❝A night of work to forget., Nandrew Hasek feat. Eleonor Collins. ❞

J’étais à mon poste de DJ ce soir, la soirée avait très bien commencé et il avait énormément de monde. Je sentais que la soirée allait bien se passer, après quelques très longues minutes à boire et à faire mon travail, je devais prendre une pause. Alors que j’allais vers une pièce pour être tranquille un type me saute alors dessus, j’essayais de me défendre,mais il me donne aussitôt un coup entre les jambes, je crie en douleur. Il ne m’avait pas manqué, il avait touché en plus l’endroit où que j’avais resté blessé, à cause du drame. Heureusement qu’il n’avait pas touché ma cicatrice aussi sur ma cuisse. Je me relève péniblement sur les regards de nombreuses personnes. Il explique alors mon histoire cette soirée horrible, comme s’il avait été là et se souvenait de moi. J'avais terriblement honte et j’étais terriblement, mal. J’allais alors dans la pièce. Pour ensuite faire dos à la porte, je sentais mes yeux briller et des larmes couler. J’avais terriblement mal, je gémis aussitôt pourquoi ce gars que je ne connaissais pas m’avait fait cela. Je tremble d’un coup, pour ensuite prendre de la glace et j’allais m’allonger sur le divan. Je regarde un moment ma blessure pour ensuite appliquer celle-ci je me cambre légèrement, c’était assez froid. Soudainement, je sens qu’une personne approchait de la porte je grogne légèrement. Pour ensuite venir me cacher légèrement, avec une couverture qui n’était pas loin. Je ne pouvais jamais être tranquille pour une fois,on dirait bien surtout après ce qui vient de se passer. J’espère que cette soirée allait bien se passer autrement, je ne serais ce que je ferais véritablement. J’essayais tout de même de rester calme d’un coup et de penser à autre chose. Car,je sentais que j’allais exploser et il ne fallait pas que cela arrive. Déjà, j’espère que cette personne ne voudra pas voir cette blessure car là je serais encore plus mal, je dirais bien.

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La musique nous berce comme une vague enivrante. Délicieuse. Envoûtante. Nous nous laissons portés, ondulant avec elle, sans aucune rigidité. Nous nageons dans des eaux troubles, et il nous est parfaitement égale d'évoluer à l'aveuglette, car tout nos autres sens s'en retrouvent décuplés: L'odorat; mon nez enfouis dans sa chemise hume les effluves de son parfum sapiné. Le toucher ; mes mains parcourent son corps, découvrent les détails de sa musculature et s’agrippent au matériel de son vêtement si léger, qui arrive pourtant à me faire entrave au reste de son corps. L'ouï; j'entends ma respiration saccadée se heurter contre sa clavicule, dénudé par son col entrouvert. Une chaleur emplit mes veines et se faufile aussitôt dans chaque parcelle de mon être. Mon esprit s'embrase. J'ai beaucoup trop bu. Il en manque un non? Oh oui, il ne reste plus que le goût... le goût de goûter à ses lèvres qui m’appellent. Qui m'invitent, depuis tout à l'heure. Et je n'ai qu'une envie, répondre à leur incitations fugaces. M'abandonner à ce moment éphémère pendant que mon esprit est sur pause. Enfin! Car généralement, il n'arrête stoppe sa course. Il ne baisse jamais sa garde.

Mais bien sur...

...
...
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J'aurais dût me douter que Derek me rattraperait dans ce moment intime. Dès les premières notes, je reconnais notre chanson. Celle que nous nous sommes approprié à y a tant d'année... tellement que affecté de la sorte, il m'est impossible de les dénombrer. Le souvenir de sa présence est si solidement incruster dans chacune de ses notes que je me fige sur place. Impossible de continuer à jouer le jeux de la séduction. Tout à coup, le temps n'est plus aux ondulations et au libertinage. Je me raidis comme une barre. Je m'écarte. Un peu plus vite que je ne l'aurais voulu, lançant une pluie d'excuse à mon cavalier, ressemblant à:


- Désolé, je... je dois aller aux... aux toilettes Je tends la main devant moi et lève l'indexe en guise de trêve. Hé oui. Trêve de sensualité. Trêve de batifolage. Trêve de proximité. Je doit prendre mes distances. Prendre l'air. Je dois m'éloigner... à tout prix.


Sur mes jambes, aussi courte que chancelantes, j'enligne les pas vers ce que je pense être le couloir menant aux toilettes. Mais je ne distingue aucun pictogramme arborant cette petite demoiselle avec une jupette qui indique généralement la porte menant à la salle de bain féminine. Mais? Je m'arrête, hésitante, oscillante dangereusement entre lucidité et ivresse... mais l'apogée est proche. Dangereusement proche. Si proche que j'ouvre la première porte qui me tombe sous la main et me rue à l'intérieur comme une voleuse. Je distingue une vaste pièce avec un sofa, un comptoir et OH!! OH!!! un évier... je fais ni une, ni deux et je m'élance vers l'endroit creux, métallique, m'accrochant à ses rebords, comme à ma propre vie...... pour y vomir mes tripes.

❝A night of work to forget., Nandrew Hasek feat. Eleonor Collins. ❞

Alors que j’appliquais toujours la glace, j’aperçois une fille rentre rapidement. Je sursaute pour ensuite tourner légèrement mon regard, je restais coucher et j’appliquais toujours la glace. Je grimace soudainement au bruit d’accord, visiblement, elle avait trop bu celle-là. Mais, c’était bizarre qu’elle étais venu ici pour faire cela mais bon visiblement cela pressait. Je la regarde attentivement, visiblement elle n’était pas humaine. Mais comme toutes les autres ici, elle venait sûrement danser et boire et s’amuser. Je me demandais bien si je devais aller la voir si elle allait bien, car je ne voudrais pas non plus qu’elle soit malade sur moi, j’avais aucuns vêtements de rechange et encore moins une douche ici. Après quelques minutes, je dépose alors la glace pour ensuite me lever. J’attache alors la couverture autour de ma taille, pour ensuite m’approcher prudemment d’elle. Je restais tout de même à une bonne distance et je l’observe attentivement.

Tu vas bien, tu as trop bu ?

Je grimace d’un coup en sentant ses blessures faire effet, je me cambre légèrement tout en m’appuyant sur les murs. Je me demandais bien, comment cette rencontre et cette soirée allait se finir. Je me demandais s’il, elle était venu seul ou non, je sens aussitôt mes yeux briller, je les ferme aussitôt d’accord mon loup voulais m’aider visiblement pour la douleur. Je me demandais bien, c’était quoi son nom à celle-là mais bon visiblement elle ne semblait pas dangereuse mais après ce que j’avais vécu, j’avais raison de me méfier maintenant de ses filles surtout. J’espérais ne plus revoir cette personne qui m'avait frappé ainsi, car il allait réellement le payer. Je m’assois alors au sol et je regarde droit devant moi en silence. Je me demandais bien, comment cette soirée allait se finir. J’allonge alors mes jambes pour ensuite baisser le regard, je me demandais vraiment, si elle allait s’informer de mon passé ou autre celle-là. Je me relève alors pour ensuite aller remettre mon sous-vêtement et mon bas. Une fois, cela fait, j’enlève alors ce que j’avais autour de ma taille et je reviens vers celle-ci.

Tu es venu seul, tu t’appelles comment moi c’est Nandrew, je suis DJ ici entre autres.

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