Malphas

broken memories

 

Lors de ce doux trois février 1803, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être San Phoenix, Obsidian Kingdom, Elvendyr. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 67 (27 en apparence) automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus pauvres. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir concierge de nuit dans un centre commercial que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis célibataire endurci et que l’étiquette de hétérosexuel se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà, anciennement vampire, je ne suis à présent qu'un simple mortel avec un pouvoir d’umbrakinésie (manipulation des ombres, contrôle d’une personne par le biais de son ombre, camouflage dans les ombres). Avec tout ça, j’appartiens  à la classe  des ashes to ashes et qu’avec tout ça je me vois  être emprisonné dans ce monde de paumés alors qu'autrefois il s’agissait de mon terrain de jeu. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Jack O'Connell. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit ! Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff.

Le temps et les circonstances d’une vie forgent le caractère d’un être vivant. Même ceux dépourvus d’une âme. Je ne pourrais m’attarder sur les traits de caractère qui se sont construits lors de mon enfance, mon adolescence et ma vie de jeune adulte, les souvenirs sont trop lointains et embrouillés. Et en y pensant longuement, la personne que j’ai en mémoire n’est pas celle que je suis aujourd’hui. Comme si j’avais vécu plusieurs vies et que je viens tout juste de débuter la troisième. Condamné à m’apprivoiser de nouveau en défaisant toutes mes croyances et mes valeurs initiales. Pour certains, il s’agirait d’une bénédiction, une chance de recommencer à zéro et se rebâtir comme bon leur semble. Mais lorsque cette situation est imposée et non-désirée, il n’y a rien d’excitant à se renouveler en quelqu’un de nouveau.

Autrefois égoïste, vile, sans attache et en pleine conscience de mes moyens. Certainement que mes premières années en tant que créature nocturne n’ont pas été faciles, mais rapidement j’ai accepté mon sort et adopté ce mode de vie contraire à la nature humaine. Antipathique, solitaire, hostile, vulgaire, violent, sanguinaire… Non seulement je me nourrissais de l’hémoglobine des humains, mais je me régalais tout autant de leur détresse et de leur souffrance. La chasse était mon passe-temps favoris. Et selon mon humeur de la nuit, j’instiguais un massacre ou je ramenais mes proies dans mon antre pour déguster mon repas. Affaibli, les pouvoirs surnaturels des êtres humains n’avaient plus rien de menaçant. Et malgré cette pratique régulière, je me répugnais à l’idée de partager le moindre moment d’affection avec quiconque, que ce soit un humain ou un de ma race, je préférais et de loin agir seul. Certes, je pouvais partager des moments d’intimités de temps à autres, de manière consentante ou non, mais jamais je n’aurais pu m’attacher émotionnellement à quiconque. C’était contre ma nature. Je me sentais invincible et libre. Et je ne craignais pas la mort… Ce que je redoutais par-dessus tout, c’est la faiblesse, l’ignorance, la mortalité… Et ça, ce putain d’oiseau l’a compris.

Après des années à être et vivre d’une certaine manière et, du jour au lendemain, tout s’envole en fumée. Imaginez qu’on vous attache à un fauteuil, les paupières maintenues ouvertes par la force, et qu’on vous oblige à visionner les pires horreurs pendant des heures, des jours. Ce que j’ai vécu lors de ma « résurrection »… c’était bien pire. Parce que j’étais le monstre responsable de toutes ces horreurs et je devais vivre chaque seconde de mon existence avec ma culpabilité et mes remords de tous ces meurtres. Les premières semaines, je n’étais qu’une enveloppe corporelle torturée par mes souvenirs, dépourvue de tous ses repères. L’impuissance et la culpabilité se transforma ensuite en colère… Une profonde et noire colère. Et malgré mes tentatives de soulager cette frustration bouillante, je demeure insatisfait même aujourd’hui. Cette foutue conscience qui rapplique à tout moment. Je devais être un putain de lâche avant d’être vampire pour vivre autant de regret ! Ce qui me procurait du plaisir, c’est-à-dire le sang, la souffrance, le meurtre, m’apporte maintenant que du dégoût. Je me souviens de ce sentiment d’allégresse, mais je ne parviens pas à le rattacher à mes souvenirs. C’est un sentiment étrange de ressentir des émotions sans être en mesure de le rattacher à des moments du passé. Je suis un être brisé. Enchaîné et emprisonné dans un corps que je ne reconnais plus. Un spectre qui ère dans les abysses sans trouver un but, une utilité à son existence. De l’extérieur, mon visage est froid, stoïque, insensible, me protégeant du regard des autres. Pendant des années, je me suis construit une image et une réputation, mais elles ne sont plus représentatives de qui je suis. Dans ma tête tout se bouscule, incapable d’identifier ou de comprendre les émotions qui m’habitent. Ça fait de moi une petite bombe à retardement, prêt à exploser à tout moment. Je m’enfonce dans ma vie monotone par crainte de ressentir, de revivre ce qui faisait de moi… moi !

Silencieux, calme, froid, solitaire, analytique, tourmenté, impulsif, insomniaque, persévérant, loyal, sarcastique, empathique à ses heures.

TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN

San Phoenix, 1830

Un bourdonnement incessant fracasse mes oreilles. Un nuage opaque emplit ma tête, me sentant planer au-dessus de mon corps. Je me démène pour le chasser de mon esprit pour me permettre de reprendre conscience, mais ça me semble être un effort surhumain. Une faible plainte traverse mes lèvres asséchées alors que je parviens difficilement à bouger seulement mes doigts. Je sens le sol dur sous mes vertèbres et mes muscles endoloris par je ne sais quels maux.

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

Une douleur brûlante me lacère le cou, me poussant à me débattre pour qu’elle cesse. Mais une prise robuste me maintient immobile, m’empêche de faire le moindre mouvement de libération. De toute manière, mon assaillant ne bouge pas, aussi solide que du roc. Je voudrais crier à l’aide ou tout simplement exprimer ma douleur, mais mes cordes vocales se retrouvent paralysées. Je ne peux que subir et attendre que ça ne cesse enfin. Je sens ma vitalité me quitter tranquillement alors que la brûlure devient un engourdissement sourd. C’est ça la sensation de mourir ?

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

Mes paupières dévoilent une vision embrouillée alors que je sens mon corps affaibli s’éveiller tranquillement. Mon bras parvient à décoller du sol et se déposer contre mon cou qui me semblait si brûlant quelques secondes plus tôt. Et pourtant… rien. Confus, je tente de déceler un indice autour de moi alors que j’essaie avec difficulté de me tourner sur le côté. Toutes les fibres de mon corps me semblent engourdies, comme si elles se réveillaient d’une longue paralysie. Je parviens avec quelques plaintes à me redresser du sol afin de décortiquer un peu plus mon environnement. Plongé dans la pénombre, cet endroit me semble familier.

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

La porte s’ouvre avec grand fracas et dévoile une silhouette fine qui entre avec assurance. Un sourire malsain se dessine sur ses lèvres rougeoyantes, laissant entrevoir deux canines bien affilées. Mon cœur se serre alors que ses traits deviennent clairs à mes yeux. Je n’aurais jamais dû lui faire confiance aussi aveuglément et l’inviter dans cette maison. Je tente d’atteindre la cuisine, là où je pourrai trouver une arme quelconque et également protéger celle qui m’a mise au monde. Mais elle est rapide. Sans comprendre, j’effectue un vol plané vers la gauche, mon épaule et ma tête venant se fracasser contre un mur. Je m’affaisse au sol, la tête légèrement dans le brouillard. Mais suffisamment conscient pour entendre son cri de détresse. Je n’ai pas le temps de me relever que déjà elle revient devant moi, les lèvres souillées par un liquide cramoisi. « Toi et moi, pour toujours. »

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

La panique s’empare de mon être chancelant alors que je cherche désespérément à me redresser pour la trouver. M’assurer qu’elle est toujours en vie ! Mais elle me trouve avant que je n’ai eu le temps de faire un seul pas. La peau aussi pâle et le sourire aussi malveillant que dans mes souvenirs. « Déjà debout ? Mais tu dois avoir faim, non ? » Faim ? C’est bien le dernier de mes soucis en ce moment. Elle ne me laisse d’autres choix que la suivre dans la cuisine, me maintenant sur mes pieds par sa poigne de fer alors que mes deux cannes qui me servent de jambes parviennent à peine à supporter mon poids. Ce n’est que lorsqu’elle m’assoit brusquement sur une chaise que je l’aperçois enfin. Inconsciente, étendue sur la table à manger. Mère.

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

Je n’ai plus d’énergie… Je n’ai même plus la force de bouger. Les paupières entrouvertes, je parviens à peine à déceler mon assaillante, le menton peinturé d’hémoglobine. Elle s’entaille le poignet avec ses canines, comme s’il s’agissait d’une pratique courante. Elle colle soudainement sa peau entaillée contre mes lèvres, sentant la froideur de son corps dépourvu d’âme. Mon cerveau me supplie de me dégager, mais mes muscles ne répondent plus à l’appel. Je n’ai d’autres choix que de laisser ce liquide au goût métallique s’introduire dans ma gorge.

Bou-boum. Bou-boum. Bou-boum.

Le seul battement de cœur dans toute la maisonnée. Faible, mais toujours vivante. Je l’entends clairement, comme si je l’écoutais au stéthoscope. Fasciné par mon ouïe anormalement sensible, je remarque à peine la vampire mordre l’avant-bras de la femme inconsciente. Mais mes cellules olfactives captent aussitôt les effluves de l’hémoglobine et mes papilles se mettent instinctivement à saliver. Étrange sensation de faim incontrôlable. Ça ne fait aucun sens… Et pourtant tout mon corps me supplie de goûter… Et je ne peux faire autrement que de répondre à cette pulsion primale de boire le sang de ma propre mère. Jusqu’à la dernière goutte.

Bou-boum… Bou-boum… Bou-boum...

︎︎︎︎︎

Quelque part à Obsidian Kingdom, 1869

Ce n’était qu’un jeu, un passe-temps pour m’amuser. Mais ce n’est malheureusement pas tout le monde qui a un aussi bon sens de l’humour comme le mien ! Je suis mal tombé, mais ce serait décevant de reculer maintenant. J’y suis presque ! Toute la famille a pu goûter à ma malice… Ou plutôt le contraire, j’ai eu la grande chance de goûter à chaque membre cette famille. Et chacun était délicieux. Enfin, presque tous. Lui, il est le seul que je n’ai pas encore pu planter mes canines. Mais ça ne serait tardé !

Un rire amusé traverse mes lèvres ensanglantées alors que je contemple avec amusement le visage déconfit de l’homme ailé. Il observe avec horreur ce crâne défiguré de son cher frère jumeau, boîte crânienne complètement détachée de son corps d’origine. Il n’a pas été facile à traquer, ni à décapiter, mais jamais je n’ai douté de mes capacités. Et non seulement j’ai pu me régaler de son sang vermeille d’ange déchu, mais je peux maintenant me déguster de la souffrance de son fraternel en deuil. Orphelin et maintenant dépourvu de son jumeau. La meilleure blague du siècle. Je jubile de l’intérieur, résultat de ma beuverie délectable et de cette excitation qui s’empare de moi à l’idée de goûter le petit dernier de la famille ! Trop gourmand ? Jamais assez, voyons !

« Si ça peut te consoler, il n’a même pas eu le temps de souffrir, » que je lui indique avec un sourire malsain.

Ce n’est pas totalement vrai, mais pas besoin de tourner le couteau dans la plaie, n’est-ce pas ? Et puis, sa réaction de détresse est tout à fait délectable comme elle est présentement ! Le blondinet dévisage le crâne mutilé de son frère d’une mine complètement afférée alors que des grosses larmes coulent à flot sur ses joues rougies par le chagrin. Bouh-hou ! Comme c’est touchant ! Bon assez joué, j’ai encore faim.

Sans préavis, je m’élance de ma vitesse surhumaine et fonce droit vers l’homme en deuil. Malheureusement, j’aurais dû voir le coup venir, son défunt frère eut le même réflexe, je me frappe à un mur invisible qui freine ma lancée et me fait tituber légèrement vers l’arrière. Une fraction de seconde me suffit pour reprendre mes esprits et éclater d’un rire gras. Il me fuse de son regard endeuillé, ses traits tirés par la colère et un goût prononcé de vengeance. Je le sens dans toutes les fibres de son corps alors que ses poings se crispent le long de ses hanches. Il n’y a rien de plus satisfaisant que de voir un être aussi divin avoir des idées aussi sombres. Il a des envies de meurtre, je le sens. Alors que n’importe quel être mortel ou surnaturel aurait peur d’affronter un ange et de mourir, moi, je me délecte de cette idée. L’idée qu’il puisse tuer pour apaiser sa peine et sa tristesse. Et Dieu sait qu’il sera hanté par le sang qui souillera ses mains par la suite ! Délectable ! Malgré tout, ça ne règle pas mon problème. J’ai faim !

Je retourne à la charge et feintes quelques attaques de ma vitesse hypnotisante avant de finalement trouver une brèche me permettant de le frapper directement sur le flanc. L’ange est projeté sur quelques mètres avant de se heurter à un arbre. Je ne perds pas de temps et retourne à la charge, mais ma proie semble beaucoup plus habile que ceux de son propre sang. Il déploie ses ailes et s’envole parmi les feuilles. Je freine mon avancée juste avant de me frapper moi-même contre le même arbre. Je lève les yeux au ciel pour n’apercevoir que des branches et une pluie de feuilles. Un sourire amusé étire toujours mes lèvres, animé par un quotient de difficulté plus élevé.

« Tu n’aurais pas dû, » qu’un murmure vient à mes oreilles.

Je me tourne brusquement, croyant que celui-ci provient de mes arrières, mais je me trouve à fixer une forêt vide. Septique, je scrute l’horizon et éveille tous mes sens à la recherche de mon adversaire.

« Tu m’as tout enlevé. »

Je tourne de nouveau sur moi-même, regardant cette fois à ma droite. Mes yeux captent toujours le vide et mon ouïe est incapable de trouver l’origine de sa voix. Malgré tout, ses mots me flattent et réveillent une certaine fierté et satisfaction en moi. C’était bien mon but. Créer le chaos et la souffrance.

« Et maintenant, je n’ai plus rien à perdre. »

Mes sourcils se froncent et mon sourire s’estompe alors que je demeure immobile au milieu de cette forêt calme. Un silence lourd s’abat soudainement sur mes épaules, incertain de la signification de ces paroles. Jusqu’à ce qu’une lueur incandescente ne perce le feuillage au-dessus de ma tête, dévoilant une silhouette ailée. Aveuglé, j’ouvre tout de même de grands yeux effrayés alors qu’un hurlement désespéré fait vibrer mes cordes vocales. Jusqu’à ce que la lumière ne me frappe en pleine poitrine.

Quelques jours plus tard...

Tout mon corps tremble violemment alors qu’une puissante nausée me secoue et m’oblige à m’accroupir au sol. Je régurgite tout ce que j’ai ingéré dans les dernières heures, jusqu’à ce qu’on estomac n’ait plus rien à expulser. Le visage aussi blême qu’un drap d’hôpital, une sueur froide tapisse mon front fiévreux. J’ai peine à respirer, muscles endoloris, haleine nauséabonde. Je me laisse lourdement retomber vers l’arrière, mes fesses heurtant le sol humide et mon dos s’appuyant contre le mur de béton. Je ne peux empêcher quelques plaintes souffrantes traverser mes lèvres alors qu’une acidité désagréable me brûle l’œsophage. Je fixe longuement le vide, complètement désemparé de cet échec lamentable. À quoi m’attendais-je ? Je n’ai pas pensé plus loin que mon désespoir, voulant faire un geste, une tentative pour retrouver la personne que j’ai été pendant des décennies.

Mon œil capte un mouvement à quelques mètres, attirant mon attention. La culpabilité, cette foutue culpabilité, me frappe de plein fouet. Une silhouette fine s’anime faiblement dans la pénombre. Ligotée à une chaise au beau milieu de ce hangar abandonné, une pauvre femme retrouve doucement ses esprits. La faible lueur de la lune n’est pas suffisante pour déceler les détails de cette silhouette, mais je sais. Je n’ai pas besoin de lumière pour voir son bras mutilé par cette lame de rasoir souillée qui gît à ses pieds. Pour remarquer le sang qui coule le long de son membre et qui vient créer une flaque d’hémoglobine à ses côtés. Le même liquide qui souille mes mains et mes lèvres. Stupide. Complètement irrationnel. Mais vraisemblablement désespéré.

Aussitôt que le goût infâme et métallique du sang a été en contact avec mes papilles gustatives, j’ai su que c’était terminé. Mais je me suis acharné, gardant une faible lueur d’espoir. L’espoir de raviver cette bête sanguinaire que j’ai été. Cet être divin m’a dépourvu de tout. De mes repères, de ma nature. De moi-même. Deux seules gorgées ont suffi pour que mon corps ne décide de tout expulser. L’être humain ne peut supporter d’ingérer du sang… Aussi ironique que cette pensée puisse me sembler.

Toujours tremblotant comme une mince feuille de papier, j’ancre mes deux paumes de chaque côté de mon visage et les glisse doucement vers mon crâne rasé. Mes traits se crispent en une moue mélangée d’angoisse, de dégoût et de regret. Un sanglot secoue mes épaules alors que j’entends une voix paniquée se lever. Aveuglé par ma propre désolation, j’ignore ma victime et m’enfonce encore plus profondément dans mon propre abysse. Dans ma mortalité.

AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND

 

Pseudo : maudine aka maudite aka mautadine    Bon ok, seulement Maude   . Où as-tu donc connu le forum ? par une licorne loufoque qui m'a tendu tout bonnement un arc-en-ciel   . Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? J'ai une belle moustache    Vous me connaissez déjà !! C'est moi, Edel    Le forum, tu en penses quoi ? c'est de la bombe    As-tu des demandes spéciales ? DES CÂLINS BAVEUX !!

Rebiiiiiienvenue
Je suis vraiment heureux de te revoir par ici avec ce nouveau perso !
Et tu es en train de nous pondre un vampire humanisée par le sacrifice d’un ange c’est ça !!!!!

Héhé tu es doué, tu as vu clair dans mon jeu

Merci de l'accueil, Ô grand admin

Wow ça va être génial a voir ça sur le rp !!! J’adhère

Re bienvenue ici
Bon courage pour cette fiche !

Ton pseudo me rappelle une série de livre que j'ai beaucoup aimé

OKAY ! LÀ, LÀ, J'SUIS DÉJÀ CONQUISE PAR CE PERSONNAGE ET IL VIENT À PEINE D'OUVRIR LES YEUX ! TON IDÉE, C'EST COMPLÈTEMENT ET FOLLEMENT DE LA BOMBE ! J'ADORE ET J'AIME BEAUCOUP !!! ET ON EN PARLE DE SON PRÉNOM ? C'EST TELLEMENT MALADE COMME CHOIX DE NOM SÉRIEUX !!! (200% d'accord avec @Henry Rossenberg et la fameuse série de livres )

DÉPÊCHES-TOI DE NOUS PONDRE SON HISTOIRE, QUE JE PUISSE BAVER COMME IL SE DOIT !!

OOOHH ET RE BIENVENUE À LA MAISON MA POULETTE !!

Re bienvenue !

@Hunter Morrow  Gosh t'es trop gentil    J'ai hâte d'exploiter mes idées en rp également  

@Henry Rossenberg Ouiiii !!! Maxime Chattam, j'adore cet auteur et cette série  Merci de l'accueil !

@Derek Morrow  MAIS T'ES TROP ADORABLE  Je suis ravie que tu aimes l'idée !!! Je suis vraiment excitée de poursuivre ma fiche et plonger dans le rp avec ce nouveau personnage  Ton enthousiasme ne fait qu'accroître mon excitation  On va certainement trouver des liens de fou comme à notre habitude

@Kingsteen  Merci de ton accueil

Maudinette, cette plume, toujours si
Rebienvenue chez toi, amuse-toi bien avec ce nouveau mâle

BORDEL !! POURQUOI J'AI PAS REMARQUÉ QUE TU ÉTAIS SUR RD, MOI ??

Merci de l'accueil Et attend toi à avoir une tite visite dans tes fiches de liens

Ton histoire est tellement original, touchante et j'adhère complètement ! En tout cas, je ne sais pas si tu avais vu le message de @Alexiel dans les invités - ni même si ça collerait, mais sinon elle veut jouer un ange qui s'est régénéré pour sauver quelqu'un, je dis ça comme ça sait-on jamais

Félicitation !

Et te voilà validé(e) mon petit natif de Elvendyr ! La déesse Shaenna est ravie de t'accueillir dans son royaume. Avant tout, nous t'invitons à garder priorité sur tes acquis ! Ta tête de navet, Ton prénom super original, Ton pouvoir s'il n'est pas répertorié. Il est temps d'ouvrir ton journal de bord (liens/rps), te trouver un logis si tu ne veux pas vivre dans la rue avec Marcel le clochard, ton emploi ou même un lieu particulier qui ne fait pas partie de notre vaste univers. Viens créer tes scénarios et tes pré-liens !Tu as maintenant toutes les clés pour rejoindre notre royaume. N'oublie surtout pas qu'il n'est pas normal pour tout de croiser des feux de circulations et des téléphones cellulaires !

Merciiiiii

Non, je n'avais pas vu cette conversation avec Alexiel Je vais aller zieuter immédiatement sa fiche

Bienvenuuuuue parmi nous