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| Never was and... never will be? | |
| Auteur | Message |
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 12:30 | |
| Mary Flowery Vulnerant omnes, ultima necat | Lors de cette douce pleine lune de juin 1989, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être Revealdown. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 30 automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivée, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlues riches. Défaite de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir arboriste-élagueuse-grimpeuse que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis désespérément amoureuse d'être seule avec moi-même et que l’étiquette de l'hétéro sans doute, mais en quoi ça me concerne ? se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spéciale à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà entre les gouttes, que dis-je, entre les coups, j'ai appris à jouer du piano et je vais d'ici peu, ou dans un battement de cil ou dans un siècle, me confronter au réveil de mon pouvoir. Avec tout ça, j’appartiens à la classe des Ashes to ashes et qu’avec tout ça je me vois être bientôt perdue, mais pour mieux me retrouver, dans la découverte d'Elvendyr. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Amy Lee. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit ! Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff. |
Le silence. Comme elle l'affectionnait. Un ami fidèle et apaisant, merveilleux Rien, sublime Absence de souffrance, métamorphosé en médicament clandestin qu'elle s'ingurgitait avec voracité dès que possible. L'abyssal du non-ressentir, orgasmique baume qui la ressuscitait. Ne rien faire, ne rien dire, ne rien subir, ne rien penser...Un trou noir défensif où elle se lovait, les émotions en pierre. Le spectre des frappes et des humiliations s'éloignaient enfin; elle osait se respirer, s'autorisant à peine à survivre aux palpitations des catacombes d'un impossible amour parental. Comment ne pas se laisser dévorer par la désespérance ? Il n'y avait que la grande Faucheuse pour s'arroger l'insolent pouvoir d’annihiler la part d'humanité de chacun. Et l'Héroïne toute puissante s'arrogeait tant de visages différents. Mary apprit ainsi, aux balbutiements de sa chienne de vie, qu'il n'y avait pas d'échappatoire. Survivre ou mourir, telle s'imposait l'équation totalitaire. Une partie d'elle-même s'en était déjà allée, si cruellement, si violemment, ce jour noir, si noir, où il lui en avait mis tant sur la gueule qu'il s'était écroulé, épuisé et béat, sur le canapé du salon. Alors, à quoi bon ? Alors...elle œuvra comme elle respirait, à se déshumaniser, à s'anesthésier, creusant jour après jour la tombe d'une lumière intérieure vacillante. Elle l'enterra dès sa prime enfance, quelque part, si loin, si près, ce chatoiement de vie, d'espérance, d'optimisme. Elle se ferma aux émotions, se protégeant à mort. Elle devint suicidaire mais pas au point de se tuer complètement, elle était trop lâche pour ça, sans force ni courage. Non, c'était juste pour l'adrénaline, s'amuser à frôler l'au-delà sans son ni couleur. Ne plus vivre lui semblait un délice éblouissant. Un repos éternel où elle ne souffrirait plus, où tout s'arrêterait. L'idée seule lui plaisait, la comblant de rêves sombres. de shoots de bien-être factices. C'était mieux que rien. Sublime paradoxe d'une psyché meurtrie. Renfermée, elle parlait peu, pensait beaucoup, trop et mal, enfermée dans ses bouillonnements intérieurs et ses extases macabres. Agressive, elle pouvait vriller en une fraction de secondes à simplement rencontrer un gus qui ne lui revenait pas. Solitaire, asociale, agoraphobe, les autres, ils l'étouffaient, elle s'en foutait grave, incapable qu'elle était de faire confiance à qui que ce soit. Instable, elle pouvait se mettre à rire et gambader dans sa forêt aussi soudainement qu'une pluie d'orage et l'instant d'après, s'inhumer dans une tristesse sans fond. Seule la nature trouvait grâce à sa conscience déformée. Dans l'intimité, elle discutait avec ses arbres, se confiait à ses chiens et s'éclatait à effleurer les nuages, perchée à plus de 12m de haut. Elle ne savait rien de son ancêtre, d'Elvendyr. Peut-être en aurait-elle eu un peu d'espoir, de sourire à s'éveiller le matin. Elle demeurait ignorante de ce monde et de ses origines autant qu'elle l'était d'amour et de tendresse. Entière, excessive, secrète, elle évoluait dans un carpe diem incessant, incontrôlable et revencharde. Elle vivait sur Terre mais tout ce qui concernait la société et ses systèmes c'était pas ses oignons. Qui se serait permis de lui reprocher ses comportements décalés ? Domptée telle une bête malfaisante pendant presque une décennie, elle savourait enfin une liberté volée sur l'autel des Innocents incapables de se défendre. Mais au fond, elle n'allait pas bien, pas bien du tout. Le passé la hantait, elle cauchemardait trop souvent le meurtre de son père, traumatisée par cette putain de violence qu'il lui avait faite endurer. Elle bouffait des somnifères pour dormir et parfois, ils ne suffisaient pas. Alors, elle se réfugiait là-haut, lovée entre les branches douces et murmurantes de ses potes feuillus qui la câlinaient entre leurs bras de bois, rassurants. Eux, au moins, ne lui feraient aucun mal. Elle n'avait rien d'autre, ils représentaient son Tout, elle s'en contentait avec humilité et reconnaissance. Peut-être les deux uniques qualités qu'elle n'éprouverait jamais. Qui aurait voulu s'acoquiner avec une telle azimutée... TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN L'ancêtre embrassait l’Éternité, soufflant sur les braises froides de son Immortalité. La sève de la Mort, figée en don de Vie, ricanait à l'insolence morbide d'une quintessence assoiffée de sang. Et la Terre expira les ténèbres. -Je vous salue Marie, pleine de grâce...Chuuut, s'il te plaît, arrête de pleurer, ne fais pas de bruit, ne fais pas de bruit...Le seigneur est avec vous...Bouge pas, ça va aller...Vous êtes bénie entre toutes les femmes...Tais-toi tais-toi...Et Jésus, le fruit de vos entrailles...Voilà, on voit pas trop..Tu dis rien hein, sinon tu pourras plus aller à l'école...est béni. Sainte Marie....
Les effluves d'éthanol lui fouettaient les narines, diffusant les sempiternels relents d'une mère alcoolique, fanatique de religion. Un délire spirituel déséquilibré qui avait décidé que le petit bébé de 2 kilos et 500 grammes devait incarner la pureté et le sacrifice de l'autre Maman, là-haut dans le Ciel. Il se nommerait donc Mary, fille de la Terre et des anges, conçue par la volonté du Seigneur. Comme Elle, l'enfant devra souffrir et se sacrifier pour la rédemption des pêcheurs de l'Univers. L'épouse tapotait maladroitement le côté tuméfié du visage de sa gamine, assise sur le rebord de l'immense baignoire aux mitigeurs dorés. Experte en camouflage, elle prenait soin de bien chauffer le fond de teint dans sa paume avant de l'appliquer. Ça pénétrait dans les pores plus finement et elle pouvait rajouter des couches et des couches pour estomper la chair violacée. Dans quelques jours, ce serait plus facile : ça aura viré au marron jaune, ça se confondra encore mieux avec le n°12 de la célèbre marque. La petite fille ne pouvait que subir les griffes d'un dégoût impérissable et se taire. Ça faisait tellement mal. Tellement...Mais elle avait été méchante, n'est-il pas. Elle avait fait tomber sa cuillère au petit-déjeuner et le bruit assourdissant sur le carrelage l'avait agacé. Le pauvre papa travaillait tant. Il se sacrifiait chaque jour pour sa famille, pour elle surtout. Un des plus gros groupes industriels du coin lui devait les bénéfices colossaux qu'il amassait chaque année. La cote boursière ne cessait de grimper, les zéros s'alignaient sur le compte en banque. Voitures de luxe, villa immense jonchée de marbre de carrare, parc paysagé doté de sculptures d'artistes célèbres, piscine, petit personnel...Les dîners mondains succédaient aux réunions : il était apprécié le bellâtre quarantenaire. Salton Flowery, Fleur de Géhenne, l'homme important de l'industrie pharmaceutique, appréciant les courbettes, quelque peu présomptueux. C'était bien là ses seuls défauts. Ses affaires prospéraient, l'entreprise nourrissait des milliers de familles, que demander de plus ? L'on pouvait bien fermer les yeux sur ses sautes d'humeur et son irascible caractère. Il aimait commander en dictateur ? Allons donc, ce n'était guère qu'un moindre mal. Qui pourrait s'opposer à un magna du médicament dont la production sauvait et venait à en aide à des milliards de vies ? On ne pouvait que saluer la divinité d'un Maître du commerce...Saluer...Quel piètre terme. Honorer ? Vénérer ? Admirer ? Voire...Haïr ? Lequel choisireriez-vous, à pratiquer le Boss au quotidien ? *** -Viens ici connasse.Elle s'avança, tremblante. -C'est quoi cette note ? La copie à la main, il était si calme. Tête baissée, les yeux rivés au sol immaculé, elle ne répondit pas. -Je te cause salope. Rien en dessous de 18, tu as oublié ?
Ironiquement carnassier, il eut un rictus, découvrant sa dentition parfaite. -Monte dans ta chambre sale pute.
Il se mit à respirer fortement, l'air gourmand, l'air tiède s'échappant de ses naseaux. *** Poser le pied sur le sable chaud ou la terre fraîche procurait une tendre sensation, agréable et détendue. L'on pouvait se laisser aller ainsi à un délassement naturel, bienfaisant. Tentez l'expérience, ô humains et bientôt, si vous y prenez goût, vous ne verrez plus d'un mauvais œil la corne s'amonceler lentement autour de votre jolie peau. Au contraire, vous bénirez cette semelle épaisse et protectrice qui vous permettra d'imprimer vos pas légers, éphémères et délicats sur l'herbe grasse ou les grains fins. Aussi sûrement que le feu brûlait, l'enfer des violences et des opprobres broya son corps et son esprit. Son dos s'effondrait en loques sanglantes lorsque la boucle de ceinture traçait son patchwork à vif. Elle avait fini par s'habituer au bout des hurlements et des douleurs. Après tout, rien ne pourrait changer. C'est ainsi qu'au fil des cicatrices si laides, gravées dans la chair, et des stigmates invisibles, une autre espèce de callosité s'englua à son être, œuvrant pour cuirasser une âme crucifiée : une gangue épaisse d'acédie l'encroûta toute entière.
*** -Hiver 2006- Les pas lourds du père claquaient sur les marches de l'escalier. Plus appuyés que d’ordinaire, elle sut que la fin approchait. Elle le sentait, elle l’avait toujours su. Un gouffre s’avançait, inexorable, implacable, destiné. Convaincue de son absolue faiblesse, elle avait toujours cru finir son ignoble existence en parfaite méprisable, abandonnant enfin une abominable survie à la délivrance ultime. Mais.Une volonté monstrueuse se libéra, quelque part. Elle se délia, puissante, invincible. Les crocs acérés, la substance immatérielle mais bien réelle, se fraya un chemin à travers les veines, dilatant les artères. Le cauchemar de délivrance s’épanouit dans des gestes lents, précis. Mary saisit les ciseaux de couture, le coupe-papier. Les bras ballants, immobile, tendue à l’extrême, elle se figea, scrutant la poignée de la porte qui pivotait silencieusement. Un pas, puis deux. Il venait de pénétrer dans l’antre de son tombeau. Alors, dans un mouvement de bête sanguinaire, elle bondit, mutique, les crocs et le gosier serrés. Chirurgicale et féroce, elle le perça aux yeux, les lames s’enfonçant facilement. Des larmes de sang s’écoulèrent, plus belles encore que celles, invisibles, qu’il lui avait tant et tant infligées. Le bourreau hurla, esquissant le geste de se protéger le visage mais de toutes ses forces, son genou percuta son entrejambe. Il chuta à genoux et accompagnant son affaissement, elle planta sur son cou les lames rassemblées dans ses poings, sans relâche. Encore et encore, toute une folie de Mal frappait et frappait, jusqu’enfin, le geyser pourpre de l’artère jaillissât. Elle haletait, trempée d'effort et de haine. Le corps s'affaissa, elle le chevaucha sur le ventre et à demi penchée, poignarda le cœur, scellant les armes improvisées dans la peau transpercée. Les phalanges blanchies de crispation, avec une espèce de langueur, elle se releva. Les soubresauts de l'agonie du tortionnaire la bercèrent étrangement. Elle l’observa, froide et brûlante. Le silence.Une ère nouvelle se levait. La mort l’avait portée. Mary s'éclot. Elle avait tué. Elle oublia Dieu. *** Un expert ausculta les mutilations dont les entailles machiavéliques se révélaient indécelables sous les vêtements. La justice sortit les dossiers médicaux de ses passages aux urgences. Le scandale secoua la région et le milieu des affaires. On décortiqua sa vie comme une cacahuète, tout y passa depuis sa naissance jusqu'au meurtre. Le tribunal conclut à la légitime défense. La mère fut déchue de son autorité parentale et Mary fut placée en foyer jusqu'à ses 18 ans. Elle héritait d'une fortune colossale, fille maudite et unique, dernière née d'une famille qui s'éteignait, seule au monde, les os brisés, puant un calvaire claustral. *** Elle acheta un chalet au nord de la ville, à Oak Valley, flanqué de deux hectares de terrain et de bois. Isolée comme elle le souhaitait, elle ne sortait de son antre que pour s'acheter l'indispensable et pratiquer sa passion : soigner et tailler les arbres de toutes sortes, peu importait leur hauteur. Diplômée dans cette spécialité, performante et radicale avec les clients, elle finit par contracter une certaine réputation. On l'appelait parfois de loin pour élaguer des arbres centenaires ou soigner leurs maladies. A bord d'un vieux pick-up qui roulait comme une horloge, elle ne se déplaçait jamais sans ses deux énormes chiens. La parole avare, revêche, on la considérait comme une originale sauvage, plus ou moins cinglée, toujours vêtue de noir. Nul ne l'emmerdait. Elle bossait quand elle en avait envie, plaquait sans cérémonie ni blabla les clients pour n'importe qu'elle raison qui lui passait par la tête. Une fois, une mère avait crié sur son jeune fils pour une bêtise de gosse. Elle n'avait pas supporté et sur un « je me casse » laconique, s'était faite la malle en moins de deux. Deux ou trois types , elle ne savait plus, administraient sa fortune. Elle s'en foutait tellement. Le reste du temps, elle occupait ses journées... Il aurait fallu vivre avec elle pour le savoir.
AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND | Pseudo :Riverside Où as-tu donc connu le forum ? Au bord de la Lune en pêchant des étoiles Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? Ouaiche ouaiche c'est indiscret, mais comme j'vous z'aime, approchez vos oreilles, j'vais vous murmurer un secret : « suis chasseuse de schtroumpfs !». Mais chuuut, ne le dites à personne sinon, c'est VOUS que je chasserai, nanmé ! Le forum, tu en penses quoi ? Coup de cœur du concept, enfin un forum mature vampire and co. non orienté SM ou dans le genre, heureuse des très jolies écritures découvertes, le niveau rp est top quoi^^. C'est peut-être un tout petit peu trop sombre mais bon, comme l'épisode de GOT, faut que j'mette la luminosité de mon pc à fond lol. As-tu des demandes spéciales ? Un mojito bien chargé avec du rhum Harewood 1780 et des glaçons faits avec de la glace d'iceberg du pôle Nord. Une pitite question : vous êtes de la ville de Québec ? Ouep, suis curieuse^^. Et pis j'vous dis: MERCI. |
Dernière édition par Mary Flowery le Dim 30 Juin 2019 - 12:07, édité 2 fois |
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 12:34 | |
| Hello! Si quelqu'un pouvait me filer un coup de main, merci d'avance! : je n'ai pas réussi à trouver la faille du code pour les 2 images. |
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nothing's gonna change my world Invité
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nothing's gonna change my world Freydis MESSAGES : 1096 BARGE DEPUIS : 17/01/2019 ROYAUME : San Phoenix, Obsidian Kingdom, Elvendyr
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 15:02 | |
| @Derek Morrow Notre championne des codages! Ton talent est requis ici! |
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 15:05 | |
| Bienvenue . |
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nothing's gonna change my world Hunter Morrow MESSAGES : 1951 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : HARRINGTON SPRING, revealdown
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 18:14 | |
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Mer 26 Juin 2019 - 18:16 | |
| Bienvenue! J’adore ton choix de célébrités je suis une grande fan de amy lee et surtout un grand coup de cœur pour evanescence |
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nothing's gonna change my world Invité
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nothing's gonna change my world Derek Morrow MESSAGES : 4058 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : Empire State of Mind.
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Jeu 27 Juin 2019 - 8:54 | |
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nothing's gonna change my world Hunter Morrow MESSAGES : 1951 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : HARRINGTON SPRING, revealdown
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Jeu 27 Juin 2019 - 19:20 | |
| Et tu voulais une validation ? ou il te restait encore des trucs à peaufiner ? |
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nothing's gonna change my world Freydis MESSAGES : 1096 BARGE DEPUIS : 17/01/2019 ROYAUME : San Phoenix, Obsidian Kingdom, Elvendyr
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nothing's gonna change my world Hunter Morrow MESSAGES : 1951 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : HARRINGTON SPRING, revealdown
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Ven 28 Juin 2019 - 23:10 | |
| Je viens de me rappeler que j’ai oublier de répondre à ta question; mais le staff est du Québec oui (pas de la ville par contre ) mais il a des gens de partout ici (: |
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nothing's gonna change my world Invité
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nothing's gonna change my world Hunter Morrow MESSAGES : 1951 BARGE DEPUIS : 14/01/2019 ROYAUME : HARRINGTON SPRING, revealdown
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Sam 29 Juin 2019 - 11:22 | |
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nothing's gonna change my world Invité
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nothing's gonna change my world Autumn MESSAGES : 688 BARGE DEPUIS : 21/05/2019 ROYAUME : Magnolia Light, Ether Kingdom
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Dim 30 Juin 2019 - 12:34 | |
| Wow ! J'ai adoré ta fiche et ton style d'écriture est juste époustoufflant ! Sérieux, j'en ai presque des frissons juste à lire tes lignes ! J'adore vraiment ton personnage et le côté mère religieuse folle également Avec le concept du forum qui démontre clairement que les religions c'est de la bullshit face à Elvendyr, ça donne un petit plus Bref, amuse toi avec nous Et bienvenue dans la famille RD !!
Et te voilà validé(e) mon petit humain ! La déesse Shaenna est ravie de t'accueillir dans son royaume. Avant tout, nous t'invitons à garder priorité sur tes acquis ! Ta tête de navet, Ton prénom super original, Ton pouvoir s'il n'est pas répertorié. Il est temps d'ouvrir ton journal de bord (liens/rps), te trouver un logis si tu ne veux pas vivre dans la rue avec Marcel le clochard, ton emploi ou même un lieu particulier qui ne fait pas partie de notre vaste univers. Viens créer tes scénarios et tes pré-liens !Tu as maintenant toutes les clés pour rejoindre notre royaume. N'oublie pas que l'eau te donnera le besoin de te rendre jusqu'à la source qui te conduira à Elvendyr ! Mais surtout, que tout ce qui est surnaturel est totalement de l'inconnu pour toi ! |
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Dim 30 Juin 2019 - 13:13 | |
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nothing's gonna change my world Freydis MESSAGES : 1096 BARGE DEPUIS : 17/01/2019 ROYAUME : San Phoenix, Obsidian Kingdom, Elvendyr
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nothing's gonna change my world Invité
| Sujet: Re: Never was and... never will be? Ven 5 Juil 2019 - 6:24 | |
| @Freydis rho, merci! Mais les bonbons faut les bouffer |
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| Sujet: Re: Never was and... never will be? | |
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| | | | Never was and... never will be? | |
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