu décèdes maintenant, on pourra pas Rp ensemble ou trouver des idées bien loufoque pour nos persos ! Ahah xDDD Sorry not sorry ! /SBAFF Du coup même question pour toi, c'est qui ton Doctor préféré ? ( rejoins nous dans la conversation qu'a créé Hunter !!! )
Hunter : Ayééé j'ai répondu dans le sujet DW du coup :333
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Lee Flores
MESSAGES : 335 BARGE DEPUIS : 08/02/2019 ROYAUME : Celui de la complaisance et du vice.
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Jeu 16 Jan 2020 - 11:32
PHOOOOOE?!?!?! PHOOOOOE C'EST BIEN TOI?!?!?!? **lui fou les mains dans le visage pour bien palper et confirmer sa vision** PHOOOE BORDDEL C'EST TOI!!!!!!
Bienvenue parmi nouuuus!!! Je te souhaite la meilleure des intégrations ma belle!! J'ai bien hâte de voir la petite Phoebe voguer dans les eaux de RD!!!!
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Jeu 16 Jan 2020 - 11:37
EXEKIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEELLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL !!!!!!!! OUI C'EST MOI C'EST VRAIMENT MOI !!! Je suis tellement contente de te revoiiiiiiiiiiiiir !!!!!!
Merci tout plein Je t'avoue que j'ai hâte aussi, elle va encore avoir une vie bieeen compliquée et putain de bien à jouer o/ Dis moi, Exekiel est toujours comme je me souviens ?
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Exekiel Rainhill
MESSAGES : 26 BARGE DEPUIS : 22/02/2019 ROYAUME : RevealDown
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Jeu 16 Jan 2020 - 14:26
OHH QUE SIII!!! Toujours aussi naif et candide que tu te rappelle c'est certain! J'ai presque pas jouer avec le petit Ex' depuis le début du fofo! Mon activité sur le fofow est assez éclectique et irrégulière! MAIS JE TRAVAILLE FOOOOOOOOOOORT!!!!
J'ai déjà hâte de retrouver le Phoe'Ex!!! On a pas le choix de trouver quelque chose!!!!
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Phoebe Parker
MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. » Jeu 16 Jan 2020 - 15:20
Ah mais CLAIREMENT Pho a besoin d'Exekiel dans sa vie ! Et cette fois ci, il a plus le droit de mourir !!!!!!
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Sujet: Re: Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. »
Phoebe Parker ▬ « Your chances of survival are about one in a thousand. Forget about the thousand. Concentrate on the one. »