Denver

A chemical coma life.

 

Lors de ce doux quatorze décembre 1796, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être SAN PHOENIX, OBSIDIAN KINGDOM, ELVENDYR. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir soixante-treize automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus pauvres. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir poète déchu, dont l'effroyable lyrisme n'a d'égale que la trop vaste folie surplombant les landes calcinées de mon état d'esprit que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis célibataire et que l’étiquette de bisexuelle se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà je suis un vampire et les caractéristiques qui me représentent sont l'IMMORTALITÉ, FORCE SURHUMAINE, RÉSISTANCE ACCRUE, CAPACITÉ DE RÉGÉNÉRATION INSTANTANÉE, CÉLÉRITÉ VAMPIRIQUE, RÉFLEXES SURHUMAINS, SENS DÉCUPLÉS ET HYPNOSE. . Avec tout ça, j’appartiens  à la classe  des ASHES TO ASHES et qu’avec tout ça je me vois  être indifféremment torturé face à tous ce qui se trame dans l'ombre et ses funèbres instants. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à iwan rheon. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit ! Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff.

Je cherche dans l’œil de cette martyre si pâle, si frêle, le péan que chante le désespoir. Cette meurtrissure infinie et magnifique qui jailli de la paupière ainsi qu’un long et piteux râle. Rumeur embaumée de moiteur et de torpeur. Caressant les plis dégingandés de mon âme de sa doucereuse tiédeur. Je ne vois en la profondeur de ces deux abysses miroitants que le gouffre immensément vide de son esprit engourdi et absent. Autrefois elle chantait l’effroi, désormais, elle ne m’offre que le souffle glacé et violant de sa respiration flétrie et miséreuse. Son haleine frigorifiée flottant dans l’air insalubre de la sombre pièce, glissant sur les vestiges errant et se brisant contre les cloisons cimentés des quatre murs l’assiégeant.  Prisonnière de mes prières. Muse qui ne m’amuse pourtant plus.

- Tu es malade, ce soir. Muse, que Diable t’arrive-t-il ? Mes phalanges atrophiées sont pourtant légères comme ces éphémères. Tu vocifères, les sentant glisser sur ta chair,  creusant leurs ornières déchirantes. Labeur accroissant tes peurs, mais tu n’es désormais que Torpeur.

Ma Muse ne répond pas, interdite. Le crâne lourdement déchu sur l’avant, son front perlant de sueur sur sa peau d’albâtre, ses pâles paupières boursoufflées par de sombres ecchymoses embrassant l’obscurité, elle ne me livre que la racine crasseuse de sa claire chevelure à contempler. Je voudrais qu’elle tourne vers moi, ses yeux pleins de ténèbres et d’étoiles. Dépose sur mes émeraudes, son regard mêlé d’horreur et d’espoir, baume divin, sur mes obscurs plaisirs, vent salutaire qui agitera enfin les voiles funéraires de mon esprit disloqué, pour qu’enfin je puisse la reposer dans un rêve sans fin. Utopique. Ma Muse ne répond pas, interdite. Je sens fondre et se ruer sur moi les lourdes épouvantes de l’Ennui attenante. Noirs bataillons, vicieux démons, parés à ameuter ma Pensée dans les routes mouvantes aux horizons sanglantes. Lucidité, toi que j’apprends de jour en jour à détester. Chère sœur d’élection que je veux haïr pour en vain cesser de croupir. Pourquoi me regarde-tu donc comme ça ? Tu vie hélas dans le creux bourbeux et sinueux de mon crâne. Ce que tu saccage ainsi, ce ne sont que les débris de ma cervelle putride et malade ! Pas besoin de potence. Pas besoin de Conscience ! Je veux voir et croire. Je veux sourire, mais pas souffrir. Je veux percevoir, mais ne pas avoir. Humanité. Insanité. Je n’en veux pas. Je n’en veux plus !

D’un bond lourd et hagard, je me redresse sur mes jambes, m’écartant avec effroi de l’amoncellement de planches de bois qui me sert accessoirement de bureau. Je suis en conflit parfait avec mon crâne et mon âme. L’un me chante Enfer et l’autre me murmure Paradis. Ce que l’un désire, l’autre fuit, ce que l’autre fuit, l’un veut le chérir. Ce soir, ma Muse est malade. Elle me livre froidement et cruellement à mes déboires. Ennui. Embûche bien dressée qui me présente incessamment le commencement de ma Perdition. Éternité misérable et minable que je ne veux pas. Que je n’ai d’ailleurs jamais voulu ! Je me rapproche à pas chancelant de ma Muse atrophiée qui - SEIGNEUR ! - c’est endormie. Constatation qui ne manque pas de me faire hausser un sourcil d’incrédulité : Comment trouver le sommeil ainsi enchaînée en croix contre un mur pourri et froid ?  

- Ouvre les yeux, très chère. Le sommeil n’est hélas qu’une vicieuse perte de temps…

Ma Muse s’agite alors, secouant sa chevelure tragique en tous sens. L’œil fatale s’ouvre vivement et sa voix despotique me crache en pleine figure un hurlement si puissant que je suis convaincu que j’ai perdu 20% de ma capacité auditive. Ce qui malgré tout m’arrache sur les lèvres un indéniable sourire Colgate. Louange à toi, âme stupide, qui espère encore attirer de la pitié en ce lieu oublié et malsain !

TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN

OBSIDIAN KINGDOM, ELVENDYR.
Dans les limbes du passé.

Dégouté, la feuille de papier se recroqueville au creux de ma paume qui se resserre à l’effigie d’un poing dangereusement contracté.  Sans plus attendre, comme un vulgaire torchon, je lance à bout de bras le papier froissé. De mes émeraudes sereines et éteintes,  j’observe la boule grisâtre planer durant quelque instant dans l’air, pour ensuite la voir atterrir dans l’eau verdâtre, rejoignant mégots de cigarettes et autres déchets du même genre qui m’auréolent dans ce gros tas de n’importe quoi qui pu le fond de tonneau et empeste la charogne. Des rires, des pleurs, des hurlements, la symphonie des enfants des Ombres se mêle aux chants tonitruants des ténèbres. Hymne hachée dans la composition d’un désordre et du gâchis. Musique sans rythme qui se perd au travers des vapeurs exécrables de ce monde perdu et oublié dans les entrailles de la terre. Musique désincarnée, dont la lugubre mélodie n’est que le banale office d’une voie souterraine encombrée et grouillante de passants misérables et hagards. Les voies souterraines de CrimsonDale ne dorment et ne s’assoupissent jamais. Chaque recoin, chaque fossé,  chaque caveau, livrent à ces veines glaiseuses toute l’immondice qui lui est propre et à la fois tant redouté.  Enfer et démons nichant dans le cœur de chacun, ces lieux tortueux et lugubres ne reflètent que les miroirs des âmes de ceux qui les fréquentent. Ballet mortuaire qui anime une comédie dépourvue de joie et de beauté. Sabbat de l’Horreur qui s’échappe au loin, zigzaguent dans les profondeurs du vide, remontent et longent les ténèbres. Des échos qui, tels de vicieux aspics, rampent tout autour de nous, se frayent un chemin dans ces alcôves de misère, pour tapageusement aller se répercuter contre les parois cendrés de ces murs de terre qui nous séquestrent tous. Musique sans vie, qui pourtant embaume les environs d’une frénésie constate et de plus en plus effervescente.  

Je hais ce monde. Ce trou dépourvu de moral, d’éthique et de dignité. Tout est insipide et ignominieux. L’Elvendyr d’autrefois me manque. Temps de paix où les apocalypses se voyaient rares, voyant le chaos des Natifs vs Hybrides comme une blague franchement risible que nous, enfants de la Nuit, regardions de loin. Tant de choses ont changés. Le Temps lui-même me parait harassant et trop long. Mon Éternité me ronge et me lacère. Moi qui fus jadis un poète réputé et glorifié. Désormais, je ne suis que le mirage de cette gloire d’antan. Je ne suis qu’une ruine qui se perd et se noie parmi les autres. Et contraints de se replier à l’ignoble dictature de nos tyrans, nos corps s’entassent comme des sardines dans les voies souterraines. Monde tragique qui m’éprouve et m’exaspère. Ici-bas, seul ma mémoire et mes souvenirs me comblent et alimentent mon funèbre géni. Funèbre géni qui s’effrite de plus en plus. Je ne parviens plus à composer le moindre vers et mes poèmes commencent à ressembler à la laideur et fadeur de ces voies souterraines où je suis condamné d’avancer.

Las, mes paupières embrassent lourdement l’obscurité. Vaincu, j’attache mon stylo à plume à la page couverture de mon recueil qui se dégarni dangereusement de ses vieilles feuilles chiffonnées et jaunis. Machinalement, mon ouvrage vient trouver refuge dans la poche intérieure de mon trench coat noir et taillé sur mesure contre mon corps svelte et tonifié de mes tendons ordinairement crispés. Mes mains livides et glacées s’engouffrent dans les poches de mon manteau et tête bien basse je commence à me fondre et me perdre au travers de la foule versatile qui se dessine indifféremment devant moi.

- Denver ! Denver ! DENVER !

La voix fluette et nasillarde peine grandement à surmonter le brouhaha ambiant, mais elle persiste à s’époumoner jusqu’à que mon regard impassible repère le visage horrifié de son propriétaire. Visage horrifié juché au-dessus d’un minuscule petit corps que je vois slalomer prestement entre les passants, bravant la foule tel un navire perdu en mer.

- DENVER ! DENVER ! DENVER !

Et tel un navire perdu en mer, le corps chétif et squelettique de mon congénère vient désagréablement s’échouer sur moi de marbre qui ne bouge point sous l’impact de la collision. Agacé, écœuré, j’essaie de rétablir une saine distance entre la boule de nerfs et moi, mais la boule de nerfs ne semble pas partager mon vœu et m’attire violemment à lui lorsque ses deux mains agrippent brusquement le col de mon blouson. Incrédule, mes émeraudes s’abaissement lentement sur l’emprise, les mains frêles vigoureusement fermées contre le tissu, dont les doigts blafards et maigres donnent l’étrange apparence de deux bestioles tropicaux qui replient leurs pattes livides sur une proie.

- Nemek, tes mains. Je te conjure de les retirer.

L’Affolé ne m’entend même pas. Ses grands yeux pétrifiés plongeant désespérément dans l’austérité et les ténèbres de mon regard impassible.

- Denver ! Tu dois venir avec moi.

- Plus tard. Dans l’heure, j’ai d’autre---

- NON ! Maintenant ! C’est important ! Tu dois voir… c’est atroce !

•••

En retard. Je déteste être en retard. Surtout dans des circonstances si peu éventuelles et franchement drastiques. Nemek, cet hypocondriaque hystérique, il ne perd rien pour attendre ! Bref, c’est avec un air de bœuf que je parviens enfin à effleurer le seuil de ma destination… alias une pièce franchement quelconque et sans importance.  Tout juste que mon âme disloquée rôde dans l’antre, que la voix civilisé de Bjorn se répercute contre les parois des murs cimentés. Assumant pleinement ma bourbe, un faible sourire ironique apparaît à la commissure de mes lèvres alors que je daigne, bras croisés derrière le dos,  me rapprocher de l’être à la dégaine franchement majestueuse, même accoutré  de vêtement aussi commun et simple. Il est de ces gens qui aspire au respect et servile docilité. M’Enfin, il est le fils d’un homme de pouvoir et de grande fortune au sein de nos territoires et faire affaire avec lui est ce qui me semble le plus logique pour ma survie immortelle.

-Bonjour, Denver. Se sont les portes du Purgatoire qui sournoisement se sont refermées sur toi et ainsi retardées ton arrivée ?

- Le Purgatoire. Coincé là-bas, je prendrais ce contretemps pour des vacances, que je soupire sans émois, en simple constat, pendant que ma courte déambulation s’arrête au salut d’une table dressée entre les deux surhommes et moi-même. Du coin de l’œil, je dévisage l’armoire à glace qui sert de chien de garde au milliardaire. Une belle pièce d’homme qui ne m’effraie pas, mais qui sait néanmoins attirer mon attention, je dois bien l’admettre.

- Voilà ce que j’ai pour vous, révélation sans cérémonie qui s’accompagne aux gestes. Lentement, je décroise les bras de derrière le dos et dépose sans aucun ménagement un sac en papier brun sur la table. Là-dedans, il y a un crâne. Une tête grossièrement charcutée au niveau du cou. Le vestige de cette boucherie a eu lieu il y a de cela plusieurs jours. Le sang a coagulé à la commissure de la lésion. Ce qui explique l’odeur de putréfaction et également l’absence d’hémoglobine sur le sac.

Des détails sans importance, je m’empresse donc d’aller aux faits.

- Cette tête n’appartient pas à un vampire. La semaine dernière, des êtres de la Surface sont venus nous rendre visite. Des trafiquants d’armes qui gèrent leur business dans l’arrondissement de CrimsonDale, au Marché Noir. Ils sont descendus ici pour négocier un partenariat avec l’un des nôtres. Un certain Dimitrius, un vampire. À la fosse Hell Pit, il gère un bon nombre de trafics, notamment les banques de sang et la livraison de viandes fraîches au sein des autres caches. La semaine dernière, Dimitrius a accepté un partenariat avec lesdits trafiquants d’armes. La transaction devait avoir lieu le soir même. Ce qui s’est produit, mais le pacte a mal tourné. Des rivaux, ou que sais-je, ont embusqué la fosse Hell Pit… Dimitrius et les siens se sont fait descendre. Le quidam avec qui il faisait affaire a connu le même sort. Et les cargaisons d’armes se sont volatilisées. C’est Nemek, un ami à moi, qui m’a tenu au courant du carnage. Sceptique, je suis allé à la fosse Hell Pit et le bain de sang que j’y ai découvert a des allures aussi charmantes que la tête tranchée que je vous aie rapportée.

Courte pause.

- Des rumeurs cours, Bjorn. Le carnage, il a été orchestré par l’un des nôtres… ou plutôt un habitant des voies souterraines Ici-bas, les temps sont de plus en plus sombres et la haine viscérale envers vos semblables devient de plus en plus incisive. Dans ces voies souterraines, il y existe qu’une seule règle ; aucun vampire n’a la liberté de pouvoir tuer un confrère. La semaine dernière, le traité a été rompu, une quantité importante d’engins comme qui dirait mortel a été dérobée et ce n’est qu’une question de temps avant que le Chaos se soulève. L’attentat qu’il y a lieu au royaume de l’Ether, ce n’est hélas que le commencement de la fin. Le carnage de la semaine dernière ne peut que davantage nous convaincre à cette évidence…

Oui, l’Elvendyr d’autrefois me manque et atrocement, chers amis lecteurs de mon éternité platonique…

AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND

 

Pseudo : Disturbed Où as-tu donc connu le forum ? cette question, j'en peux plus d'y répondre Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? toujours chenille sans ses ailes ou mille pattes sans pattes. JE SUIS IMPOSSIBLE AVEC MES DC, JE LE SAIIIISSS !!!!! FOUETTEZ MOUAAA !!!   Le forum, tu en penses quoi ? toujours aussi moche et la communauté jamais charmante    As-tu des demandes spéciales ? J'ATTENDS ENCORE ET TOUJOURS MON MENU MÉDIÉVALE AVEC JOUET !!!

ALORS C'EST TOI, LE DERNIER DINOSAURE ? MON MEILLEUR AMI ET BIEN PLUS ENCORE ?

Denver a écrit:

As-tu des demandes spéciales ? J'ATTENDS ENCORE ET TOUJOURS MON MENU MÉDIÉVALE AVEC JOUET !!!

Viens le chercher

BREFOUILLE. Rebienvenue chez toi ma douce, avec ce perso qui s'annonce encore et toujours aussi merveilleux que la plus belle des merveilles que tu es

Je souhaite, que dis-je J'EXIGE, un lien avec Sélène, l'autre folle des bataillons !

*regarde derrière lui, en avant et dans son froc*
AH, MAIS QUE OWI, MA QUEEN, CEY BIEN MOI LÀ-DEDANS !!! AUSSI DINO ET AMICAL DE LONGUE DATE


Est-ce que je dois aller le chercher entre tes boobs, diiiissss ?

Marchi beaucoup pour le beau petit mot de bienvenue Tu me fais rougir avec tous ces beaux commentaires ROOOH, MAIS BIEN SÛR QU'IL VA NOUS FALLOIR UN LIEN AVEC SÉLÈNE, NOTRE BELLE SIRÈNE DES EAUX À PEU PRÈS DOUCES !!! Je le sens que ça va claquer du string

Bon, un grand rebienvenue à toi ! Le choix d'avatar et le NOM OMMMMG !!! Le pire c'est que si j'aurais fait un gars avec Odessa, je l'aurais surement nommé ainsi J'adhère tellement ! Et un vampire en plus, c'est ma Illyria qui est contente ! J'ai pas le temps de te lire, mais dès que j'ai quelques minutes, je fais ça Je suis déjà sur que ton perso c'est de la bombe de toute façon !

Coucou toua!

Denver a écrit:

Est-ce que je dois aller le chercher entre tes boobs, diiiissss ?

Essaies entre ceux de Sélène, on sait jamais

Garrett ; OUIIII !! un vampire de plus pour combler le bonheur de notre reine tant crainte et redoutée de tous AH OUAIS MAIS LE NOM DE DENVER, Ç'A LA CLASSE, TOUT DE MÊME ! (On s'étonne que je comprends pourquoi tu le voulais si tu avais fait un mec avec Odessa ) Merci beaucoup. Il me tarde de discuter lien avec toi

Riley ; AH ! mais que coucou, toé !

Margot ; J'AI TOUJOURS SUEUH QUE CETTE SIRÈNE ÉTAIT PLEINE DE SURPRISES !

ReWelcome petit dinosaure !

WOWOWOW JE DISAPPEAR UN MOMENT ET QUAND JE REVIENS???
TU T'ES DÉMULTIPLIÉE????




mais stop là faut arrêter de nous pondre une merveille tous les mois, mes yeux ils saignent bcp trop de vénération làok????

EN PLUS UN VAMP' ARGH PIRE ENGEANCE DU MONDE TMTC mais bon comme t bg je te passerais pas au lance-flamme. ET PUIS CE PSEUDO LA, TU ME LE SORS EN PLEIN CASA DE PAPEL : LE RETOUR !!! MAIS JE SUIS FAN DE TOUT COMME D'HAB VOILA TU SAOULES A TOUJOURS ME METTRE DANS DES ÉTATS PAREILS.

mdrrr j'me rends compte
faut que j'arrête de poster des messages de folle sur tes fiches un jour
(c ma passion 4 evah)

Félicitation !

Et te voilà validé(e) mon petit démon ! La déesse Amara est ravie de t'accueillir dans son royaume. Avant tout, nous t'invitons à garder priorité sur tes acquis ! Ta tête de navet, Ton prénom super original, Ton pouvoir s'il n'est pas répertorié. Il est temps d'ouvrir ton journal de bord (liens/rps), te trouver un logis si tu ne veux pas vivre dans la rue avec Marcel le clochard, ton emploi ou même un lieu particulier qui ne fait pas partie de notre vaste univers. Viens créer tes scénarios et tes pré-liens !Si tu es un démon originel, n'oublie pas que tu n'as pas accès au royaume de Ether, ni à la dimension de la Terre. Sinon, nous espérons pour toi que le mal triomphera !  

Euuuuh! Toi! Avec ce belle homme! Avec cette belle plume! Avec ce petit aura de vampire! JE DIS OUI!!!

**se rebrousse les manches et fait craquer ses phalanges**
Baooon il est temps de sortir ces pouvoirs d'admin pour valider cette fiche! LES ASTRES SONT ENLIGNÉS!!!!

Meuuuh! Je suis déjà in love! C'est la merde!

Merci beaucoup ma belle Em adorée pour le petit message de bienvenue

Caleb Je viens de relire tes messages de bienvenues dans mes autres fiches de présentations et cey vrai qu'ils sont bourrés de folie ET TU SAIS KEWA ?! BAH MOI J'AIME ÇA ! Et JE SUIS GRILLÉE, LE PSEUDO SORT TOUT DROIT DE CASA DE PAPEL Merci pour ta joie de vivre forte bien contagieuse

@LEE FLORES HAAAANNNN MARCHI POUR LE MESSAGE DE VALIDATION, EN VOILÀ UN PETIT VELOURS SUR MON PETIT COEUR ! (T'as sûrement reconnue l'état d'âme du vamp, d'ailleurs... bien qu'il ait changé de gueule (et de pseudo par défaut que l'autre était déjà pris : CEY BLAKE !! QUI JE L'ESPÈRE BIEN TROUBLERA UNE FOIS DE PLUS L’INNOCENCE DE NOTRE BON VIEUX EXKIEL )

Tu peux être sûre que je le reconnais! Il est inoubliable mon petit vamp' traumatiseur de berger à la con!
Et je suis d'autant plus excité de le voir débarquer à RD! Ohhhhhh ça sent la merdeeee! (Et je crois que c'est Ex' qui vient de chier dans son froc! )

MAIIIISSS EUUUHHH!!!! TU L’AS FAIT! TU AS RÉCIDIVÉ!!! Sérieusement, c’est pas moi qui va te dire de prendre tes médocs pour faire taire les voix dans ta tête. Ton cerveau est à rajouter aux sept merveilles du monde c’est certain!!!!

Je saute partout depuis hier!!! Débarquer ici avec cet avatar et cette histoire tellement accrocheuse et intrigante, ça sent les liens et les sujets fucked up à pleins neeeezzz!!!! Deja, j’ai vue que tu as des sujets avec Ariana (Yvonne OMG!!! ) que je dois à tout prix me dépêcher d’aller lire et ensuite, dès que je ferme cette page je me jette dans ton sujet de lien.

Sur ce, je te souhaite de t’amuser avec Denver (huhuhu j’love que trop ce prénom) autant qu’avec ta ribambelle d’autres perso tous aussi colorés elles un que les autres.


Have fun!!!!!

Welcome back

Tu en as encore combien sous ton chapeau des comme ça XD ?