Edwin Higgins

Preuve est faite que visages dévots et pieuses actions nous servent à enrober de sucre le Diable lui-même.

 

Lors de ce doux 5 mai 1967, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être RevealDown. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 52 automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus riches. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir propriétaire d'une petite bibliothèque de fortune que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis célibataire et que l’étiquette de hétérosexuel se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà je suis un brin alcoolique, bon en rhétorique, cultivé et parfois taciturne. Ah oui, je possède le don de « manipulation des rêves ». Avec tout ça, j’appartiens à la classe  des Bad Blood, en tant qu'humain, relié à l'élément de l'air et qu’avec tout ça je me vois  être très curieux envers ce monde sur lequel on chuchote beaucoup. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Rufus Sewell. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit !

► Sarcastique – Possessif – Jaloux – Intelligent – Alcoolique – Taquin – Élégant – Charismatique – Impulsif – Désordonné – Malicieux – Cultivé – Désinvolte – Libre – Attentif – Observateur – Radin – Nostalgique – Manipulateur – Farceur – Affectueux – Insolent – Rancunier – Réconfortant – Malin – Débrouillard – Ambitieux – Artistique – Doux – Attentionné – Impatient – Borné – Ironique – Nonchalant – Sportif – Compliqué – Capricieux – Cachottier – Blessant – Sûr de soi – Raffiné – Passionné – Bienveillant – Fier – Digne ◄

(Caractère modulable, si besoin. N'hésitez pas à me demander )

BUT YOU CAN RISE AGAIN

(L'histoire reste assez libre, seuls ces quelques points cités ci-dessous doivent être respectés )

► Né le 5 mai 1967 à RevealDown. Fils d'une famille aux moyens plus qu'aisés. Ses parents sont originaires d'Irlande, et ont choisi de s'établir en ces lieux, bien que leur choix surprenne. Edwin a également un grand frère.

► En 1980, Edwin perd sa mère et son frère durant le séisme ayant eu lieu à RevealDown. C'est un traumatisme pour lui, chose qui ne s'arrangera pas lorsqu'il découvre que son père, quelques années plus part, s'est donné la mort, désespéré par la perte de presque toute sa famille. L'enfant est recueilli en urgence par son oncle, venu à RevealDown. Il parvient à grandir, bien que difficilement, et se passionne pour la lecture et le dessin.

► Histoire d'amour brève de quelques mois. Edwin éprouve beaucoup d'amour avec l'élue de son cœur, cependant, il souffre de cette relation, se devant de satisfaire tout les désirs de sa belle, ses caprices, supporter ses humeurs. Celle avec qui il voulait, toutefois, se fiancer, se trouve être une menteuse et infidèle envers lui. Elle l'abandonne, le laissant déchiré pour de bon. Edwin se réfugie alors dans l'alcool, et la petite boutique de fortune qu'il a racheté, afin d'en faire une bibliothèque, son rêve d'enfance.

► Rencontre avec Sibylline, dans un café. Il est tout de suite très curieux à son égard, très envahissant aussi. Il est cependant le seul soutien moral réel qu'elle aura, par la suite. Leur rencontre aurait pu s'arrêter là, mais,  Edwin n'hésite pas à prendre en filature cette étrange personne. Après deux mois où il n'a cesse de la poursuivre, elle accepte d'entrer à son service dans la Hawthorn Library. Il a beaucoup de mal à clarifier ses sentiments, confus, envers elle, s'y attachant un peu plus chaque jour, bien qu'il tente de le cacher. Elle l'intrigue, et n'hésite pas à le sauver de l'alcool.

► Découverte de son pouvoir, après avoir bu l'eau de RevealDown. Il se plaît à taquiner Sibylline à ce sujet, modifiant ses rêves pour l'embêter un peu. Lorsqu'il lui demande si, elle aussi, possède un don, celle-ci se referme, au grand dam d'Edwin, qui ne lâche pas l'affaire.

A REASON TO FIGHT

 

Sibylline. Il ne sait pas d'où elle vient, ni qui elle est. Pourtant, Edwin décide de prendre soin de celle qu'il emploie dans sa petite bibliothèque, l'appelant affectueusement sa Muse. Elle le tolère, il la taquine. C'est Sibylline qui sauve son employeur loin de ses bouteilles d'alcool, c'est lui qui s'efforce de ne pas oublier son visage dans les pires moments. Ils s'entendent, se disputent, mais rien ne semble les séparer, ou presque. Il n'aime pas savoir Sibylline loin, et n'hésite pas une seconde à la prendre en filature, ce qui a le don d'attiser l'agacement de l'Ange.