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| CARMINA ▬ never ending nightmare. | |
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nothing's gonna change my world Carmina MESSAGES : 44 BARGE DEPUIS : 06/06/2021 ROYAUME : revealdown.
| Sujet: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 12:10 | |
| Carmina / Jessy Stevens never ending nightmare | Lors de ce doux l'an 859 (13 janvier 1991), ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être Onyx Kingdom, Elvendyr (Davis, Californie, Étas-Unis). Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 1012 (30) automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus moyens. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir un démon parasite qui aspire instaurer le chaos et une sbire de la toute puissante Amara (artiste peintre et propriétaire d'une petite gallerie d'art) que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis sans attache (célibataire) et que l’étiquette de pansexuelle (hétérosexuelle) se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà immortalité, super-force, agilité, implantation d'un parasite dans la cervelle d'autrui permettant de contrôler leur psyché et absorber leur énergie vitale (prémonition par le biais de l'art). Avec tout ça, j’appartiens à la classe des hell's bells et qu’avec tout ça je me vois être plutôt familière avec l'univers d'Elvendyr, prête à instaurer le chaos et la désolation (ignorante d'un monde parallèle...). Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Kristen Stewart. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit ! Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff. |
Extrait du Grand Grimoire publié en 1750. DÉMON PARASITE Le démon parasite voit le jour dans les ténèbres de l'Onyx Kingdom, mais est dépendant de l'humanité pour sa survie. D'origine, il n'a pas de forme corporel, ni tangible, et n'a aucun pouvoir sans un hôte. Ce type de démon n'a donc d'autres choix que de s'introduire dans le corps d'un humanoïde, avec ou sans pouvoir, pour lui permettre de déployer l'entièreté de son potentiel. Il choisit méticuleusement l'enveloppe charnelle à posséder, puisqu'il ne pourra pas en sortir facilement. En effet, il existe deux façons d'éjecter un démon parasite du corps dans lequel il est prisonnier afin de retrouver sa forme d'origine non-tangible, soient par la mort de l'hôte ou par le rejet de celui-ci. Certains humains ou hybrides ont la capacité innée de rejeter la présence parasitaire du démon, pouvant avoir lieu quelques jours après la possession comme parfois plusieurs années par la suite. Il s'agit bien du seul moyen de se débarrasser du parasite sans en mourir. Une fois bien installée, le démon parasite assimile complètement les souvenirs, les pensées, les habiletés de son hôte pour devenir en quelque sorte une nouvelle version de celui-ci. Ce processus lui demande beaucoup d'énergie, nécessitant plusieurs mois, voire quelques années dans certains cas, pour être au maximum de sa force. Par contre, selon les connaissances actuelles, le démon parasite ne peut posséder un autre type de démon ou un ange, étant des êtres très complexes, mais peut s'introduire dans une forme hybride. Le démon parasite est immortel. Comme il est ardu d'identifier une telle créature puisqu'elle se fond généralement dans un hôte, les chances de le tuer sont plutôt minces, ce qui explique l'âge plutôt avancé de plusieurs d'entre eux. Lorsqu'il possède un corps tangible, il peut être physiquement blessé et en ressent certainement la douleur, mais le démon est en quelque sorte immunisé par ce corps et ne peut être tué. Seulement sous sa forme d'origine non-tangible, il pourra être tué par un rituel spécifique. Pour survivre, le démon parasite doit assouvir les besoins vitales de son hôte. Par exemple, il doit s'abreuver de sang s'il possède un vampire. Il peut également implanter un parasite dans la tête d'autrui, représentant une petite partie de lui-même qu'il introduit généralement par un bouche-à-bouche. Ce petit parasite, lorsqu'il se trouve près du démon, lui permet de contrôler à sa guise le psyché de ces victimes, soient leurs pensées et leurs émotions, créant parfois des hallucinations assez déstabilisantes. De plus, il peut s'abreuver à distance de leur énergie vitale pour se guérir en cas de besoin. Ce petit parasite ne peut tuer les humains, mais il peut les affaiblir et même les rendre fous. Le démon est limité dans le nombre qu'il peut implanter chez autrui, car cette habileté lui demande de l'énergie et beaucoup de contrôle. Au besoin, il peut récupérer certains des petits parasites pour retrouver des forces ou pour l'introduire ailleurs. La personnalité du démon parasite varie d'un à l'autre. Certes, elle sera quelque peu influencée par celle de son hôte, mais ne surplombera jamais son origine première. Il est également reconnu pour avoir une force surhumaine et une agilité impressionnante. Toutefois, il utilise très peu la force pour atteindre son but, préférant utiliser son atout de parasite pour contrôler les autres. Généralement, le démon parasite est un excellent soldat, c'est-à-dire qu'il est souvent associé à un groupe maléfique pour instaurer le chaos selon les ordres demandées. Par contre, il aime travailler en solitaire, fier d'accomplir des missions en solo et assez compétitif pour ne pas vouloir partager les crédits. Malgré tout, il est difficile d'identifier si quelqu'un est possédé par un tel démon, la technologie humaine ne permettant pas de détecter sa présence. Par contre, il existe quelques incantations et autres trucs surnaturels qui peuvent y parvenir. Sans quoi, il se fond facilement dans la masse et peut faire sa besogne sans grande confrontation. TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN Elle avait hésité. Changeant une vingtaine de fois - sans exagération - d'accoutrement pour être certaine d'avoir la tenue adéquate pour cet événement. Elle n'a pas l'habitude des soirées mondaines, passant la majorité de son temps dans sa galerie sombre, portant des vêtements trop grands tâchés de traits de fusain ou de peinture. En fait, elle ne passe que très peu de temps avec d'autres êtres humains, étant un chat sauvage blessé par les tragédies de sa propre vie. Une existence bien triste et solitaire, mais qui lui convient bien. Flute de champagne à la main, elle ne cesse de replacer sa tignasse en bataille derrière ses oreilles ou de tirer sur le décolleté de cette tenue improvisée, visiblement mal à l'aise de se retrouver entourée d’autant de gens. Elle ne se reconnaît pas parmi les convives du Vintage Hotel et ne connait d'ailleurs que trop peu de visages. Elle se questionne sérieusement sur les motifs qui l’avaient poussé à participer à ces festivités du temps des fêtes, elle qui fuit habituellement comme la peste toute sorte de célébration nécessitant de socialiser avec autrui. Pour une fois, elle s’est laissée convaincre par l’attrait de la foule, mais elle commence à le regretter amèrement alors qu’elle demeure solitaire accostée au bar. Un long soupir traverse ses lèvres peinturées de rouge, tentant de rassembler suffisamment de courage pour quitter ce comptoir et affronter la foule festoyante et dansante. Au moment où elle se retrouve parmi tous ces corps mouvants, un malaise inhabituel l’envahit de manière inattendue. Non, il ne s’agit certainement pas d’une crise de panique, la sensation est tout autre et incompréhensible… La pièce et ses convives se mettent à tanguer devant ses yeux confus, l’obligeant à lâcher prise sur sa flute de champagne qui vient se fracasser contre les dalles du hall. Prise d’un inconfort et de nausée, elle s’agrippe à la première personne qu’elle peut atteindre à ses côtés afin d’éviter de tomber de ses hauts escarpins. Parmi ce chaos, elle parvient tout de même à apercevoir des gens disparaître et d’autres apparaître comme par magie… Non, ça n’a rien d’un tour de magie, ni même de l’effet grisant de l’alcool. Elle vient tout juste d’être témoin d’une manifestation surnaturelle et elle ne peut contrôler la panique qui commence peu à peu à l’envahir. Cette fête n’était définitivement pas une bonne idée. Ne voulant pas attendre la suite des événements, elle s’empresse de se faufiler parmi la foule chaotique afin de quitter cet hôtel qui semble vraisemblablement hanté ! Après avoir bousculer quelques invités effrayés, elle parvient à se détacher de la foule et emboîte le pas vers les portes menant vers la sortie. Si près du but. Mais pourtant si loin. Sa course s’arrête brusquement, bien malgré elle. Une substance froide, mais invisible, la frappe de plein fouet et la tétanise sur place. Une douleur aiguë se propage soudainement dans toutes les fibres de son corps, tous ses muscles se crispant simultanément. Ses yeux s’élargissent par l’incompréhension, son visage se tord par la douleur alors qu’aucun son ne parvient à traverser ses lèvres. Et soudainement, la souffrance devient insoutenable, sa conscience lui échappant et son corps s’effondrant telle une pauvre marionnette coupée de ses fils. * * * La clé déverrouille la porte qui grince bientôt sur ses gonds. L’ouverture dévoile un grand espace à aire ouverte, éclairé par les faibles rayons d’un soleil couchant au travers de ces grandes fenêtres qui longent le mur du fond. À première vue, le loft semble avoir été victime d’un séisme violent alors qu’un fouillis prédomine les lieux. Mais en y prêtant un peu plus attention, on peut certainement constater qu’il s’agit davantage d’un lieu de création plutôt que d’un simple appartement. Mes prunelles claires prennent un moment pour assimiler toute cette information, l’endroit me semblant étranger tout comme familier. Un mois. Un mois entier s'est écoulé depuis la dernière fois que ces pieds se sont posés sur le parquet de ce loft. Les dernières semaines ont été plutôt éprouvantes alors que je m’étais réveillée sur un matelas dur, dans une pièce blafarde, entourée de machines quelconques rattachées à mon corps épuisé. Le concept d’un hôpital et d’un personnel soignant ne m’était pas familier, enfin pas de cette manière. Il me fallut quelques jours avant de retrouver les souvenirs et les connaissances nécessaires pour comprendre où j’étais. Il y a bien près de deux siècles que je n’avais pas expérimenté cette sensation de faiblesse et de perdition… C’était toujours aussi pénible. Comme à toutes les fois, mon corps était sous le choc, incapable de fonctionner normalement, chaque mouvement étant un effort incommensurable. Les médecins avaient une certaine difficulté à expliquer le phénomène et je ne m’attendais à rien de moins qu’un diagnostic flou. « Vous avez fait un choc nerveux, » qu’il m’avait annoncé d’un ton professionnel et sérieux. « Vous n'êtes pas la seule, plusieurs invités présents à cette soirée du 21 décembre ont vécu le même choc que vous. Mais étrangement, votre corps a répondu de manière plus agressive que les autres. Par contre, tous les tests indiquent que vous êtes en bonne santé. Il vous faudra peut-être quelques semaines de réadaptation pour retrouver vos forces, mais sinon, vous devriez vous en sortir sans séquelle. »Un choc nerveux. Quelle explication vide de signification. Je devais pourtant jouer la victime, me fondre dans le décor et suivre les recommandations de ces pseudos guérisseurs. Les deux premières semaines, je parlais très peu, observant, assimilant. Chaque jour, mes idées devenaient plus claires alors que les souvenirs de mon hôte me revenait en mémoire. Ils attribuèrent mon mutisme et mon stoïsme à ce fameux choc nerveux, mais j’appris avec le temps que je n’étais pas une femme bavarde et très sociable de prime abord. Une fois que je pus marcher, m’habiller, manger seule, on me donna l’autorisation de quitter cet hôpital. Sortant de mes rêveries, j’avance dans cet appartement qui est le mien afin de contempler les peintures et dessins accrochés un peu partout sur les murs et certains chevalets. Il y a quelque chose d’étranges dans ces oeuvres, mais je ne saurais dire quoi encore pour le moment. Du coin de l’oeil, j’aperçois un cahier de notes sur ce qui semble une table de salon. Je saisis le calepin et m’assois sur le vieux sofa rapiécé. J’ouvre une page aléatoire et constate qu’il s’agit en fait d’un journal intime. J’ai encore rêvé d’elle. Comme à toutes les fois, je me retrouve derrière le volant de cette voiture, incapable de la contrôler, comme si elle était soudainement possédée. J’aperçois sa silhouette au milieu de la rue, les phares de la voiture rendant son visage de plus en plus distinct. Je hurle, la supplie de quitter la route, mais elle reste immobile. Elle me regarde droit dans les yeux alors que la distance entre nous s’efface peu à peu. Et sans que je ne puisse l’empêcher, la voiture la frappe de plein fouet et elle meurt sur le coup.
Il y a toujours cette culpabilité et cette panique qui m’envahissent au réveil. Dr. Lewis a essayé tellement de choses pour m’enlever ces images de la tête, mais elles restent malgré tout. Je n’ai jamais été capable d’en parler avec mon père non plus… Même encore aujourd’hui, quatorze ans plus tard, je me blame pour la mort de ma mère et crains que mon père ne m’en veuille encore. Alors que mes yeux parcourent ces pages, les images de se souvenir me viennent clairement en tête et je ne peux que ressentir cette fameuse culpabilité qui l’affecte depuis toutes ces années. Je peux voir une adolescente souffrante, en rebellion, en détresse. Elle était perdue, confuse. Elle avait fugué le nid familial pour trouver son chemin parmi ce monde dans lequel elle se sentait déconnectée. Lorsqu'elle n'eut plus de ressources pour survivre, elle revint chez elle pour finalement constater la tragédie... Ce n'était pas de sa faute, mais elle se blâmait malgré tout. Le visage crispé par la douleur de cette jeune femme, je tourne les pages pour lire les derniers passages écrits. Quelque chose me pousse à y aller. Quelque chose de cette soirée me rappelle la première fois que je l’ai rencontré. Dans son habit de pompier provocateur, il avait tout pour me repousser et pourtant son sourire m’a complètement fait fondre. Tout de notre personnalité respective nous laissait croire que nous n’étions pas fait pour être ensemble. Le feu et la glace. La passion était trop forte pour qu’on ignore nos sentiments. Et pourtant, cet amour passionnel nous a détruit à petit feu…
Quelque chose en moi me pousse à revivre une soirée similaire. Peut-être la nostalgie ? L’espoir de trouver à nouveau l’amour ? On cogne timidement à la porte, me sortant aussitôt de ma lecture. Je ferme le journal et le dépose à sa place initiale sur la table basse. Je me lève de mon siège et me dirige vers la porte d’entrée pour l’ouvrir d’un air curieux. « Ma-Mademoiselle Stevens ? » qu'un homme bafouille sur le pas de la porte. « V-votre courri-iers du-du m-m-mois. »Une pile de lettres est tendu sous mon nez alors qu’un sourire bienveillant étire les lèvres de l’homme. Je le dévisage un bref moment, cherchant dans ma mémoire l’identité connue de cette personne. Roger, le concierge du bâtiment. Gentil, discret et extrêmement timide. Sans surprise, elle aimait bien ce vieil homme. J'étire alors à mon tour un sourire sympathique, saisissant doucement les lettres. « Merci, Roger, c'est vraiment gentil de votre part de les avoir garder en mon absence. »Il acquiesce imperceptiblement et, sans rien ajouter de plus, s’apprête déjà à tourner les talons. Wait…« Roger ! Auriez-vous un peu de temps ? » que je lui demande d’une voix qui se veut suppliante. « Je… je crois qu’il y a une fuite d’eau dans la salle de bain… il avait de l’eau au sol à mon arrivée. »Un mensonge. Mais un regard implorant sur ce doux visage, il ne peut jamais rien lui refuser. Elle est toujours si gentille avec lui, une des seules qui prend un peu de son temps pour lui dire bonjour et merci. Il n’hésite même pas une seconde, toujours prêt à l'aider en cas de besoin. Il passe l’ouverture de la porte et se dirige discrètement vers la seule pièce fermée de l’appartement. Jessy lui aurait fait un bon thé en guise de remerciement. Carmina n’en a nullement l’intention. Sans avertissement, mon corps se déplace furtivement jusqu’aux avants de l’homme et mes deux mains viennent brusquement lui saisir chaque côté de son crâne dégarni. Je ne lui laisse aucune chance de comprendre ce qui se passe, mes mains l'obligeant à s'immobiliser sur place alors que j'approche ma bouche béante vers la sienne. Son corps convulse violemment lorsqu'une partie de mon âme s'immisce de force dans son organisme et qui vient tranquillement absorber son énergie vitale pour me redonner des forces. Dans quelques heures, l'homme se réveillera dans le couloir complètement désorienté, ignorant ce qui a bien pu lui arriver. Le lendemain, il subira le même sort... Jusqu'à ce qu'il perde tout simplement la raison.
AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND | Pseudo : Maude Où as-tu donc connu le forum ? je squat depuis un bon moment Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? je souffre d'un dédoublement de personnalité Le forum, tu en penses quoi ? c'est de la bombe As-tu des demandes spéciales ? faites-moi l'amour |
Dernière édition par Carmina le Jeu 10 Juin 2021 - 21:45, édité 3 fois |
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nothing's gonna change my world Garrett Carpenter MESSAGES : 581 BARGE DEPUIS : 21/04/2019 ROYAUME : Revealdown, Florida
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 12:13 | |
| Omfg Jessy !!!!!!!!!! Trop fou de la revoir ici je suis inlove de retrouver une part de tob !!! Amuse toi avec ce personnage <3 |
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nothing's gonna change my world Aileen Davies MESSAGES : 298 BARGE DEPUIS : 26/01/2020 ROYAUME : RevealDown, où bizarreries règnent et gangrènent le souffle.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 12:16 | |
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nothing's gonna change my world Phoebe Parker MESSAGES : 810 BARGE DEPUIS : 13/01/2020 ROYAUME : Obsidian Kingdom, San Phoenix
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 12:20 | |
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nothing's gonna change my world Aleksey Freeman MESSAGES : 353 BARGE DEPUIS : 24/11/2020 ROYAUME : Enchaîné à une flûte de pan, en RevealDown, Floride, planète Terre.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 12:32 | |
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nothing's gonna change my world Lauren Montgomery MESSAGES : 157 BARGE DEPUIS : 17/05/2021 ROYAUME : RevealDown
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nothing's gonna change my world Kingsteen MESSAGES : 2054 BARGE DEPUIS : 07/11/2019 ROYAUME : Elvendyr - Topaz Kingdom - Au Manoir Cristal, qui lui appartient totalement désormais.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 6 Juin 2021 - 16:22 | |
| Re bienvenue |
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nothing's gonna change my world Silena MESSAGES : 675 BARGE DEPUIS : 24/04/2019 ROYAUME : obsidian kingdom.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Lun 7 Juin 2021 - 8:07 | |
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nothing's gonna change my world Carmina MESSAGES : 44 BARGE DEPUIS : 06/06/2021 ROYAUME : revealdown.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Lun 7 Juin 2021 - 17:30 | |
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nothing's gonna change my world Derek Morrow MESSAGES : 4058 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : Empire State of Mind.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 13 Juin 2021 - 10:30 | |
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nothing's gonna change my world Carmina MESSAGES : 44 BARGE DEPUIS : 06/06/2021 ROYAUME : revealdown.
| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. Dim 13 Juin 2021 - 11:07 | |
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| Sujet: Re: CARMINA ▬ never ending nightmare. | |
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