WELCOME TO REVEALDOWN ▬ WELCOME TO ELVENDYR
VOTEZ POUR NOUS ☑️ ☑️ ☑️ ET LAISSEZ UN COMMENTAIRE SUR PRD.
VOIR LE BOTTIN DES POUVOIRS
DEVENEZ MEMBRE DES CHILDREN OF THE DAMNED
DEVENEZ MEMBRE DES NIGHTSLAYERS
DEVENEZ MEMBRE DES HELLBRINGERS
DEVENEZ MEMBRE DES THE HUNTERS
DEVENEZ MEMBRE DES THE INSURGENTS
DEVENEZ MEMBRE DES THE ORDER OF DAWN
-17%
Le deal à ne pas rater :
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular 44mm (plusieurs ...
249 € 299 €
Voir le deal

Partagez
 

 (F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Derek Morrow

nothing's gonna change my world
Derek Morrow

MESSAGES : 4058
BARGE DEPUIS : 14/01/2019
ROYAUME : Empire State of Mind.



(F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. Empty
MessageSujet: (F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. (F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. EmptySam 16 Nov 2019 - 11:58

June O'Connor
I don't care if you're a wild one


 
Lors de ce doux date de naissance au choix, mais en 1982, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir trente-sept automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus moyens. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir la profession actuelle est au choix, mais a rejoint par le passé la Royal Canadian Navy, où elle a servi jusqu'en 2017 que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis le statut matrimonial est au choix et que l’étiquette de l’orientation sexuelle est au choix se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà particularités/pouvoirs sont au choix, mais on ajoute qu'elle est une redoutable adversaire au corps à corps et qu'elle est passée maître épéiste qui fréquemment jongle avec les lames de katana au combat. Avec tout ça, j’appartiens à la classe  des le groupe est au choix et qu’avec tout ça je me vois  être l’impression du personnage concernant l’univers d'Elevndyr est au choix. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Jessica Biel (peut être négociable. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit !


Audacieuse • Tête brûlée • Auto-dérisoire • Biscornue • Joueuse • Chaleureuse • Belliqueuse • Drôle • Puérile • Acérée • Castratrice •  Garçon manquée • Bordélique • Égrillarde • Dévouée • Paranoïaque • Bohème • Disciplinée • Ivrogne • Fêtarde • Obsédée • Rusée • Extravertie • Nordique. June, dans son voisinage, doit forcément être la seule locataire à dormir avec un pistolet de marque Makarov de caché en-dessous de son oreiller. Paranoïaque ? Légèrement. Préventive ? Assurément. C’est d’une main de velours dans un gant d’acier que la jeune Canadienne sait si bien gérer son statut de vétéran de l'armée et tous les pans de sa vie en général. Trempée dans un univers de testostérones depuis qu’elle est haute comme trois pommes, il n’y a pas à dire, cela forge un caractère et aide à se faire démarquer ! Elle n’est pas du genre à se laisser casser les ovaires sans réagir ou ne rien dire.  Avec son caractère de chien, sa grande gueule, June est parfaitement consciente qu’il peut arriver parfois que dans un bar, elle attire l’attention sur sa personne et que des ivres mal baisés orgueilleux n’approuvent pas ses discours d’alcooliques. Et June est parée à « sociabiliser » avec ces rebus de la société pour leur rappeler à quel rang précisément cette racaille est réduite à ses yeux. Courir des risques inutiles ? Bien que tête brûlée, la jolie brune ne le fait pas. Ce n’est qu’en cas de nécessité majeur que la demoiselle réplique, pas du genre à foutre ses petits problèmes entre les mains d’un autre, son tempérament faiblement impulsif la poussant à prendre les devants et balayer d’un revers de main tout indésirable interlocuteur. Petite nerveuse, avec le temps, son caractère fort, bien trempé, lui a grandement rendu service, protégeant les plus faibles et venant au secours des plus démunis. Maman canard qui s’occupe de ses petits cannetons ? Non. Trop noble, trop loyale, elle ne supporte pas le désordre et les conflits. Pas née pour se faire engrosser, surtout pas destinée à devenir l’archétype de la mère au foyer qui s’occupe de ses morveux, certain disent que June souffre du complexe de la femme moderne. Astucieuse, pratique, originale et ambitieuse, la Canadienne clame haut et fort l’égalité avec l'Homme sur le marché du travail et dans la vie en général. Féministe ? Son esprit rêveur l’est peut-être un peu et parfois cela l’emmène à prendre des mauvaises décisions. Respectée ou redoutée, la jeune femme ne ce souci guère des ragots, elle fait simplement ce qu’elle a à faire et basta le reste. Et malgré son fort caractère, June demeure l’amie parfaite en ce qui attrait faire la fête et se taper les cuites monumentales. Irresponsable ? Non, elle aime simplement s’amuser et voir la vie sous toutes ses couleurs. Vivre, pour elle, ce n’est pas une corvée, mais un cadeau qu’il faut savoir apprécier à sa juste valeur. Derrière ses grands airs de guerrière illettrée, June est une bonne vivante et son humour noir est ce petit grain de personnalité qui lui ajoute tout son charme !

BUT YOU CAN RISE AGAIN

L’histoire de June est dans sa majeure partie libre à l’imagination et discrétion du joueur, mais il y a tout de même quelques détails à respecter pour tenir compte de la cohérence.

• Originaire de l’Amérique du Nord, June est le fruit d’une histoire d’un soir. Se sacrifier, mettre sa carrière en veilleuse pour élever l’enfant ? Pour la mère biologique, cet avenir, non seulement ça ne l’intéresse pas, mais il en est hors de question ! Sans aucune équivoque, l’enfant est confié entre les mains du paternel. Fille unique, June grandit au sein d’un foyer qui ne sort pas de l’ordinaire, ne manquant jamais de rien, jouissant d’une vie paisible et bénéficiant de tout l’amour qu’un père puisse offrir à son précieux chérubin. Être un parent monoparental, c’est parfois compliqué et aucun mode d’emploi ne peut vous servir de référence. C’est l’unique problème que rencontre O’Connor père, qui depuis longtemps rêve d’avoir un fils et offre par conséquent à son unique fille chérie une éducation plutôt masculine. Accompagner papa à la chasse et jouer au hockey sur glace ? L’enfance de June est teintée par ces nuances et pour rien au monde elle ne voudrait la changer. Cette éducation pour le moins originale aiguise la discipline, provoque chez la fillette ce désire de rendre fier et de toujours repousser ses limites.

• Enfant, June est une môme sans histoire, mais ne faut-il jamais se méfier de l’eau qui dort ? La transition vers l’âge adulte n’est jamais facile pour personne et entraîne bien évidemment l’inévitable passage de la crise d’adolescence. Appréhendée par tous les parents, il faut dire que O’Connor père redoute cette phase et avec raison. La relation père-fille se transforme, une réserve et une pudeur s’installent. June établit une certaine distance avec l’homme qu’elle admirait autrefois sans bornes. Cette distance est principalement causée par la perte d’intérêt pour leurs activités habituelles, laissant place aux hostilités, à l’attitude de défis et aux sautes d’humeur excessives. Outre que de dealer avec les symptômes connus, Papa doit faire face à des situations qui dépassent et des très loin son pedigree. Il a beau faire l’impossible pour supporter sa fille, l’aider à acquérir et développer sa propre féminité, reste que certains sujets sont forts délicats à aborder et ou comprendre : La puberté, les premières règles, les hormones, tout ça, par préoccupation de pudeur et de respect pour sa fille, O’Connor père lègue ce package deal entre les mains de grand-maman. (Un lien fort, unique, prend d’ailleurs naissance à ce moment-là, entre elles. Elles s’aiment d’un amour inconditionnel… comme le feraient une mère et sa fille.)

• En dehors de la sphère familiale, June rencontre certaines difficultés sur les bancs d’école. Si bien qu’une poignée de ses professeurs la soupçonnent, à tort et travers, de souffrir d’un trouble du déficit de l'attention/hyperactivité. Le système d'éducation canadien n’est tout simplement pas encore assez aguillé ou outillé pour cerner la difficulté d'apprentissage de June. La dyscalculie de l’adolescente représente un véritable défi pour ses enseignants et est une source de préoccupation au sein de son établissement scolaire. Bref, ce parcours-ci de sa vie est un terrible champ de bataille et elle doit son diplôme d'études secondaires à la détermination de son paternel et la patience de sa grand-mère.

• Après quelques mois d’introspection sur son avenir, June dispute sa candidature au Collège Militaire Royal du Canada, à Kingston, Ontario. C’est grâce à la notoriété de son grand-père, décoré pour bravoure lors de la Seconde Guerre mondiale, que le nom « O’Connor » est retenu et sa candidature acceptée. Le vétéran O’Connor est en quelques sortes une légende ; orphelin depuis ses 15 ans, il termine ses études pré-universitaires et s’enrôle dans l’aviation en juin 1942. Déployé en Angleterre pour la durée de tout son service de guerre, il mène des raids de bombardement aériens sur le continent européen, pour éventuellement mener des missions avec les 420e et 425e escadrons bombardiers, dont un relié au « Jour J » soit le débarquement en Normandie. M’enfin, chausser les rangers d’O’Connor papy est un lourd héritage à trimballer, mais June le fait avec brio et discernement. Elle ne prétend pas que son séjour à l’académie militaire s’est fait avec les deux doigts dans le nez, mais elle est parfaitement consciente que comparé à certaines de ses comparses féminines, son parcours est plus évident et moins casse gueule. Non seulement parce qu’elle est la petite fille du vétéran O’Connor, mais parce que le monde des Hommes lui est familier, qu’elle sait mettre et un point final et son poing tout court, dans la perception de certaines de ces brutes orgueilleuses et misogynes. Défi qui l’a rendu plus forte, déterminée, qui l’a poussée à donner le meilleur d’elle-même et à miser plus haut que les étoiles. Avec de la persévérance, beaucoup de caféine, du tonus, un caractère tout feu tout flamme et une saine hygiène de vie, l’élève-officière passe au travers des 4 composantes du programme de la CMR. À l’obtention de son diplôme, June s’enrôle dans la Royal Canadian Navy et devient militaire de profession vers l'an 2007.

• En 2008, June aime son métier et ne refuse jamais un déploiement dans les zones de conflits. Ses affections sont changeantes, fréquentes, dispersées à travers le globe, elle s’adapte et prend à cœur chacune de ses missions. En dépit de ce que le monde peut penser et voir dans les médias, la vie au front n’est pas toujours synonyme d’assauts et bombardements. Être déployé en zone de guerre, c’est faire face à de longues périodes d’ennui, qui sont parfois rythmés par la décadence blasphématoire de la terreur instantanée et absolue. La vie dans les tranchées se résume, pour la plus part du temps, à l’accomplissement de diverses tâches d’entretient et corvées quotidiennes. Entre celles-ci, s’écoule un temps consacré aux loisirs; lecture, écriture, jeu de cartes, etc.  Chambrée dans ce statuquo abrutissant, malgré tout sur le qui-vive, dans l’attente que la mort, faucheuse inlassable, ne passe, June se développe une dépendance à la nicotine et un lénifiant béguin pour le rhum. Une lapée le matin, une autre le soir, fréquemment double ration parce qu’elle se porte volontaire pour des raids dans les tranchées et autres missions périlleuses.

• L’incroyable valeur que prend son expérience militaire parvient à l’éloigner des stéréotypes souvent associés aux personnes qui se tiennent sous les drapeaux. Des clichés et préjugés de monsieur et madame tout le monde, qui au bout du compte en connaissent très peu sur la vie militaire et leurs affectations. Le monde dans lequel nous vivons, il nous semble cruel, violent et, avouons-le, barbare. Les guerres éclatent, les pays se bouffent entre eux et la soif de Pouvoir n’est jamais rassasiée. La mission du soldat est de servir honorablement son pays. June est fière de défendre le sien sans défiance, avec un profond respect pour l’équilibre et la protection de chaque civile. Jamais au grand jamais il n’y a de la place pour de la corruption et autres faiblesses. Comme elle se plait souvent à le dire, dans la guerre comme partout ailleurs, emprisonné au cœur de ce qu'on ne voit pas toujours, c’est dans l’Ombre que se cache la beauté la plus pure des Hommes. Cette manière optimisme de voir les choses ? Elle la protège depuis son déploiement en Haïti, après ce funèbre jour du 12 janvier 2010. Tout le monde se souvient de la catastrophe. Tout le monde se souvient de Port-au-Prince, foyer d’un séisme d’une magnitude de 7,0 à 7,34 qui emporte dans l’effondrement des édifices de la capitale, de nombreuses victimes, morts et blessés. La solidarité internationale est phénoménale à ce moment-là, June fait partie de ceux qui sont venu en aide pour renforcer les efforts des Haïtiens. Elle a vue cette communauté se serrer les coudes, sauver des décombres, parfois à mains nues, des centaines de personnes. Quand elle pense à la valeur de son expérience militaire, parfois tiraillée entre foi et fatalisme, souvent aspirée entre discipline et désarroi, pour supporter les tensions de son monde parfois en guerre, June se rappelle l’Haïti et à quelle puissance est-ce que la communauté en détresse a impacté sa vie.

• En 2017. Pour des raisons que tout le monde ignore, la carrière militaire de June prend fin et elle est autorisée à rentrer au pays. Retrouver sa famille lui communique comme toujours le plus grands des biens, mais ils sont surtout des moments très émotifs et éprouvants. Elle prend le pouls de papa et grand-maman, se rend compte que la terre n’a pas cessé de tourner durant son absence et que toute une vie c’est écoulée depuis le dernier câlin ou dernier sourire. Comme à chaque fois, son retour au bercail a besoin d’une période de réadaptation, que ce soit pour elle ou pour tout le monde.

Aujourd’hui, s’adapter à la vie civile lui représente encore de nombreux défis. En pleine réorganisation de vie professionnelle et personnelle, la Canadienne élargie ses horizons et observe ce que le monde a à lui offrir par-delà les frontières. Cette quête de l’inconnu l’emmène vers un mystère qu’elle n’a jamais résolu étant enfant ; rechercher de l'information sur ses origines et plus précisément sa mère biologique. Elle ignore tout de la femme qui la mise au monde, mais les renseignements qu’on lui donne avec le temps l’emmènent à aller vadrouiller sur le territoire américain. Pour ainsi dire, vers ce petit village bien trop tranquille pour être inoffensif : RevealDown...

A REASON TO FIGHT

 
DEREK MORROW. écrire ici la relation de votre lien.

Revenir en haut Aller en bas

Derek Morrow

nothing's gonna change my world
Derek Morrow

MESSAGES : 4058
BARGE DEPUIS : 14/01/2019
ROYAUME : Empire State of Mind.



(F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. Empty
MessageSujet: Re: (F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. (F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck. EmptyLun 3 Fév 2020 - 8:45

Scénario pris Priceless
Revenir en haut Aller en bas
 

(F) JESSICA BIEL ▬ but on good days i am charming as f*ck.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Raphaël Miller ◦ Moon of my days
» (F) JESSICA CHASTAIN ▬ demi-soeur éloignée.
» The Good, the Bad, and the little Jesus {Lazarus}
» i'm feeling good. (ONE SHOT)
» Don't threaten me with a good time | feat Illyria

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Revealdown :: GET OUTTA MY DREAMS :: (I JUST) DIED IN YOUR ARMS :: SORRY NOT SORRY-