Fallait dire que notre dernier week-end fut des plus bouleversants. Déjà, on avait gâché un tas de cocktail, sans compter que nous n’avions pas réussis à profiter de cet fin de semaine sous le thème de la fiesta… et pour en ajouter une couche, on s’était fait attaqué par des spectres et quelques membres de notre groupe s’était fait assassiné… la joie hein… en tout cas, malgré tout le drame qui s’était déroulé devant mes yeux, j’avais senti un certain rapprochement avec le frère de ma meilleure amie – Layden. Certes, je le connaissais depuis qu’il était gamin et j’avais plus de 1000 quelques années que lui, mais étrangement, je commençais à repenser à lui, à notre petite complicité par moment et j’eus soudainement une envie, une envie de le retrouver, de passer un bon moment et je savais qu’il ne s’avérait pas très connaisseur de la Terre. Je voulais tellement qu’il l’a découvre. D’un meilleur œil que cette fin de semaine dans les bois où j’avais décidé de l’inviter. C’est sans crier garde que je me pointais chez lui, toquant, un grand sourire et un sac à la main. « Heho Sweetie !! » Hurlais-je en tentant de regarder à l’intérieur de la vitre de son entrée. J’étais impatiente de lui faire découvrir cette grande citée du jeu, du vice et du Plaisir. Las Vegas était tout simplement magnifique et je savais que Layden s’amuserait. Découvrir le monde terriens, Vegas était un bon commencement. Là-bas, chaque spectaculaire hôtel démontrait l’ère et la culture de plusieurs pays. Je pourrais ainsi lui offrir ce petit quelque chose, sans passer trois mois à tout visiter et du coup… PROFITER DE L’ALCOOL GRATUIT DANS LES CASINOS. Oulahhhh que j’avais hâte. La porte finit par s’ouvrir. Je lui dévoilais mon grand et franc sourire. « Mon p’tit loup, tu es prêt ? » Loup, ce n’était peut-être pas le meilleur surnom à son niveau, sachant qu’il était du feu, mais bon, je m’amusais. Layden n’était pas au courant de mes plans, il ne savait même pas que j’allais passer de toute façon. Mes bras se lèvent en l’air pour démontrer mon excitation. « Je te kidnappe ! et sans mauvais jeu de mot avec ce que ta sœur vie hein… » Dis-je d’un rire malaisé, mais gardant tout de même cette joie de vivre.