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Charlize Flores

nothing's gonna change my world
Charlize Flores

MESSAGES : 320
BARGE DEPUIS : 22/02/2019
ROYAUME : RevealDown, Floride, USA.



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MessageSujet: (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. EmptyDim 24 Fév 2019 - 17:44

Charlize Flores
I'm fine. Drop tears in the morning.


 
Lors de ce doux Quatorze février 1985, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être San Diego, Californie, planète Terre. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir trente-trois automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus pauvres. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir médecin légiste au OCEANSIDE MEMORIAL HOSPITAL que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis divorcée et que l’étiquette de présumée bisexuelle, mais lesbienne qui s'ignore se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà Mexicaine. Éduquée par une mère mexichrétienne. Ce qui m'a rendue trop franche, un brin drama queen, alcoolique, névrosée, - marrante malgré-moi - possédant un karma merdique, mais éternelle optimiste. Avec tout ça, j’appartiens  à la classe  des BAD BLOOD et qu’avec tout ça je me vois  être Indifférente. Elven-machin, ça veut dire quoi ? Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Odette Annable. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit !


J’aime la Mort. Non, de controverse, j’aime les esquisses que délaisse la Faucheuse derrière-elle. Ces esquisses mystérieuses, parfois, abjectes et outrancières qui peignent sournoisement le derme cendré et céruléen d’un macchabée. J’aime découvrir l’histoire qu’elles racontent. J’aime percer leurs énigmes et ainsi comprendre le propre de son ébauche. Cette raison inévitable qui les emmène à se creuser et à maculer la frêle dépouille d’un être-humain. J’aime étudier chacune de ces traces et déchiffrer l’essence primitive de son œuvre. Comment est-elle née ? La brutalité parachevée ? La souffrance exaltée ? La minutie et ou la barbarie ennoblie dans la dévotion de son cheminement ? Ce sont des questions qui me hantent incessamment et rationnellement. Jour et nuit, je suis obnubilée par le cas qui somnole sur l’inox glacé de ma table de travail. Jour et nuit, je ne vie et avance que par l’incompréhension et la fanfaronnade que me délaisse malicieusement l’Ange Noir sur son passage. C’est un défi perpétuel, certes, mais j’acquiesce ce dessein et ne m’incline jamais à sa fourbe révérence. Ma raison d’existé est d’ailleurs le comble de ce prolepse. Dans l’antre de cette rivière torrentielle, je suis, et serai probablement toujours, la roche immuable qui ne se dissolve jamais au travers du flot tyrannique… outre celui-ci se fractionne au moindre effleurement. Au cœur d’une foule horripilante, je suis celle, la tête baissée, qui avance dans le sens contraire du monde. Personne ne me connait et je ne connais que très peu de gens. Misanthrope ? Peut-être que je le suis. Trop froide et réfléchie ? Ouais, ça aussi, je crois m’y coller. Je dépends désespérément de la solitude et ne respire que dans l’absolutisme de mon ouvrage morbide et glauque. Je n’ai aucun sens du dialogue. Posez-moi une question toute banale, que je vous répondrai évasivement, sans grand intérêt, dans des phrases concises et analytiques. Relativement bien aiguisé, mon sarcasme et mon sens de l’ironie est le seul et unique fragment de personnalité qui semblera vous plaire. Sauvage à l’usure d’un passé houleux, je sais mordre et que très rarement m’avouer vaincue. J’ai un caractère strict et sans aucun minium. Je suis… Bref… Je suis Charlize Edelmira Flores, médecin légiste tout fraîchement transférée de la morgue de Good Samaritan Hospital, pour la morgue de OCEANSIDE MEMORIAL HOSPITAL, à RevealDown. La soit-dite ville damnée où croule d’innombrables vestiges et mystères. Endroit qui me présente des augures peu favorables mais qui ne m’effraie guère. Armée de mon bistouri, vêtue de ma blouse verte pastelle, j’attends posément l’arrivée de ma seule et unique convoitise… je suis née pour faire ce job… j’ai les fibres du défunt d’ancrés dans les veines … la Mort est une partie intégrante de mon être et horreur à celui qui osera l’oublier !

TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN


Good Samaritan Hospital, Los Angeless, Californie.
À l'an 2019.


La voix de Victor Shelby, médecin légiste et directeur de la morgue de Good Samaritan Hospital, est de plus en plus confuse et maladroite, obstruée par une latente boule d’émois. Installé derrière son bureau encombré de paperasses et d’une montagne de dossiers irrésolus, je le vois régulièrement changer de posture sur son énorme fauteuil en cuir épais et polis comme de l’huile. Cet entretien le rend de plus en plus nerveux et mal à l’aise. Je ne l’en blâme pas. Même moi, je commence à perdre de l’assurance, appréhendant les augures de cette conversation qui sont en train d’emprunter des voies de plus en plus houleuses et bourbeuses. Qu’est-ce qu’on fout là ? Pourquoi suis-je réellement ici ? Où peut-il en venir, au juste ? Lassée de tourner autour du pot, un imperceptible soupire glisse sur mes lèvres crispées, allant appuyer le flanc de mon coude sur le bras de mon propre siège alors que d’un revers de main je commence à dépoussiérer mon sarrau de saletés apparues sur le tissu blanc que part le fruit de mon propre imaginaire.

- Docteur Flores. Il faut comprendre que ce que je m’apprête à vous dire, ce n’est pas de mon propre chef que je le fais. Raclement de gorge. Vos collègues relatent des faits à votre sujet. Autre raclement de gorge. Beaucoup de ragots retentissent et éclaboussent mon bureau. Des rumeurs vous concernant. Il dégluti amèrement le filet de salive lui obstruant la gorge, prenant le temps de bien mesurer ses paroles alors qu’il s’accoude sur la surface désordonnée de son aire de travail et vient croiser les doigts de ses grosses paluches sous son menton tressaillant et crispé.  Si je vous aies convoquée à mon bureau, ce soir, c’est pour m’assurer que ces ragots sont impertinents. Il se racle la gorge. Visiblement, le chat qu’il a de coincé dans le creux de l’œsophage s’avère être un gros matou, je ne serais pas surprise de le voir cracher une énorme boule de poils. Il retire ses coudes de contre le bureau, se décontracte l’échine sur le dossier de son fauteuil, moule ses paumes et doigts contre les bras de son trône, l’air noble, mais visiblement coincé dans son froc. Plusieurs de vos camarades racontent vous avoir régulièrement aperçue, en dehors de vos heures de travail, faire la fête dans les bars avoisinants l'hôpital. Que vous menez une vie de débauche, cela ne concerne que vous, mademoiselle Flores. Jusqu’à présent, jamais votre vie personnelle est venue entraver votre vie professionnelle… seulement, lorsque votre vie personnelle empiète votre vie professionnelle, vous devez juger légitime que je vienne vers vous et m’assure du total contraire.

Mon expression faciale change, mes yeux s’arrondissant à l’expression de Miss Univers qui, après avoir offert son speech de poupée gonflable à la population, vient tout juste de s’apercevoir qu’elle a une gigantesque feuille de persil de coincée entre les deux dents.

- Je… Je ne suis pas sûre de saisir ce que vous insinuez, docteur Shelby, que je bredouille stupidement, d’une voix si sourde et étouffée, que je peine à me convaincre qu’elle m’appartient.

- Chacun a droit au respect du secret professionnel. Avez-vous, oui ou non, déjà enfreint ce devoir, docteur Flores ? Avez-vous déjà, oui ou non, lors de ces nuits d’ivrogneries, divulgué des détails et informations confidentielles ? Nom de Dieu, Charlize ! Est-ce que tu as un problème d’alcoolisme et est-ce que ce problème est en train de salir notre réputation et tout le corps de médecine ?! Qu’il s’égosille, désespéré, laissant visiblement tombé le professionnalisme et les politesses.

Sidérée par ces propos inouïs, d’un bond maladroit, je me redresse sur mes longues cannes de serin et commence à faire les cents pas devant le bureau de mon patron.

- Tu es sérieux, Victor ?! Tu crois sincèrement en ce que tu dis ? Tu me crois assez stupide et inconsciente pour commettre une telle erreur ?

- J’en sais rien, moi ! C’est pourquoi je te convoque à mon bureau ! Ce que tes collègues racontent, c’est vrai ou pas ?!

- Ces fameux collègues racontent des tas de conneries. Tu sais ce qu’ils disent à notre sujet, Victor ? Sais-tu seulement ce qu’ils crachent dans notre dos ? Ils voient quelque chose de cupide dans notre relation. La vieux lion et sa jeune proie. C’est comme ça qu’ils nous surnomment. Ils pensent que je suis ton amante, que c’est parce qu’on couche ensemble, que tu as accepté de me prendre dans ton équipe. À leurs yeux, mon transfert dans cette hôpital, ça n’a absolument rien à voir avec mon travail.

- Réponds à ma question, Charlize. Est-ce que tu as déjà enfreint à ton devoir ?

- NON ! BIEN SÛR QUE NON !

S’il y a bien une personne qui sait me lire comme un livre ouvert, c’est bien lui. Lui mentir, même en essayant, j’en suis tout simplement incapable. Nous ressemblons davantage à une père et sa fille, qu’à un vieux lion et sa jeune proie. D’ailleurs, l’épouse de mon patron nous connait assez bien pour ne pas douter de son homme et avoir une confiance aveugle en lui. Peu importe ce qu’elle peut entendre à notre sujet. Victor me voit comme la jeune légiste qui lui confie ses espoirs et ses incertitudes. Mon meilleur confident. Je lui parle beaucoup et il m’écoute énormément. Et cela ne semble point l’agacer. Au contraire, ma fébrilité, ma passion et ma jeunesse semblent être baumes sur ses vieilles cicatrices. Cette relation paternalisme apporte son lot de salvation…mais également son lot d’incommodité. Comme en ce moment.

- JE LE SAVAIS ! Qu’il me crache tout bêtement à la figure, son gros index accusateur ne tardant pas à se braquer sur moi. Pour l’amour du ciel, Charlize ! Qu’est-ce qui t’arrive ? Pourquoi t’as fait ça ? Sais-tu seulement ce que tu risques, si jamais ses ragots remontent sous le nez de mon supérieur ? Non seulement je serai obligé de te renvoyer, mais plus aucune morgue ne voudrai t’embaucher. Et qu’est-ce que ce sont ces conneries d’ivrogneries ? Depuis quand tu abuses du biberon magique pour régler tes petits problèmes ? L’alcool n’est jamais la solution, Charlize ! Tu le sais mieux que quiconque ! Hystérique, son visage devient noir… vert… mauve… rouge de colère alors que ses deux mains de marbres s’emboutissent violemment sur sa boîte crânienne. Dans moins de un mois à peine, nous allons recevoir la visite surprise de Dwight Cotland, ministre de la santé élu de notre si charmante ville. Tu sais ce que cela signifie, jeune fille ? Lui et ses chiens galeux vont enquêter non seulement l'hôpital, mais tout le corps au médical, pour s’assurer de nos services… qu’ils espèrent incorruptibles. Avec rapidité et fureur, le minuscule patron se redresse de contre son fauteuil, contourne son bureau, attrape au passage un dossier et un dépliant qu’il ne tarde à me tendre sous le nez. Tu disposes de quatre semaines pour te reprendre en main. Voilà le nouveau cas que tu dois éplucher et élucider. C’est ta dernière chance, Charlize. Prouve-moi tort. Et demain soir, tu vas te rendre là-bas… montre à mes si charmants employés que tu n’es pas celle qu’ils croient connaître, qu’il me supplie du regard alors qu’il me tend doucement et craintivement la paperasse.

Docile, honteuse, j’attrape le dossier d’une main alors que mes prunelles charbonneuses heurtent avec incrédulité le fameux dépliant.

- Un meeting pour les alcooliques anonymes ? Victor, tu n’es pas sérieux ?!

- Tu vas te rendre à cette réunion, Flores ! C’est un ordre, pas une proposition. La discussion est close. Maintenant, vas rejoindre ton macchabée. Son état de putréfaction est assez avancé, pas besoin d’aggraver son cas !

Sur quoi, mon patron furax retourne s’asseoir à son bureau et oubli complètement ma présence. Sans pester que davantage, je tourne les talons et quitte sans plus de remous le bureau de mon papa cosmique.

Quatre semaines pour me reprendre en main. Quatre semaines pour prouver que je ne suis pas la médecin légiste aigrie qui se laisse griser la cervelle par les caprices grandissants des toubibs et qui se réjoui de son boulot seulement lorsque celui-ci l’invite à croiser des horreurs immondes et abjects.

Merde !

• • •

Les fameuses semaines plus tard.

- Oh, mi cielo ! Charlene, as-tou pensé à ta pobre Madre ? Déjà qué mi corazon a failli flancher à tes dix-huit anos, lorsqué tu as choisi LA à l’opposé dé rester au côté de ta pobre Madre !

J’écoute d’une oreille peu attentive et très lointaine le sempiternel tourment de ma pauvre mère. Je le sais que je suis une mauvaise fille. Pour me faire pardonner, je fais vœux de saluer dix fois la Vierge Marie et de lustrer la PapeMobile avec ma langue de pècheresse.

- Porqué, porqué ! RevealDown. Yé né comprends pas cette histoire dé promotion. Ta place est dans oune hôpital, pas avec les malfrats. Ta place est au côté de ta pobre Madre y dé tou ex-époux ! D’ailleurs, porqué esté amour avec Hugo n’a pas fonctionné ? Tou avais un mariage prometteur avec esté avocado !

Est-ce que je lui révèle le grand secret de ce divorce inopiné ? Le cliché, quoi. La nouvelle mariée trop saoule, qui, la nuit de sa lune de miel, s’est « trompée » de chambre et a forniqué toute la nuit avec cette Demoiselle qui leur a servie de Chanteuse de Noces. Nonobstant, ce léger petit détail qui consiste en un mari attentionné qui vient avertir la chambre voisine de baisser le volume, car sa femme viendra sous peu le rejoindre. La tête qu’il a faite lorsqu’il m’a découvert sous la couette et que s’étaient mes cordes vocales qui gazouillaient de plaisir…

- Je sais, maman. Je sais tout ça. Mais tu sais, moi et mes éternelles histoires compliquées ; elles restent et resteront fort probablement toujours compliquées !

- Oune dia, toi et ton frère aurez raison dé mi corazon ! RevealDown, la racaille de la société. Oh, mi cielo !

- C’est le boulot, maman. Tu devrais être fière de moi plutôt que de te faire un sang d’encre comme ça.

Ouais, le boulot… Si seulement elle savait la véritable raison de cette « promotion » : dix absences non-motivées, quatre avis d’expulsion à mon dossier, un nombre incalculable de violations à la confidentialité et ce pauvre corps que j’ai littéralement éventré avec mon bistouri, tant j’étais trop ivre… cette nuit-là. Ma vie est loin d’être une « promotion » mais plutôt une réaction en chaîne de désastres et de trop grandes déceptions. Je n'arrive pas à comprendre comment je fais pour être étiquetée « bonne fille » lorsque ma vie est un véritable fiasco et n’est basée que sur des mensonges, dont ma mère en est la principale victime. Et je ne parle que de moi, là... mon frère, c’est une histoire que je ne veux même pas aborder.

- Y comment tou vas survivre avec la racaille, mi nina ? Tou as la peau sur les os. Tou es aussi maigre qu’un chicot, tou travaille trop et tou ne manges pas assez ! Parlant dé nourritures, regardes ce qué ta vieille Madre a préparé pour toi !

Appliquant les gestes aux paroles, ma si charmante mère fourre sa main dans son immense sac fourre-tout, y extirpant une montagne de petits plats en plastique transparents qu’elle me tend, tout sourire, sous le nez.

- Cé pour cé long voyage qué tou ferra dans le chouchou. Regardes, il y a les jours dé la semaine d’agrafés sur les couvercles. Tou n’as pas d’excuse. Du lundi au vendredi, tou mangeras, et tou deviendras comme moi !

Non, par pitié, je vous en prie ! Surtout pas ça !

- Prends-les !

Elle me les expose, sans aucune pudeur, sous le nez. Typiques aux mets mexicains, je peux sentir les piments extra forts au travers le plastique étanches de ces dits-plats.

- Merci, maman. Tu es gentille.

En ce moment, je suis aussi pleine de vie que l’un de ces macchabées que j’ai pour habitude de charcuter.

- Tu sais, maman, ce n’est qu’un poste que je ne comble que huit heures par jours. Je ne vois pas ce qui pourrait arriver…

… de pire.

AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND

 
Pseudo : Disturbed ou Narvik. Où as-tu donc connu le forum ? un vieux mage sage m'a donné le tuyau. Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? Je suis chenille devenue papillonLe forum, tu en penses quoi ? Il est zouli ! As-tu des demandes spéciales ? Un menu médiéval, avec jouet. Je vous prie !


Dernière édition par Charlize Flores le Ven 8 Mar 2019 - 9:56, édité 2 fois
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Hunter Morrow

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MessageSujet: Re: (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. EmptyDim 24 Fév 2019 - 17:45

Bienvenue avec ce personnage bien mystérieux 41 Il me tarde vraiment de découvrir ce que vous nous réservez avec la famille Flores 42 Bonne chance avec ta fiche et hâte de rp avec vous encore ♥️
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Lee Flores

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Lee Flores

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ROYAUME : Celui de la complaisance et du vice.



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MessageSujet: Re: (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. EmptyMar 5 Mar 2019 - 18:20

MA BELLE SOEURETTE D'AMOUUUUUUUR!!!
VIENT ICI QUE JE T'EMBRASSE (devant maman) ET TE TIRE LES CHEVEUX (quand maman ne regarde pas!) lol!

J'ai bien hâte de voir ce que la belle Charlize nous réserve ici!! ♥️ ♥️ ♥️
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Charlize Flores

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Charlize Flores

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MessageSujet: Re: (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. EmptyVen 8 Mar 2019 - 10:11

Chaudron Chaudron Chaudron Chaudron

Merci beaucoup mes pouliches arc-en-ciel ! Après quelques temps, la voici enfin qui se termine cette fichette ! Laughing En espérant avoir résolu les mystères de ce personnage bien mystérieux ! Trop impatiente de RP à nouveau avec toi, Hunteerrr !!!! Awesome

FRÉROT ADORÉ ! *prend son frère dans ses bras, pendant que maman regarde.* Ça fait tellement plaisir de te retrouver ici ! *et pendant que maman ne regarde pas, brûle les strings léopard de frérot* Bing Bing Bing

Vraiment hâte de retrouver ce duo dans de belles aventures Candid
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MessageSujet: Re: (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. (CHARLIZE) capsize, i'm first in the water. Empty

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