Siobhan Marshall

trade all my tomorrows for just one yesterday

 

Lors de ce doux 2 mars 1983, ma tronche de cake est apparue dans ce monde apocalyptique qui s’avère être Revealdown, Floride. Vous pouvez le calculer au nombre de squelettes dans le placard, je déclare avoir 36 automnes. Puisque que je n’ai pas eu l’occasion de choisir la chaumière dans laquelle je suis arrivé, ma classe sociale appartient à celle des hurluberlus moyens. Défais de ce moule, c’est ce qui m’aspire joyeusement à devenir policière que vous avez le malheur de croiser aujourd’hui. Dans les grandes confessions, je peux également vous annoncer que je suis divorcée et que l’étiquette d' sexuelle se colle à mon front. Qu’est-ce qui me rend si spécial à vos yeux de biche émerveillée ? Bah, voilà j'ai un caractère de merde et un cri sonique à arracher les appareils auditifs. Avec tout ça, j’appartiens  à la classe  des something blue et qu’avec tout ça je me vois  être au courant de l’existence d’Elvendyr, mais sous médication pour ne pas laisser l’inexplicable prendre le contrôle de sa vie. Sans comprendre pourquoi, les gens me comparent à Lauren German. Mais l’habit ne faisant pas le moine, comme on dit ! Je suis de nature spontanée mais je ne veux pas que le choix de mon élément et pouvoir soit un choix du staff.

Fière ▽ Dévouée ▽ Courageuse ▽ Déterminée ▽ Protectrice ▽ Irritable ▽ Rancunière ▽ Méfiante ▽ Stricte ▽ Peut parfois paraître trop froide et distante ▽

Ne peut quitter la maison sans son mug de café. Autrement, elle serait certainement celle qui provoquerait un meurtre. ⊰ Surnomme toujours sa fille Trixie, n’utilisant son nom complet que lorsqu’elle a à lui reprocher quelque chose. ⊰ Ne possède plus cette vision idéaliste de l’amour. À la place, elle préfère se tenir loin des relations, s’est complètement coupée de toute connexion allant au-delà d’une simple amitié, se dévouant à son job et à sa fille. ⊰ Trouve cela toujours aussi difficile que de travailler avec son ex-mari, aurait envie à la fois de l’étriper et de lui parler d’une possible paix entre eux, pour le bien de leur enfant. N’allez pas croire qu’elle ressent encore des sentiments pour cette homme; elle en est incapable. Mais elle ferait tout pour que sa fille puisse vivre le plus normalement possible. ⊰ Visite la tombe de son père à tous les jours, lui parlant de ses journées et de ses problèmes, sentant que c’était lui la seule personne à comprendre la façon dont elle agit et pense. ⊰ Ne s’entends toujours pas avec sa mère, les réunions de famille se faisant plus difficiles, vu le divorce. En fait, elle n’accepte ce genre de chose que parce qu’elle veut que Trixie ait une vie plus ou moins normale. ⊰ Quand elle se met à boire, ce n’est pas un travail qui se fait à moitié. Malheureusement, elle le fait surtout seule, vu ses difficultés à avoir une vie sociale. ⊰ Elle garde toujours une arme à la maison, enfermée dans un coffre-fort, qu’elle sort avant d’aller se coucher. Paranoïaque à souhait, oui, mais cela lui permet de se sentir plus en sécurité. ⊰ Vraie mère-poule, elle veut toujours savoir comment la journée s’est passée, s’il y a des devoirs à faire ou s’il y a une réunion de parents.

TAKE A BITE OF THIS WORLD WHILE YOU CAN

Une enfance tout à fait banale, ou presque. Des parents présents, du moins pour mon père, policier à Revealdown, pendant que ma mère, actrice médiocre, accumulait les rôles dans des petits films trop peu intéressants. Je la méprisais un peu, car à cause d’elle, mes journées en classe se résumaient en moqueries. Le seul bon point, c’est qu’avec les enseignements de mon père, j’arrivais toujours à garder la tête haute, à en oublier les conneries que les enfants pouvaient bien dire. Une tomboy, qu’on me surnommait, à un certain moment. Une fierté, pour moi, alors que je voyais beaucoup plus forte que la plupart des filles dans mes cours. Le courant passait donc mieux, entre moi et la figure paternelle. Cependant, ma mère revenait de temps à autre, m’imposant un peu plus de féminité, me forçant à aller avec elle à certains évènements plus publics. Une envie que de l’étriper, et pourtant, je ne pouvais que me taire. Un mauvais moment à passer, une visite passagère, comme tout le reste. Une routine que je connaissais trop bien et qui ne m’affectait plus du tout. En fait, plus les visites se faisaient rares, et plus l’ambiance à la maison se faisait sereine.

L’adolescence, les années folles. Je n’y échappais pas, malgré les apparences. En effet, par le biais de ma mère, j’obtins un rôle dans un film à petit budget, ‘Hot Tub High School’. Bien qu’il ne gagnât jamais en popularité, la scène dans laquelle j’apparus, topless, connu un succès fou, tant et si bien que tous les pervers me reconnaissaient partout où j’allais. Pas besoin de vous dire que cette nouvelle attrista mon père. « Comment pouvais-tu croire que ce genre de choses est acceptable ? N’as-tu aucun souvenir de ce que les autres enfants t’ont fait subir ? » Un soupir d’exaspération, puis un claquement de porte. Le premier désaccord, mais non pas le dernier. Aucune idée de ce que je voulais faire moi, plus tard. Mes choix me semblaient si limités, entre actrice et policière. Aucun talent pour l’art ni les sciences, une fille d’action surtout. N’avais-je pas assez de talent pour espérer faire mieux que ma mère, de me dégoter des contrats dans des films à gros budget ? Un mince espoir qui me permettait d’avancer en cette direction, de privilégier ma carrière d’actrice à tout le reste. Mon père, lui, continuait à me faire la morale, à me dire que je valais bien mieux que ça.

J’aurais dû l’écouter, j’aurais dû lui donner plus que juste des reproches. Mais voilà, quand on en est à cet âge, on ne réalise pas tout ce qui peux arriver. Et le métier de policier n’est certainement pas des plus calmes. Ce fut après deux semaines de chamailles constantes que je connus un sentiment bien plus fort que tout le reste. Celui de la perte. Mon père, la seule personne m’ayant apporté tout le support et l’amour qu’un parent peut donner à son enfant, est mort lors d’un hold-up dans un dépanneur local. Le choc, le déni et la dépression la plus totale. La presque indifférence de ma mère m’enragea, mais je ne pouvais rien dire de plus. Elle devenait ainsi la seule personne pouvant prendre soin de moi jusqu’à ce que j’atteigne l’âge adulte. 19 ans. Il ne me manquait plus tant de temps. Il me suffirait de trouver d’autres petits films, le temps d’avoir un peu d’argent et puis déménager loin d’elle. Mais voilà, moi et mon agressivité, on n’en avait pas fini. Pendant les funérailles, alors qu’un paparazzi prenait des photos de moi, je me laissais emportée par la colère, brisa son appareil-photo avant de l’envoyer au diable. Je ne compris pas la gravité de mon geste, du moins jusqu’à ce que je revienne à la maison et n’aperçoive les premiers articles à propos de moi et de ma folie. Ma carrière venait donc de prendre fin avant même qu’elle ne prenne son envol. Un besoin que de repenser mon avenir. Le seul choix qu’il me restait et que je crus comme étant le plus juste ? Devenir policière, faire honneur à mon père et à tout ce qu’il avait accompli. Oui, c’était un peu comme ma manière de m’excuser, quoiqu’il ne soit plus là.

J’appris les ficelles de métier pendant plus de temps que je ne l’aurais souhaité. Avec les mois qui passaient, à réviser, à m’entraîner, je compris au combien je n’aurais jamais dû me dévouer au monde du cinéma. Une vraie perte de temps! Avec mon passé plutôt lourd, je n’avais pas le luxe de simplement faire de mon mieux. Il me fallait prouver ma valeur. Eh, je n’étais pas que la fille topless dans un film, et ça, les autres l’apprendraient au fur et à mesure. Chaque pas devant, chaque étape terminée, je plaçais la barre plus haute. À me voir, on me croirait presque prétentieuse, mais ce n’était guère le cas. Heureusement, ce n’est pas tout le monde qui me regardait de façon si pessimiste. Pour une raison qui m’échappe encore aujourd’hui, lors de ma première année en tant qu’apprentie, je fis la connaissance d’un jeune policier, ayant probablement terminé une année plus tôt que moi. Philip Mendez. Oh, lui … tant de choses que je pourrais vous racontez. Mais je ferais ça court; divorce. Eh oui, c’est bien ça. J’ai fait l’erreur de me marier avec lui, et quelques mois plus tard, de donner naissance à un petit ange du nom de Béatrice. Ma fille … je crois que c’est bien le seul bon côté à toute cette histoire. Philip était toujours occupé, avec son boulot. Il me disait que je comprendrais un jour, mais que pour le moment, je ne connaissais pas grand-chose du métier de policier. Cela me frustra au cours de l’année à suivre. Je me sentais rabaissée, que ce soit au boulot comme à la maison. J’optais donc pour le divorce, mettant fin à cette histoire, fermant une fois pour toute mon cœur et ces sentiments merdiques qui vous font naïfs.

Ce ne fut que quelques mois après cette terrible décision que je me mis à prendre conscience que quelque chose clochait avec moi, physiquement. Pour une quelconque raison, je me retrouvais souvent à fixer l’horizon, avec une seule envie en tête; d’aller voir la source. Bordel, mais pourquoi est-ce que j’avais cette envie d’aller me balader pour regarder une rivière? Je ne comprenais guère ce besoin presque vital, et attribuait le tout au stress du boulot. Mais jour après jour, semaine après semaine, mois après mois … toujours cette obsession. J’allais, après mûre réflexion, voir un médecin, lui parler de ce trouble, lui faire part de l’importance de le résoudre, afin que je puisse mieux travailler. Il me donna de quoi me calmer les nerfs, stipulant qu’il n’était pas sûre s’il s’agissait de dépression ou d’anxiété. Je les pris continuellement, n’éradiquant pas le mal, mais l’engourdissant néanmoins. Enfin … ça c’est ce que je croyais. Je ne m’attendais certainement pas à ce que les choses n’empirent … à ce que l’inexplicable et le surréel ne prennent d’autant plus possession de ma vie. En effet, lors de ce qui devait être une poursuite dans les règles de l’ordre, notre groupe de policiers se divisa, permettant ainsi de couvrir plus de terrain. Cependant, le suspect réussissait à s’échapper à chaque tournant, comme si nous allions trop lentement. La rage au ventre, je sortis mon revolver et lui criait de s’arrêter. Mais lorsque je m’exprimais avec cette force brute, il y eut un son étrange qui sortit de ma bouche. Un grincement, un son aigu qui me figea sur place, et qui fit tomber le suspect sur ses genoux. Il avait les mains sur ses oreilles, il criait, il … il … en me rapprochant de lui, toujours l’arme en main, je me rendis compte que ses oreilles saignaient. Venais-je de …? Mes hypothèses ne purent être émises ce jour-là, mes collègues de travail se lançant sur l’homme pour l’attraper. Mais le soir, en revenant, je repensais à toute cette histoire, et eut horriblement peur. Que se passait-il avec moi? Pourquoi est-ce que tout cela m’arrivait? Je ne pouvais pas me permettre plus de problèmes dans ma vie, sans quoi on m’enlèverait certainement la garde de ma fille. Il … il me fallait continuer la médication, et souhaiter qu’elle fonctionne rapidement. Puis bon, je l’avoue, quand Trixie dort, je me retrouve souvent dans ma propre chambre, la télé sur silencieux, à prendre un verre de ce que je trouvais dans le frigo, souvent une boisson alcoolisée, et la mélanger à une pilule ou deux. Juste assez pour me détendre, et ainsi, ne pas avoir envie de crier. Garder le contrôle de tout, voilà ce qu’il me fallait faire.

AS LONG AS THERE'S A MEMORY IN YOU MIND

 

Pseudo : dumbass*angel Où as-tu donc connu le forum ? c'était par l'intermédiaire d'Hunter. Serait-il indiscret d'en savoir un peu plus sur toi ? il suffit de regarder sur la fichette de Bibi (Bridget) et vous en saurez un peu plus sur moi (a) Le forum, tu en penses quoi ? toujours aussi parfait! Après tout, si ce n'était pas le cas, aurais-je passé autant de temps à réfléchir à un DC? ^-^ As-tu des demandes spéciales ? aucune demande spéciale, non xD

Rebienvenue parmi nous avec ce très bon choix ma belle

Bienvenue à nouveau par ici, ma belle ! Et bourdel mais avec un DC super et foooorrrt bien intriguant dont j'ai trop hâte de lire la fichette J'espère qu'avec la belle, l'inspiration et le bonheur seront au rendez-vous et il en est de même pour le plaisir de laisser aller ton imagination sur RD Je te souhaite une belle rédaction de fichette.

Je préfère néanmoins prévenir, pour guérir, à moins que tu en aies discuté avec Hunter haha. Mais Lauren German, est un avatar déjà pris pour un scénario du forum Il va falloir traverser une "légère" chirurgie pour rester hyper unique et avoir un autre minois de sexy qui n'appartient qu'à nous

À la belle revoyure dans les environs

@Derek Morrow Mais que recoucou!

OH ZUT! Je n'avais pas vu qu'elle était prise pour un scénario du forum! Mille pardons! Malheureusement, l'idée de personnage que j'avais collait parfaitement à sa tête, donc je préfère juste annuler ma demande de double-compte, ainsi que le compte de Sio.

Je t'envoie un petit message On regarde ça ensemble d'acccord

après une décennie et demi, voilà que j'ai terminé ma fiche!

Coucou Rien à redire sur ce personnage ! Hâte de te voir à l'oeuvre

Félicitation !

Et te voilà validé(e) mon petit natif de Elvendyr ! La déesse Shaenna est ravie de t'accueillir dans son royaume. Avant tout, nous t'invitons à garder priorité sur tes acquis ! Ta tête de navet, Ton prénom super original, Ton pouvoir s'il n'est pas répertorié. Il est temps d'ouvrir ton journal de bord (liens/rps), te trouver un logis si tu ne veux pas vivre dans la rue avec Marcel le clochard, ton emploi ou même un lieu particulier qui ne fait pas partie de notre vaste univers. Viens créer tes scénarios et tes pré-liens !Tu as maintenant toutes les clés pour rejoindre notre royaume. N'oublie surtout pas qu'il n'est pas normal pour tout de croiser des feux de circulations et des téléphones cellulaires !

Bienvenuuuuuuuuuue parmi nous